“La bonne conscience de Claude Askolovitch”

“Je pense qu’on est entré dans des temps dégueulasses parce que toutes nos consciences sont déchirées. Je pense que de mon vivant, je ne retrouverai pas cette idée qu’Israël est un espoir incommensurable et en même temps, le malheur des populations arabes”. Claude Askolovitch in “Le débat “Israël : Le piège de l’importation du conflit” dans “CCeSoir”

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9 Comments

  1. Cher Monsieur,
    Vous comprendrez ce qui se passe et pourquoi nous en somme là, à votre avis, lorsque mon livre “L’exil du peuple Juif: Sanction ou Mission? La mission des Juifs en exil et de retour sur leur terre – Les entraves à leur mission” trouvera un éditeur et que vous le lirez.

  2. J ai eu dans le passé quelques echanges avec Askolovitch , je lui reprochait son antisionisme en comparant son attitude a celle de son pere : Roger Ascot , que je considere comme un grand journaliste juif .
    Askolovitch a eu la franchise de me dire qu il etait ” arriviste” et que ses positions politiques etaient dictées par la doxa française de maniere a obtenir une carriere remuneratrice .
    J ai gardé un grand mepris pour cet homme ,mais un poil de respect pour son honneteté relative !

    • @T+Amouyal Cela montre le degré de corruption qui existe dans ce pays. Mais tout corrompu, a fortiori lorsqu’il a une influence aussi grande, est complice des atrocités commises dans ce pays relégué parmi les plus barbares du globe. C’est le massacre des innocents qui est perpétré chaque jour dans l’Hexagone.

      • M. Askolovitch est semblable au loup de la fable qui accuse l’agneau de le persécuter.
        Israel, le malheur des populations arabes ?
        Il faut oser inverser à ce point la situation …

  3. Bonjour. Je ne suis pas arriviste, en tout cas ne cherche pas à l’être, et ne suis certainement pas anti-sioniste. Je me revendique au contraire du sionisme idéaliste et pragmatique, qui a permis Israël. Et c’est parce que je ne renie pas le sionisme que la situation actuelle me désespère. Bonne soirée.

  4. @Catherine Ce genre d'”argument”, celui d’un individu ayant cinq ans d’âge mental, prouve seulement votre stupidité et votre antisémitisme. On peut (malheureusement) être juif et antisémite, de même qu’on peut être blanc et raciste anti-blanc : c’est le phénomène de haine de soi, la pathologie mentale la plus répandue du monde occidental. Les deux sont intrinsèquement liés. Psychiatriquement, il existe d’ailleurs pour cela un nom : le Syndrome de Stockholm.

    Dans tous les régimes nazis ou islamonazis (comme par exemple la France), les médias majoritaires et les universités jouent un rôle crucial : le retour de la Bête Immonde est toujours précédé de plusieurs décennies de lavage de cerveau et d’embrigadement. France Inter et France TV n’existent que dans ce but.

  5. @Catherine.

    Permettez à un esprit inculte de vous répondre. Il a longtemps existé un antisionisme qui n’était pas antisémite, qui n’était pas une haine des Juifs clairement exprimée, une volonté affirmée de les éliminer ou de les exterminer, mais qui s’inscrivait dans l’histoire politique et religieuse du judaïsme, dans celle du peuple juif tout entier. Un sionisme politique nationaliste et laïc, issu de Herzl, auquel s’opposait un antisionisme religieux rabbinique et parfois rabique, ou un antisionisme internationaliste et socialiste, etc. “L’an prochain à Jérusalem” n’a jamais été une promesse pascale qui allait de soi, comme l’histoire l’a montré. Mais jusqu’alors, cet antisionisme restait une affaire de famille “juive”. Il était donc possible en effet de distinguer autrefois “antisémitisme” et “antisionisme”.

    Aujourd’hui est-ce encore le cas, est-ce même une distinction qui peut encore s’entendre, quand de partout ceux qui condamnent le sionisme, des campus américains à Sciences Po, de l’Iran, en passant par la Turquie, l’Algérie, l’Afrique du Sud, de la CPI au Conseil de l’Europe, tous haïssent les Juifs et Israël, à travers eux, les Occidentaux que les Juifs représentent de manière éminente à leurs yeux ? Et cette haine va bien au-delà d’une hostilité ou d’une détestation pour la politique menée par Benjamin Netanyahou.

    Nous vivons une époque où la haine de l’autre et la haine de soi se confondent et se mêlent désormais à un profond ressentiment. Écoutez les aboiements de ces meutes incultes qui se nomment : les “insoumis” (quelle belle antiphrase, vous en conviendrez !), eux qui ne savent rien du pays qu’ils habitent par accident, eux qui passent leur temps à conchier tous les Français juifs et non-juifs qui refusent d’instinct ou de raison leur passion nihiliste.

    Pour beaucoup de “belles âmes” de gauche, pour ses militants ou ses soldats qui forment ces troupes vociférantes et pédantesques d’ONG, de journalistes et de maîtres de conférences en sciences sociales, wokisés de pied en cap, l’antisionisme est devenu la seule forme légale d’antisémitisme, un antisémitisme qui peut être rendu public puisqu’il ne tombe pas sous le coup de la loi. “Free Palestine” est une métonymie et un euphémisme pour dire : “mort aux Juifs”. L’actualité récente, hélas, est là pour le confirmer en abondance sans qu’il ne soit plus guère possible d’en douter.

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