Depuis la mort de Yahia Sinwar, qui donne les ordres aux geôliers des otages israéliens encore détenus à Gaza? Qui leur dit de continuer à garder ces otages, au péril de leur vie, au péril de la vie de leurs familles, sous les bombes, dans les décombres, avec des soldats israéliens dans les rues? Qui leur fait assez peur pour qu’ils ne décident pas de sauver leur peau en contactant discrètement les soldats israéliens pour négocier la libération de leurs otages contre une exfiltration d’eux-mêmes et de leurs familles? Qui leur a tellement lavé le cerveau et les a tellement lobotomisés de toute once de lucidité, d’humanité et de libre-arbitre pour qu’ils continuent envers et contre tout leur mission de garder des otages israéliens, au milieu du chaos et du délitement de tout ce qui faisait office de structure humaine dans Gaza?
Certains disent que le frère de Sinwar est pire que lui et qu’il a repris les rênes. Mais le fait est qu’on n’en sait rien.
Ce que l’on sait, par contre, par les témoignages d’otages, c’est que plusieurs otages sont gardés par des familles gazaouies. On sait aussi que le Hamas, parce qu’il l’a avoué lors des négociations avec Israël depuis 1 an, ne sait pas ou sont tous les otages et doit parfois lui-même négocier avec le Djihad Islamique et des gangs mafieux de la Bande de Gaza qui détiennent des otages.
Vous voulez mon avis personnel? Cet acharnement a conserver les otages n’est pas le fruit de la détermination des miliciens du Hamas. Il est le fruit de la haine des Juifs la plus féroce, abjecte et diabolique qui règne à Gaza. Ces otages ne sont pas tous gardés par de dociles militants du Hamas qui auraient un sens de l’honneur proche de celui des soldats japonais à la fin de la Seconde Guerre Mondiale. Un grand nombre de ces otages sont conservés par des Gazaouis qui ne voient que leur valeur marchande, en monnaie ou en nature, et à qui on n’a pas encore offert assez de rançon ou qui ne voient que leur valeur islamique d’esclaves juifs aux mains de combattants musulmans, comme leur foutu prophète en avait fait lui-même.
Comment expliquer qu’il n’y ait pas des voisins qui dénoncent aux israéliens, en demandant leur protection? Comment expliquer qu’il n’y ait pas des libérations spontanées, ou des évasions un peu trop faciles, autorisées par des miliciens du Hamas ou des Gazaouis qui préfèrent sauver leur peau? Comment expliquer cette discipline d’acier de miliciens totalement dévoués à leurs chefs et à leurs ordres, au beau milieu de l’effondrement général de Gaza?
La seule comparaison que j’arrive à trouver, ce sont les marches de la mort de l’hiver 1944-1945, devant l’avancée des troupes alliées et soviétiques, où les SS quittaient les camps en emmenant avec eux les déportés pouvant encore marcher. Au risque d’être rattrapés par des forces militaires plus mobiles, ils ont tenté envers et contre tout d’accomplir leur mission d’éradiquer les Juifs et les déportés en trainant avec eux des victimes épuisées, ne pouvant marcher vite et les ralentissant d’autant. Plutôt que de rejoindre les lignes de font pour résister aux offensives alliées et soviétiques, ils se sont acharnés à exterminer leurs victimes. Il leur fallait, absolument et malgré tout, exterminer les Juifs plutôt que sauver ce qui restait de l’Allemagne.
Aujourd’hui, Gaza est en effet un gigantesque camp de concentration. C’est, en date, le dernier camp de concentration ou l’on retient des Juifs que les Gazaouis sont allés chercher dans leurs maisons, lors d’exactions de masse par des Islamiztgruppen fanatisés, qui les ont déportés à Gaza, qui les ont enfermé dans des conditions terribles et arbitraires et qu’ils retiennent par la plus féroce, perverse et méprisante haine qui soit, alors même que tout Gaza s’effondre autour d’eux. Il leur faut, absolument et malgré tout, garder leurs esclaves Juifs et les assassiner s’ils risquent de les perdre, plutôt que sauver leur ce qui reste de Gaza et de leurs familles.
Voilà ce qui est hélas évident pour moi depuis la mort de Sinwar: ils préfèrent mourir et ils préfèrent voir mourir tous ceux qu’ils aiment plutôt que de renoncer à leur haine violente, barbare, esclavagiste et meurtrière des Juifs. Et quand je dis « ils », je ne parle pas des miliciens officiellement encartés au Hamas. Je parle de tous ceux qui conservent les otages et ne les rendent pas, de ceux qui savent où ils sont et ne disent rien, de ceux qui n’aident pas les israéliens à les retrouver, de ceux qui continuent à considérer que le « jeu » en valait la chandelle et que le « jeu » n’est pas encore fini…
© Pug
Nations pour Israël
À propos de Nations pour Israël
Créée en Juillet 2014 pendant l’offensive médiatique antisémite contre Israël à l’occasion de l’opération Bordure Protectrice, notre page s’appelait « Ces Goys qui Défendent Israël » dont nous assumons toujours le nom. Depuis lors, nous tentons de réveiller les Goys, c’est à dire les « Nations », comme le judaïsme appelle les autres peuples du monde, du cancer antisémite qui a poussé à tant de haine et de ravages dans l’histoire, par une simple et ouverte étude des faits, tant historiques que d’actualité, sur la légitimité d’Israël dans le conflit qui oppose l’Etat Juif au nationalisme arabe hérité des théories fascistes des années 20 et soutenu par le Nazisme puis le Communisme contre la vérité, la démocratie et la liberté. Goys, nations du monde qui soutiennent Israël, rejoignez-nous et montrons que nous sommes capables de davantage d’amour envers les Juifs que nous n’avons été capables de haine!
Tres juste
Bravo ! C’est en posant les bonnes questions qu’on peut avoir une chance de trouver les bonnes réponses et une solution