C’est le moment des bonnes questions sur le nMoyen-Orient. Sarah Cattan et Louise Gaggini soulèvent ailleurs de bonnes questions. Je me permets d’y revenir.
Aujourd’hui au Moyen-Orient se déroule ce qu’on appelle un débat existentiel.
Non. Ce n’est ni une guerre de religions. Ni une guerre de territoires. L’Arabie saoudite et les Émirats silencieux le démontrent.
MBS détient peut-être seul la clé du « jour d’après ». Son plan d’Accords d’Abraham II pourrait être la solution.
L’Egypte et la Jordanie sont discrètement … actifs. La Jordanie hachémite, qui sait être la fameuse vraie terre palestinienne créée de toutes pièces, se tait aussi.
Il ne s’agit donc pas pour Israël de déposer les armes mais de chasser, démilitariser. Ni de cesser-le-feu pour que les barbares se réarment.
Mais les faits sont là : c’est une guerre pour l’existence ou la disparition d’Israël et du peuple juif.
Car nous, ici, pourrons vivre hors d’Israël, mais pas sans Israël.
L’Iran et ses supplétifs ont montré les 7 et le 8 octobre, et depuis, qu’ils voulaient la destruction de l’Etat juif. Le pogrom, les bombes en tous genres, et « from the river to the sea » : Écoutez nos rues et nos campus.
En Occident, ces sauvages antisémites et les Frères musulmans placent aussi leurs pions : les islamistes et l’extrême gauche. Avec leur médias complices et des politiques lâches, électoralistes ou naïfs.
Gutierrez à Kazan rencontre Poutine sous mandat d’arrêt international d’une filiale judiciaire de l’ONU pourtant. Et maintient une autre filiale, l’UNWRA, officiellement complice du Hamas.
Et tout le monde se tait. L’ONU peut tout. N’importe quoi.
Les candidats-califes se bousculent au portillon pour imposer la charia.
Et Macron qui flatte le Hezbollah et qualifie Israël de « barbare » ou encore veut désarmer Tsahal.
Jean-Luc Mélenchon. Villepin. Les folles mais dangereuses députées démocrates américaines. Et quelques Belges ou Espagnols.
Israël sait qu’il doit non pas vaincre mais éliminer. C’est « eux », « Hamas, Hezbollah et Houthis », OU Israël.
Pour sauver les Libanaises et les Iraniennes. Les Gazaouies aussi.
Le reste est de la littérature. J’en suis navré. Mais c’est ainsi.
Personne n’a parlé de dommages collatéraux excessifs ou de proportionnalité au débarquement. À Dresde. À Hiroshima.
Personne n’a vu personne soigner l’ennemi et le nourrir ou l’écarter des pires dangers.
Israël doit exister. Légitime défense et donc légitimes offensives. Urgentes, de surcroît à cause de Harris et Obama.
En face, personne n’a plus le droit d’invoquer le droit. Comme cela se fait chaque jour pourtant.
Une guerre de survie. De vie ou de mort. Et les héros sont fatigués. Mais des héros.
On avait oublié de vous le dire. C’est fait.
©️Henri BENKOSKI
Absolument en accord avec cette synthèse. Effectivement personne ne peut s’autoriser, dans la précarité existentielle d’Israël, à juger, interdire ou empêcher les Israéliens de défendre leur pays, leur terre et la population. il est impossible d’imaginer un monde sans Israël, qui à mes yeux est la seule lumière qui demeure, dans l’obscurité qui s’installe sur le monde.
Bravo pour cette synthese
עם ישראל חי🇮🇱