A Tourcoing, une élève a frappé une enseignante qui lui demandait de retirer son voile. Ce n’est pas la première fois que des élèves insultent ou frappent des enseignants. Ces situations se répètent, jour après jour. Policiers, médecins, pompiers sont également menacés, frappés, blessés dans des proportions de plus en plus inquiétantes.
A BFM TV on parle de la situation d’insécurité presque comme d’un fait nouveau. J’ai travaillé dans tous les quartiers de France il y 30 ans et déjà la violence sous différentes formes rendait infernale la vie des habitants, des travailleurs sociaux et des policiers. Mais aujourd’hui, on est passé de la violence et des trafics illicites à des attaques plus ciblées en fonction de la personnalité des victimes.
Les agresseurs ne se revendiquent pas musulmans mais il y a de grandes chances qu’ils le soient. Très peu d’agressions de ce type par des jeunes adolescents sont commises par des « gaulois ». Ces faits divers devenus des faits de société parmi des milliers d’autres permettent de dire qu’il y a aujourd’hui une délinquance spécifique qui ne s’en prend qu’à des juifs ou des « français de souche », de même qu’il y a des dégradations de lieux de culte, de cimetières juifs ou chrétiens et jamais de mosquées.
Les règlements de compte ou les vengeances collectives existent à l’intérieur des communautés mais c’est une autre affaire qui a d’autres causes. Dans les cas en question, quel que soit son âge ou sa fonction, l’autre n’est plus un être humain comme soi, mais un ennemi à qui on peut faire tout le mal possible, comme dans une guerre. En fait c’est une guerre qui ne dit pas son nom et ce n’est pas de « l’ensauvagement de la société » comme les media se complaisent à le répéter.
Il n’y a pas d’ensauvagement de la société. Bien au contraire. Jamais notre société n’a été aussi pacifique, jusqu’à la soumission apathique, en dehors de quelques révoltes sporadiques, vite étouffées par la peur. La guerre qui nous est menée par une partie significative de la jeunesse musulmane et des migrants d’Afrique du Nord ou d’Afrique, endoctrinés les uns sur les réseaux sociaux et par des prêches radicaux, les autres par un bouche à oreille malsain, est une guerre à bas bruit, qui ressemble véritablement à une sorte d’ intifada. D’ailleurs le mot est prononcé par les plus radicaux qui voient dans le Hamas et le Hezbollah des modèles de résistance héroïque contre « l’occupation ».
Les agressions au couteau, les refus d’obtempérer, les rodéos urbains, les attaques de commissariats, la mise en cause perpétuelle des institutions et des moeurs françaises n’ont fait qu’augmenter depuis une trentaine d’années. Comme s’il s’agissait de faire face à une occupation illégitime dans la rue, les écoles, les prisons. Un ami franco-algérien me confiait récemment qu’il inscrivait son prénom musulman sur sa moto pour éviter qu’elle ne fût vandalisée ou volée. Une anecdote qui en dit long sur la séparation en cours et l’origine des violences de la vie quotidienne dont parlent les Français quand ils ne sont pas muselés ou intimidés par le déni officiel.
Cette guerre, comme toutes les guerres, est également civile puisqu’elle tente d’entraîner dans son combat une majorité silencieuse de musulmans qui en dehors de quelques voix courageuses et surtout féminines, a du mal à résister à la pression des plus radicaux.
Il est temps de comprendre la réalité. Nous sommes en guerre, paraît-il, contre la Russie en raison de son agression de l’Ukraine et il n’est pas question d’après certains de ressembler à ces « munichois » de 1938 qui ne voyaient pas le danger du nazisme. Allons-nous rester aveugles aux périls historiques qui nous menacent sur notre territoire et qui risquent de nous emporter tous, quelles que soient nos appartenances dans la pire des dérives collectives? Le 7 octobre, qui a bouleversé la société israélienne et fait comprendre le danger mortel qui la menaçait, doit aussi nous servir d’avertissement. Israël est vraiment le canari dans la mine.
© Charles Rojzman
Les canaris dans la mine sont nombreux en France, et ce, depuis longtemps. La gauche leur a claqué le beignet dans les années 1980 et vous en faisiez partie tout occupé que vous étiez à choyer les immigrés avec votre psychologie à deux balles. Pardonnez la grossièreté du propos.
Il n’ y a pas de délinquance, seulement l’ expression d’ un esprit de conquête.
Le racisme inversé et le nouvel antisémitisme donc le racisme anti-blancs et anti-Juifs sont devenus une idéologie d’Etat en Angleterre, en France et nombre de pays dits « occidentaux » (terme qui ne veut plus rien dire) au même titre que dans certaines des pires dictatures d’Afrique et du Moyen-Orient. L’Etat français, entre autres, pratique MASSIVEMENT la dissimulation de crimes racistes et/ou sexistes : viols ou/et meurtres. Quelquefois, comme avec les meurtres de Sarah Halimi et Thomas, l’info remonte à la surface et la preuve en est faite. Mais dans l’immense majorité des cas, l’info ne remonte pas : étouffer le réel et bâillonner les victimes est le but des ignobles LICRA @ SOS Racisme, des médias et de notre système judiciaire aussi criminel que les pires criminels qu’il juge. Pourtant bon nombre de mes concitoyens ne s’en emeuvent même pas : aux yeux des barbares, la barbarie représente la normalité. En outre, les néo nazis islamistes et indigénistes ont pris le contrôle des universités et des médias : en un mot, c’est L’Etat tout entier qui est concerné. Et pour cause : ces pratiques sont celles d’un régime fasciste et terroriste pour qui la vie de ses citoyens _ a fortiori s’ils sont pauvres _ « ne sont rien »
Rien que dans les foyers pour jeunes,, des centaines (au bas mot !) d’affaires de viols ont été étouffées. Pas toujours des viols racistes ou religieux, mais les victimes sont des jeunes filles sans argent et sans famille : autrement dit, aux yeux des autorités, elles « ne sont rien ».
En tant que citoyens, nous ne sommes évidemment pas en guerre contre la Russie. Ce n’est pas Poutine qui est complice du massacre et du viol d’innombrables citoyens français, britanniques, belges, allemands mais les gouvernements des pays en question. La fabrique d’un ennemi imaginaire sur fond de bruit des bottes et de haine xénophobe est d’ailleurs une autre marque distinctive des régimes fascistes. La France macroniste et melenchoniste (*) en coche toutes les case. Moscou n’est pas le paradis mais est à présent une ville mille fois plus civilisée que Paris, Londres, Bruxelles, Berlin, New York ou Washington. Si Poutine est l’ennemi des Fascistes qui dirigent la France et l’Europe, il est l’ennemi de mes ennemis et devient potentiellement un allié. Car nos prétendues démocraties ont basculé dans le Nazisme (ou Islamonazisme) et le prétendu camp du Bien est le Véritable camp du Mal.
Les « munichois de 1938 » modernes sont ceux qui collaborent avec le nazisme islamiste. En Europe, ils se nomment entre autres, Macron, Mélenchon, Corbyn, et tous les autocrates non élus de Bruxelles. Faire passer la guerre contre la Russie et le soutien aux Ukronazis pour une lutte en faveur de la démocratie alors que ceux qui la mènent sont les nouveaux munichois pro islamistes est une forme d’inversion des rôles stupéfiante. La plupart des veaux qui lisent Le Monde et Francs Tireurs ou regardent LCI, France 5 et Arte ne savent même pas que l’Ukraine a participé très activement à la Shoah et que l’actuel gouvernement de Kiev honore les nazis ukrainiens de 39-45. Ni évidemment que l’armee ukrainienne commet actuellement des crimes de guerre (autant que l’armee russe). La multiplication des mesures et des discours xénophobes contre les citoyens russes se trouvant en territoire occidental (voire contre des occidentaux ayant simplement vécu en Russie : quel crime !) s’apparente bien à une derive xénophobe et fasciste.
Pour faire gober au public européen 1) la propagande antisémite et génocidaire du Hamas et du Hezbollah 2) la propagande Pro Kiev et russophobe, il a fallu que les médias portent la désinformation à un niveau jamais atteint depuis 1945 et que le niveau d’inculture historique des Occidentaux soit dramatiquement bas. Comparable à celui de l’Afrique et du Moyen-Orient.On peut même parler d’une pandémie de crétinisme aigu.
Michel Onfray dit a juste titre : « Macron est un inculte ». Mais l’inculture de ce triste personnage est à l’image de son public et de la majeure partie des gens. Aujourd’hui Hitler pourrait parfaitement se présenter aux Élections et être élu président avec l’appui massif de la bobosphere, des médias et du Showbiz…Tout en se présentant comme un barrage contre l’extrême-droite !