Un deuxième tour au Liban? Des bipers et des téléphones explosent à nouveau (en cours): Des drones de Tsahal au-dessus de Beyrouth

« Nous sommes dans une réalité selon laquelle chaque agent du Hezbollah est une bombe ambulante ». Mordehaï Fitoussi

Au Liban, des bipers et des téléphones explosent à nouveau les funérailles des victimes de la veille.

Ici, des explosions ont lieu lors des funérailles du fils du député du Hezbollah, Ali Amar.

Alors que Nasrallah devrait prendre la parole, les Libanais signalent des centaines d’explosions dans la région de Beyrouth. Dans plusieurs centres du Sud Liban et dans le quartier Da’iyah du Hezbollah, selon des sources non officielles, un autre type d’engin serait en train d’exploser.

Une deuxième vague d’explosions de bips dans tout le Liban, de nombreuses victimes à Beyrouth, des explosions également à Nabatiyeh et Marj Ayoun.

Le Hezbollah demande « à tous les frères de jeter rapidement les appareils sans fil »

Il s’agirait aujourd’hui d’explosions d’iPhones, d’ordinateurs portables, de talkies-walkies et de radios, batteries au lithium destinées à l’énergie solaire et autres batteries à usage domestique.

Le chef du Hezbollah, Hashem Safi al-Din, vient de déclarer que le « groupe » était confronté à une « nouvelle phase » et que « des sanctions viendraient inévitablement ».

Une explosion est signalée sur un appareil de numérisation d’empreintes digitales, mais encore sur des batteries au lithium destinées à l’énergie solaire et d’autres batteries au sein de foyers. 500 blessés jusqu’à présent dans plusieurs centres du Liban en même temps.

L’armée libanaise demande aux Libanais de disperser les rassemblements et tente de dissuader le public de partager des photos des blessés : « Celui qui prend des photos des blessés, peut-être que votre téléphone explosera dans votre main et que la prochaine photo sera vous. Ne soyez pas un journaliste du journal hébreu ». (sic) Les photos de ce type sont nombreuses sur les RS.

Les « objets civils » ne doivent pas être transformés en armes, s’époumone le chef de l’ONU Antonios Guterres, alors que des avions ont bombardé la ville de Taybeh, au sud du Liban.