« Quelle honte. Quel parti pris. Quelle comparaison. Le droit au service de l’antisémitisme dit antisionisme. Curieux un procureur qui requiert deux fois ! Obsédé ! Impatient. Le comportement de Khan est d’ailleurs devant le Barreau londonien en vue de sanctions », commente Henri Benkoski.
Cette requête, initialement déposée en mai, a été réitérée par Khan en raison de ce qu’il qualifie de « criminalité continue » et de « détérioration de la situation en Palestine ».
Le procureur de la Cour pénale internationale (CPI), Karim Khan, a demandé à la Chambre préliminaire de la Cour d’émettre « de toute urgence » des mandats d’arrêt contre le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou, le ministre de la Défense Yoav Gallant, et le leader du Hamas Yahya Sinwar, les mettant ainsi sur le même plan.
Cette requête, initialement déposée en mai, a été réitérée par Khan en raison de ce qu’il qualifie de « criminalité continue » et de « détérioration de la situation en Palestine ».
Mandat d’arrêt contre Netanyahou : « La position du procureur Karim Khan n’est pas juridique mais politique. Il parle dans son communiqué de l' »État de Palestine » qui n’est même pas reconnu par les Nations unies. C’est un naufrage pour la CPI »
Le procureur affirme que ces mandats sont nécessaires pour « empêcher les suspects d’entraver l’enquête ou les procédures judiciaires, et pour prévenir la commission de nouveaux crimes ».
Khan a également demandé le retrait du mandat d’arrêt contre Ismail Haniyeh, leader du Hamas assassiné à Téhéran en juillet.
Il maintient sa demande concernant Mohammed Deif, cet autre haut responsable du Hamas dont l’assassinat par Israël en juillet n’a pas été officialisé.
Ces mandats d’arrêt sont liés aux accusations de « crimes contre l’humanité » et de « crimes de guerre », tant pour les atrocités commises par le Hamas le 7 octobre que pour les « politiques militaires israéliennes dans la guerre » qui a suivi.
La décision de la Chambre préliminaire I de la CPI a été retardée en juillet, lorsqu’elle a autorisé d’autres parties à soumettre des mémoires d’amicus curiae sur l’affaire, notamment concernant la juridiction de la Cour sur les ressortissants israéliens.
Si ces mandats d’arrêt sont émis, ils pourraient avoir des implications diplomatiques et juridiques significatives, tant pour Israël que pour le Hamas, et potentiellement affecter les efforts de paix dans la région.
L’évolution de cette affaire est suivie de près par la communauté internationale.
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Lle bureau du Premier ministre a déclaré que cette démarche est une « honte morale de premier ordre »
« La comparaison faite par le procureur de La Haye entre le Premier ministre et le ministre de la Défense d’Israël, qui combat le terrorisme meurtrier du Hamas selon les lois de la guerre, et le criminel de guerre Sinwar, qui exécute des otages israéliens de sang-froid, relève de l’antisémitisme pur et dur et d’une honte morale de premier ordre », a indiqué un communiqué du cabinet du Premier ministre.
« Malheureusement, nous avons vu dès le début que les procédures à La Haye sont politiquement biaisées et ne reposent sur aucune base juridique professionnelle ».
TJ
mettre le 1er ministre d’un pays démocratique et un terroriste au même niveau , c’est une honte
la CPI est entre les mains des antisémites