Circonstance : Voyage de Michel Barnier en Israël du 17 au 19 octobre 2004 : conférence de presse conjointe avec Silvan Shalom à Jérusalem le 18
Texte intégral
Mesdames, Messieurs, bonjour à chacune et chacun d’entre vous et merci pour votre attention à l’occasion de cette visite à laquelle, vous l’imaginez, j’attache beaucoup d’importance. Et je voudrais naturellement remercier mon collègue Silvan Shalom pour la qualité de son accueil. J’ai été heureux de le retrouver et de continuer le dialogue à la fois très cordial et très franc que nous avons eu à Paris à l’occasion de sa récente visite.
Il y a eu d’autres étapes importantes, sur le plan de ce dialogue politique aujourd’hui pour moi : naturellement, avec le président Moshé Katzav qui m’a longuement reçu, puis avec le Premier ministre, Ariel Sharon, et je verrai dans quelques instants le président de la Knesset, M. Reuven Rivlin et Shimon Pérès un peu plus tard.
Je suis venu pour cette première visite bilatérale en Israël, pendant presque trois jours, pour comprendre, pour écouter, pour expliquer aussi. Je suis venu en ami, et en ami exigeant, avec une conviction très solide : c’est qu’il y a entre nos deux pays une relation singulière, forte et durable. Je veux donc d’abord écouter et comprendre, et également marquer notre solidarité face à la violence et au terrorisme qui frappent ce pays et ses citoyens. C’est dans cet esprit que j’ai rencontré hier, et c’était un moment extrêmement fort et émouvant, plusieurs des victimes françaises du terrorisme ici, notamment des attentats de Netanya et de la pizzeria Sbarro.
Nous affirmons notre intransigeance sur le terrorisme, intransigeance sur la sécurité et l’existence d’Israël, pays fondé par les Nations unies. Nous considérons que quiconque conteste la légitimité d’Israël doit être condamné. Contester cette légitimité n’est pas acceptable pour nous. Donc, nous en avons bien sûr parlé ce matin, et nous continuerons à beaucoup parler du Processus de paix qui est en panne et qu’il faut relancer puisqu’il y a urgence. Cette spirale de violence et de désespoir menace l’ensemble de la région, et nous considérons ce conflit comme un conflit central dans l’arc de crise du Proche et du Moyen-Orient. Nous avons la conviction que j’exprime comme ministre français et comme ministre européen, que l’instabilité ou l’insécurité ici, c’est aussi, pour nous Européens, notre instabilité et notre insécurité.
J’ai redit notre objectif commun : un État d’Israël vivant en paix et en sécurité aux côtés d’un État palestinien viable et démocratique, le droit international devant bénéficier à tous. Et pour cela, vers cet objectif-là, nous avons un chemin, celui dicté par la Feuille de route qui reste, pour nous tous, le seul document de référence. C’est d’ailleurs ce que nous confirmaient, de leur côté, les autorités israéliennes, et le Premier ministre notamment que j’ai rencontré tout à l’heure. Nous appuyons le plan de désengagement de Gaza, comme une première étape de cette Feuille de route, et naturellement, il faudra franchir, une par une, les autres étapes, parce que personne ne doit perdre de vue cette réalité fondamentale : un peuple occupé ne renoncera jamais, quoiqu’il endure, l’histoire le montre, et la seule solution est bien de mettre fin à l’occupation qui a commencé en 1967. Je ne fais que citer d’ailleurs, précisément, ce que dit la Feuille de route, agréée par les deux parties, endossée par le Conseil de sécurité, et naturellement, au coeur de ce Conseil de sécurité, par les États-Unis d’Amérique eux-mêmes, comme par les pays de l’Union européenne qui en font partie.
Pour réussir cette première étape courageuse – je vois bien le débat difficile qui a lieu en ce moment, plus difficile que je ne le pensais d’ailleurs en arrivant, auquel est confronté le Premier ministre Sharon – pour réussir cette première étape courageuse qu’est le retrait de Gaza, il faut agir en coordination avec l’Autorité palestinienne, de telle sorte que Gaza ne soit pas livrée au chaos. C’est aussi le sens du dialogue que nous poursuivons, que je poursuivrai avec des responsables élus et légitimes de l’Autorité palestinienne, mais aussi avec les jeunes ou les nouveaux dirigeants de cette Autorité palestinienne.
Je voudrais dire, à ce stade, que l’Union européenne est prête à jouer ce rôle, tout son rôle, pour accompagner la réussite du retrait de Gaza. Et voilà pourquoi, comme l’a dit Javier Solana, elle va proposer un plan d’action qui accompagnera ce retrait sur le plan politique, économique et sur celui de la sécurité.
En ce qui me concerne, je vous ai dit que j’étais non seulement un ministre français mais un ministre très européen, je veux travailler à cette unité de vision et d’action des Européens sur ce conflit, pour que nous puissions agir ensemble pour la paix.
En d’autres termes, l’Europe ne se cantonnera pas et n’acceptera pas d’être cantonnée uniquement dans un rôle de soutien financier ou technique. Elle a un rôle à jouer et elle veut jouer ce rôle pour la stabilité et la sécurité du Proche et du Moyen-Orient.
Je voudrais dire quelques mots maintenant de nos relations bilatérales qui sont déjà très denses avec Israël. La France, l’Union européenne sont, Monsieur le Ministre, votre premier partenaire économique et commercial. 33 % de vos exportations, 53 % de vos achats, concernent la communauté européenne, et nos liens politiques, culturels, scientifiques, humains sont très importants. 80.000 Français vivent ici, en Israël. Les Juifs de France sont environ 600.000. Il y a plus de 500.000 francophones parmi vous et parmi lesquels vous-même, Silvan Shalom.
Donc ces liens sont considérables, importants, profonds, mais nous voulons aller plus loin. Voilà pourquoi j’ai parlé d’un nouvel élan dans les relations entre Israël et la France, et c’est exactement ce à quoi travaille le Groupe de Haut niveau animé, et je les en remercie, par l’ambassadeur Lancry et le professeur Khayat.
Dans cet esprit, nous allons prochainement ouvrir un nouvel Institut français à Tel Aviv. Nous allons amplifier notre engagement économique. Beaucoup d’entreprises dont j’ai rencontré les responsables, Veolia, Alstom et d’autres, sont prêtes à cet engagement, et nous allons intensifier notre coopération scientifique, à travers le Haut conseil scientifique, notamment dans le cadre d’accords européens.
L’Union européenne est l’espace naturel de développement d’Israël, et voilà pourquoi nous encourageons votre engagement dans le partenariat euro-méditerranéen. Nous espérons d’ailleurs que les discussions qui sont en cours en ce moment même entre les autorités d’Israël et la Commission sur la politique du nouveau voisinage, permettront d’arrêter très prochainement un plan d’action commun.
Enfin, et j’en ai terminé, j’ai voulu aller au cours de cette visite en particulier en Israël, mais pas seulement en Israël, à la rencontre des gens, donner de la diplomatie française, au-delà de sa dimension politique et naturelle, une dimension humaine et citoyenne. Et ici, en particulier, c’était pour moi rendre hommage à cette histoire tragique, qui est en très grande partie aussi la nôtre, lors de ma visite à Yad Vashem ce matin et de la visite du chantier du futur mémorial que j’ai trouvé impressionnant, la visite, hier matin, dans les premières minutes de mon arrivée sur la terre d’Israël, à Roglit, le Mémorial de la déportation des Juifs de France.
J’ai pris en compte cette dimension humaine et citoyenne en écoutant votre société civile, c’est ce que j’ai fait hier soir, en rencontrant un certain nombre de responsables de gauche, de droite ou du centre, qui m’ont parlé franchement de la réalité de votre pays et de sa volonté de paix, de ses peurs quelquefois, de l’absence de confiance en l’autre. J’ai pu mesurer le dynamisme de ce pays sur le plan économique, scientifique, universitaire, mais aussi les interrogations de la société israélienne. C’était, pour moi, aussi l’occasion d’expliquer à tous ceux que j’ai rencontrés, que je rencontrerai, l’engagement de la France qui est encore une fois, déterminée pour l’existence et la sécurité de votre pays, la condamnation très claire et systématique que nous faisons du terrorisme, qui est inacceptable ici et partout ailleurs dans le monde, et sa volonté, je le répète, de relancer désormais les relations bilatérales entre la France et Israël à partir de la visite que le président Katzav a faite, et qui avait eu un grand écho au début de l’année, de votre propre visite et de celle que je suis en train de faire.
Q – La France a fait part à plusieurs reprises de son souhait d’être impliquée dans le processus politique au Proche-Orient. Comment cela concorde-t-il avec les votes à l’ONU, avec le rapport de la France vis-à-vis des Palestiniens, et avec les incidents antisémites en France, même s’il est clair que le gouvernement fait énormément pour lutter contre ce phénomène ? D’ailleurs, aux États-Unis, on vient de mettre en place un système qui suit régulièrement les incidents antisémites. Peut-être cela pourrait-il être adopté en France ? Et je souhaiterais aussi votre commentaire sur l’éventuelle tenue d’un référendum en Israël.
R – Concernant votre dernière remarque, j’allais dire que s’agissant du référendum, je laisserai Silvan Shalom répondre, chacun ses problèmes de référendum.
Je ne suis pas un ministre qui donne des leçons. Chaque pays a ses propres traditions, et je sais bien qu’ici en Israël, la tradition du référendum n’existe pas. Elle existe chez nous, et non seulement chaque pays a ses traditions, mais chaque sujet a ses propres particularités, donc je me garderai bien de donner des leçons – ce qui n’est pas mon habitude – et de me prononcer sur un sujet qui fait débat souverainement dans la société politique israélienne.
Vous avez parlé de plusieurs sujets assez différents les uns des autres.
Oui, je confirme que la France, amie d’Israël, amie des pays arabes, dialoguant avec les Palestiniens, veut être utile pour qu’ensemble, et vous, d’abord ici, Palestiniens et Israéliens, retrouviez le chemin du dialogue politique et de la paix. C’est votre intérêt, c’est aussi notre intérêt en tant qu’Européens. Donc, ce que nous allons faire en tant que Français, nous le ferons à travers l’Union européenne. J’ai souvent eu l’occasion de dire à Silvan Shalom et à mes interlocuteurs israéliens qu’il ne faut pas se tromper sur ce qu’est l’Union européenne, sur ce qu’elle va devenir.
Nous ne sommes pas seulement un supermarché, qui peut envoyer des chèques ici ou là. Nous sommes, et nous voulons être un acteur politique. Si vous lisez la Constitution européenne, qui est en débat, qui va faire l’objet d’un référendum en France, vous y lirez notamment un chapitre sur la défense, que j’ai contribué à rédiger, comme l’un des ouvriers de cette Constitution, et c’est l’ambition que nous avons d’être une puissance politique, une puissance pacifique, qui joue son rôle dans le monde pour la stabilité et l’équilibre.
Donc, ne vous trompez pas, nous allons jouer notre rôle, et je pense que vous avez besoin de l’accompagnement, du soutien, de la garantie, bien sûr des crédits mais pas seulement des crédits, de l’accompagnement politique de l’Union européenne, comme de l’accompagnement politique des États-Unis d’Amérique, de la Russie, pour garantir un Processus de paix durable ici.
Nous continuerons de dire ce que nous pensons. J’ai dit ami, ami exigeant, c’est l’objet des votes que vous avez signalés aux Nations unies sur la barrière de séparation, je pense que c’était cela votre allusion. Je fais observer, d’ailleurs, que les pays européens, au moins dans un vote, ont été unanimes sur cette question.
Mais vous avez posé le problème, extrêmement important, des actes d’antisémitisme, de racisme, ou de xénophobie qui existent dans notre pays et dans beaucoup de pays dans le monde. Ces actes, je l’ai dit hier, à aucun moment et pour aucune raison, ne sont acceptables ni justifiables. Il n’y a aucune excuse, il n’y en aura jamais, s’agissant de l’antisémitisme, du racisme sous toutes ses formes et de la xénophobie ! C’est l’honneur de notre République française. C’est l’exigence du président de la République, il nous le rappelle chaque semaine, que de combattre ces actes, par la loi, par la répression et par l’éducation. Et, aussi bien le Premier ministre, M. Sharon, que le président Katzav qui est venu au début de l’année, et que Silvan Shalom, ont bien voulu, objectivement, me dire qu’ils reconnaissaient les efforts et les résultats de l’action du gouvernement français, de la société civile, pour faire reculer l’antisémitisme et le racisme. Nous continuerons à porter ce message chez nous et ailleurs. J’ai présidé il y a quelques mois- c’était quelques semaines après ma nomination- une conférence de l’OSCE à Paris l’antisémitisme et le racisme sur Internet. Voilà les nouvelles formes de diffusion de la pensée antisémite ou raciste qu’il faut combattre, parce que ce sont des méthodes modernes que ces gens utilisent, et j’accueille avec beaucoup de satisfaction la récente annonce du président des États-Unis d’une loi permettant le contrôle de ces actes. Je crois qu’en effet chacun doit agir sur son territoire et être vigilant.
Q – Monsieur Silvan Shalom, est-ce que dans le cadre de la Feuille de route, vous considérez que le désengagement de la bande de Gaza par Israël est irréversible ?
R – Si vous me permettez peut-être de dire juste un mot, puisque Silvan Shalom vient de parler de l’Europe, qui a l’ambition d’être moins un médiateur que d’être un accompagnateur. Je ne crois pas que l’on ait besoin de beaucoup de médiateurs pour mettre en oeuvre la Feuille de route mais qu’il faut être aux côtés de ce processus pour, par de la politique, par des crédits, par de l’assistance technique, réussir les premières étapes- une à une- de ce processus. Je redis devant vous que la décision qu’a proposée le Premier ministre Sharon de se retirer de Gaza est une décision courageuse, on le voit dans le débat politique d’aujourd’hui. Et lorsqu’elle aura été confirmée par le vote de la Knesset, cela c’est la liberté de Parlement, elle devra être mise en oeuvre. Mais naturellement, se retirer de Gaza, c’est autre chose que réussir le retrait de Gaza. Donc il faut s’attacher à réussir ce retrait, comme une première étape, une première preuve, qu’au-delà de ce qu’on souhaite et de ce qu’on dit, on a sur le terrain, des territoires qui constituent, y compris dans des frontières provisoires, l’État palestinien que nous souhaitons.
Nous sommes prêts à participer aux côtés des États-Unis d’Amérique et d’autres membres de la communauté internationale à la réussite du retrait de Gaza, en regardant bien avec nos amis israéliens toutes les conditions pour cette réussite. Il faut que le territoire de Gaza soit viable, il faut qu’il soit sûr. Par exemple, nous voulons soutenir l’initiative égyptienne sur la réorganisation des services de sécurité de l’Autorité Palestinienne qui en ont besoin. Et puis, il y a le port et l’aéroport, les conditions de circulation pour les gens qui travaillent, la frontière sud, vers l’Égypte. Tout cela ce sont des choses qu’il faut voir pour donner les garanties, ou les conditions de la réussite, de ce retrait de Gaza et c’est ce à quoi, comme l’a dit Javier Solana, nous sommes prêts à participer de manière constructive.
Q – La France, dans le cadre de l’Europe prendra-t-elle des sanctions contre Israël, comme l’annulation des accords d’association, afin d’exercer une pression politique contre Israël sur le volet palestinien ? Et si vous pouviez nous donner davantage de renseignement sur la « strip map », la nouvelle initiative de Javier Solana ?
R – J’ai lu dans le journal avant mon arrivée, cette crainte d’une sanction. Je ne vois pas sur quoi elle repose. Ce n’est pas notre état d’esprit, ni d’un côté ni de l’autre que d’agir avec des sanctions. Simplement, il faut voir que l’Union européenne, qui compte vingt-cinq pays aujourd’hui, a décidé de mettre en place une nouvelle politique de voisinage. Et donc nous sommes en train de discuter de cette politique de voisinage qui intéresse notamment tous les pays qui se trouvent sur l’autre rive de la Méditerranée, dont Israël, l’Autorité palestinienne et cette politique de coopération politique et financière est très importante pour nous. Il n’y a aucun retour en arrière sur la politique d’accords d’association. C’est une politique qui vient compléter, qui vient accompagner ces relations et il faut discuter. C’est ce qui se passe en ce moment entre la Commission européenne et le gouvernement israélien. Il n’est pas question de sanctions.
Q – Ma question concernait la strip map, la nouvelle initiative de Javier Solana.
R – La « road map », la « strip map ». Laissez Javier Solana travailler sur ce sujet avec le gouvernement.
Q – L’antisémitisme pose-t-il problème dans la relation entre la France et Israël ?
R : Franchement et en conscience, je ne le pense pas. Il y a dans mon pays depuis très longtemps, depuis des siècles, et on peut trouver au début du 20ème siècle, des épisodes tragiques qui illustrent cette forme d’antisémitisme que nous n’accepterons jamais. L’affaire Dreyfus et d’autres épisodes ont marqué la société française, la politique française, bien avant qu’Israël ne soit créé et qu’il y ait ce conflit. Donc, je ne le crois pas.
Nous avons combattu – différentes Républiques et différents gouvernements – l’antisémitisme et le racisme, et nous continuons, franchement ! C’est quelque chose d’indépendant, d’ailleurs : on voit des formes de racisme et d’antisémitisme dans d’autres pays, qui n’ont pas forcément les mêmes positions politiques que nous, sur le plan international. Nous continuerons à combattre dans notre société par la répression, par la loi, par l’éducation toutes ces formes de racisme et d’antisémitisme.
(Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 21 octobre 2004)
la france fait partie de ces nations auquel israel du etre tres dur contre eux mais tout ce qui est arrivé le 7/10/23 est de la faute surtout de cette gauche d oslo qui a tout donné au fatah terroriste 1/40% de judee samarie juive 2/presence a l epoque a jerusalem 3/gaza qui aurait du etre annexer par israel les cons de politiciens de gauche et likoud ont fait que des erreurs que pâie israel de nos jours et cela a commencer avec le cadeau de moshe dayan en juin 67 au vaincu jordanien du mont du temple juif « » totu ca parce que mr dayan etait anti religieux et le faux nationaliste pm menachem begin le prends comme ministre des aff etrangeres et surement ca du etre lui qui a du lui souffler de rendre le sinai au vaincu l egypte qui a declenché la guerre de kippour en oct 1973 (que j ai faite comme tankiste et j ai été outré que bégin rendre le sinai » quel pauvre type » , apres c est shimon pérés avec la rotatsia avec shamir vice pm qui recoit moubarak qui lui demande de reprendre la zone de taba qui devait etre la frontiere avec l egypte « »pour vous dire a tous qu avec les arabes faut pas faire d accords qu ils ne respectent jamais « » , alors moubarak demande a shimon pérés taba ce que meme paz shamir ose bloquer le deal et shimon pérés offre taba a moubarak qui na meme pas respecter les accords sadate/begin qu ils ne respectent jamais en plus « » , c est totu ce que savent faire ces fumiers de politiciens achkenazes d israel que des cadeaux aux arabes , apres vient la catastrophe d oslo ou rabin pérés et barak offre tout au fatah au lieu de leur faire la guerre ils leur offrent tout ce que j ai ecris plus haut , et le fatah declenche l intifada el aksa en 2000 avec des milliers de morts et blessés lors d attentats terribles et avec ca vient le likoud et au lieu de faire payer le fatah » le likoud honore oslo sans faire payer le fatah « »quel honte tout ca « »
je suis ecoeuré de ces politiciens de gauche et droite qui ont vendu leurs ames et meme les generaux d etat major ont fait que des conneries en construisant cette faillite totale de passoire frontière entre gaza et israel qui a provoqué le 7/10/23 ou les services du shin beth mossad amane etat major n ont rien vu venir et tous ces chefs militaires devraient demissionner parce qu a cause d eux 1500 israeliens ont ete sauvagement assassinés « quel honte »
moi je n attends rien de michel bernier l homme de bruxelles qui est depuis de gaulle a macron ont eu une politique anti israelienne et plutot pro palestinienne la france doit apprendre que la judee Samarie et gaza ont eu des histoires juives et c est ca que devrait apprendre les politiciens de droite au pouvoir en israel « au monde »
tout ca est de la faute des politiciens d israel qui au lieu d etre intransigeant via vis a des arabes ont ete trop conciliant « »que ca soit la gauche travailliste ou le likoud ont fait etrangement la meme politique !!!
le seul qui devrait etre pm a mes yeux est ben gvir et smotric min de la defense et liebermann min de la securité !!
Cher Marco , je resume votre vision : nous les juifs devont arreter de remercier les non juifs( arabes ou autres) de nous laisser vivre !
Nous n avons aucun remerciement a adresser a quiconque , si nous sommes encore la c est au courage de nos ancetres que nous le devons .
Apprenons a frapper nos ennemis sans pitié et a reserver notre amitié aux amis , bref il faut redevenir des hebreux car ce sont des juifs du ghetto qui ont signé les » accords » d oslo
cher t amouyal tu décornes complètement » ou vois tu que je dois remercier les non juifs bien au contraire tout ca parce que les juifs sont pas unis et regarde les enfants et petits enfants de rescapés de la shoah qui auraient du apprendre a leurs rejetons « la fierté d être juif et de ne pas avoir confiance en personne surtout pas aux arabes que je déteste , a l islam qui n est pas une religion de paix mais plutôt une religion de conquête du monde et d islamisation du monde !
moi j en ai rien a foutre des arabes surtout ou des goyims et surtout de cette Europe ou ont péri 6 mions de juifs sauvagement assassinés et cette Europe auquel je n y crois plus le fait qu elle a fait venir des millions d immigrés muzz en les laissant faire ce qu ils veulent et se sont islamisés grace a l aide des freres muzz de la turquie , qatar , arabie en leur enseignant la haine du juif et d israel dans leurs mosquées , a un tel niveau qu ils s attaquent aux juifs avec l aide de partis de gauche et extreme gauche !
si les juifs achkenazes qui ont la shoah dans leurs familles auraient du etre durs et anti arabo palestinien » parce que le mufti de jerusalem amine el husseini a fomenté l antisemitisme en pays arabes et a pousser hitler a avoir une politique anti juive , et regardez les descendants d achkenazes en israel ou aux usa sont devenus gauchistes et pro palestiniens comme ces ong de shalom achav , bethselem , yesh din , yesh vul etc qu israel devrait considerer comme ennemis d israel pour defendre la cause palestinienne que celle d israel » « » étranges achkenazim « » ou aux usa des groupes juifs gauchistes comme jews voice of peace , ou ifnotnow preferent manifester pour le hamas en demandant qu israel disparaitre pour qu un etat islamique soit creer de la mer au jourdain !!
ya qq chose qui va plus chez juifs surtout de gauche qui ont vendu leurs ames a la cause palestinienne comme la cour supreme qui prefere defendre plus la cause palestinienne que celle du grand israel sioniste !
que penses tu de ces juifs qui sont devenus anti religieux et ont de la haine pour les habitants juifs de judee samarie et par contre adorent la cause palestinienne et moi aussi bien la gauche de rabin , shimon perés et barak d avoir pactiser avec le fatah en leur ayant donner tout ce qu ils voulaient et le likoud sensé etre nationaliste vient au pouvoir aprés l intifada el aksa en 2000 declencher par le fatah et ce meme likoud de sharon et bibi au lieu d etre dur avec le fatah de ramallah ont collaboré avec eux alors on sait que le fatah réve d une palestine islamique comme le hamas le veut aussi et derriere il y a l ombre de l arabie saoudite , qatar , et iran !
israel doit plus avoir confiance aux arabes quel qui soit et etre intransigeant et meme denoncer les accords sadate /begin que l egypte na jamasi respecter et reprendre el controle militaire du sinai que jamais menachem begin aurait ! du ceder au vaincu l egypte « » parait il d apres ses memoires golda meir voulait annexer toutes les conquetes avec levi eshkol et pourquoi elle n est pas sortie du maarakh pour creer un nouveau parti annexionniste et comme ca elle aurait pu faire changer la politique d israel du futur !!
que ca soit la gauche d oslo responsable de ce qui est arrivé a israel le 7/10/23 ou la gauche a pourri tous les rouages de tsahal en rendant des generaux de hauts rangs « » partisans d un etat fatah comme des ex chefs du mossad shin beth etc avait parlé a la chaine franco allemande arte en disant qu ils soutenaient la creationd un etat fatah ;;;quel honte ..;;mais si le likoud avait été normal ils auraient du briser tous ces gens gauchistes en les virant de l etat et helas le likoud a fait les commes conneries que la gauche d oslo en faisant eux aussi des cadeaux aux arabes ;;
ils sont tous responsables de la faillite d israel du 7/10/23 gauche et likoud !
et quand on voit en israel des israeliens manifestants pour que le hamas gagne et qu israel perde la guerre « ya qq chose qui va dans la sté israelienne » ces gauchistes faut leur briser les reins , les licencier et les virer sans salaires et sils adorent la cause hamas « »ils ont qu a aller vivre en pasy arabes « ils verront la difference » !!!