ET S’IL N’AVAIT PAS DISSOUS?
Macron préside en majesté à la cérémonie d’ouverture des paralympiques,
Alors qu’aux funérailles d’Eric COMYN, il brillait par son absence.
Bon, restons sur l’actualité.
Après la parenthèse enchantée des JO, va-t-il tirer de cet acte 2 un avantage politique?
Je me dis que ça lui donne un bon prétexte pour repousser, pour quelques jours encore, la nomination du Premier Ministre.
Dans l’immédiat,
Ce qui est frappant,
c’est la rapidité fulgurante avec laquelle l’effet JO s’est effacé des esprits.
Un Président sans Premier Ministre est voué aux oubliettes, par la totalité ( ou presque) de bb la classe politique.
Retournement vertigineux qui en dit long sur le bénéfice politique considérable que le chef de l’État
aurait pu tirer des JO s’il n’avait pas cédé à une funeste impulsion, un certain 9 juin 2025.
Essayons d’imaginer un instant ce que serait la politique actuelle si EM n’avait pas dissous l’AN?
Si au lendemain des élections européennes, malgré le désastre de Valérie Hayer, le Président avait rangé son humiliation dans sa poche et était passé à la suite!
C’est à dire aux JO!
© René Seror