Le hamas est une organisation correspondant aux normes internationales de terrorisme, crime de guerre et crime contre l’Humanité. Ça fait beaucoup.
Ses modèles de fonctionnement, sa méthode, son but, sont calqués sur ceux du régime des mollahs iraniens qui assurent avec le Qatar son financement et son armement.
Le fil de la négociation entre hamas et Israël est identique à celui des mollahs avec les États occidentaux et l’Agence de contrôle atomique (AIEA) lors des « négociations » sur les vérifications atomiques.
1- Méthode de « négociation » du hamas
Ruptures alternées aux reprises des « négociations », modifications et violations des engagements soi-disant contractés, exigences nouvelles et de dernière minute, mensonges, manipulations des faits et des personnes, truquages, revirements divers, telle est la méthode de « négociation » du hamas observée dans son déroulement avec Israël depuis la prise d’otages et les massacres perpétrés par la bande criminelle le 7 octobre 2023.
A l’évidence, aucun des éléments de « négociation » du hamas ne le sont.
2- Le hamas s’interdit toute véritable négociation
Plusieurs obsessions de haine lui interdisent toute négociation réelle.
Subdivisions raciales des non-musulmans par le hamas
A l’instar des mollahs de Téhéran, le hamas considère et nomme les non-musulmans comme des sous-êtres, des infidèles (même s’ils sont croyants !), des « pièces » ne répondant à aucune norme de respect humain… puisque et surtout les Juifs n’en sont pas !
Cette gradation raciale ne permet au hamas aucune négociation avec les « impies » puisqu’elle est réservée aux « enfants de Dieu », c’est-à-dire aux leurs et que ni les occidentaux, ni encore moins les Juifs , ne sont supposés appartenir à la sphère humaine !
Selon eux, tout est interdit aux « impies » et tout est permis aux « enfants de Dieu » du hamas et des mollahs, précisément lors et dans le cadre des « négociations » avec eux.
C’est ainsi que s’expriment les mollahs, le hamas et les Libanais chiites du hezbollah.
C’est ainsi qu’à la différence des négociations véritables, celles avec le hamas ne permettent aucune avancée, aucune progression, aucun optimisme.
La libération de quelques otages après leurs captures est une exception cadrée par l’inhumanité des geôliers.
La nature et les actes du hamas sont contraires à l’idée même de négociation
L’observation des conditions de la libération des quelques otages civils quelque temps après leurs captures, les récits de leurs tortures et la nature même de la capture de civils par des criminels armés a clarifié si besoin était l’inhumanité des geôliers du hamas si éloignés de tout objectif de négociation.
3- Les objectifs du hamas ne sont ni la négociation, ni un accord avec Israël mais sa destruction et sa défaite
Les conditions et la prise d’otages par le hamas de civils en Israël n’a pas pour objectif une réelle négociation.
Les refus alternativement assumés et contestés du hamas de communiquer le nombre des otages, leurs situations sanitaires, ceux vivants, ceux blessés et nécessitant des soins, ceux décédés par torture ou par absence de soins et de médicaments, ne correspondent non seulement à aucun type de négociation mais constituent un élément de torture supplémentaire en regard des droits humains et l’antithèse de toute négociation.
Le hamas utilise la négociation comme un instrument supplémentaire.
Par son comportement génocidaire vicié par la haine, la prise d’otages divise volontairement la société israélienne, reflet d’une société libre et démocratique en temps de guerre en laquelle tous les avis sont permis.
L’objectif du hamas n’est pas de négocier. Il est de terroriser, d’humilier, d’inhumaniser l’ennemi juif et de neutraliser les forces de réactions israéliennes.
4- Favoriser l’observation et éviter la naïveté
En Droit international public, la négociation est supposée suivre, interrompre et terminer un conflit entre parties.
Or…
… les organisations terroristes, criminelles et contre l’Humanité ne constituent aucune partie reconnue par le Droit international public.
… les tensions vécues par les civils et leurs familles concernant les otages, sur lesquels les tortionnaires ne communiquent que de rarissimes indications par diffusions contradictoires et dont des corps notamment mutilés sont découverts par le libérateur israélien ne peuvent bénéficier par définition ni par destination de négociation réelle ni productive.
… le hamas n’attache aucune importance à la vie humaine.
Celles des leurs consistent, selon eux, à mourir en shahid (martyre) contre la « monstruosité juive » et celle des autres compte encore moins.
L’absence de légitimité du hamas à exister et à négocier se choque à l’utilisation par l’organisation criminelle de la négociation comme instrument supplémentaire aux tortures, aux meurtres et aux souffrances des otages.
Ils placent leurs instruments de tortures et de bombardements au milieu des civils de Gaza.
… les Israéliens sont habitués à la démocratie parlementaire. Pour eux, la négociation correspond au respect du Droit, des droits et des devoirs. Ils placent la vie humaine au-dessus de toute autre exigence.
La liste de ces éléments n’est pas exhaustive.
Utilisée en instrument supplémentaire de coercition, la « négociation » n’intéresse pas les assassins du hamas. Ils la manipulent à des fins de destruction, de démoralisation et d’échec d’Israël dans son combat pour sa survie et les libertés universelles.
La naïveté réelle ou feinte des occidentaux, la duplicité des États qui craignent le hamas tout en le considérant comme un partenaire normal (Egypte, Jordanie, dictature palestinienne, une partie de l’ Europe occidentale, etc), la férocité des ennemis d’Israël, tous sont favorables à la « négociation » avec le hamas.
Plus que partout, le combat plus ou moins solitaire que mène Jérusalem pour l’élimination des exterminateurs et la récupération des otages doit s’opérer non sur la naïveté mais sur l’observation des faits.
Pour le malheur des familles des otages et d’Israël, la « négociation » avec le hamas est un leurre dangereux pour Israël. L’Etat hébreu doit dépasser les clivages politiques et poursuivre jusqu’à obtenir sa victoire sécuritaire comme c’est fermement le cas.
C’est à ce prix douloureux (soldats tués, nombre et état sanitaire des otages incertain) et nécessaire qu’une fois encore Israël vaincra et qu’Israël vivra.
Pierre Saba
28 août 2024
Le Hamas ne veut pas d’accord avec Israël
C’est pour lui un moyen de faire traîner les négociations
Il veut tout Israël comme il est dit dans leur charte
Israël a raison de se montrer ferme et malheureusement nos pauvres otages
en paient le prix, ceux qui restent , car petit à petit il en reste peu..