Tribune Juive

Les JO : j’ai ressenti la fierté des Français, par André Simon Mamou

Les Jeux Olympiques, j’en garde le souvenir : un flamboiement puis le regret que la fête soit terminée.

Quand je lis un livre qui m’enchante, vers la fin je lis un peu moins vite pour ne pas le terminer tout de suite .
Les JO à la télé , ils ont défilé à leur rythme qui s’est imposé à tous .

Je suis content d’avoir suivi les retransmissions des sports qui m’ont toujours passionné .
J’ai vu le foot avec la victoire de l’ Espagne, le volleyball avec celle de la France, le basket avec les USA qui devancent les françaises d’un seul petit point . Et j’ai vu Leon Marchand fendant les flots pour rafler 4 médailles d’or . J’ai vu le judo, l’escrime , le saut en hauteur , le saut en longueur , les lancers du poids, du javelot … et j’ai vu les athlètes du sprint ou des longues distances … Je n’ai pas tout vu mais j’en ai vu beaucoup.

Et puis j’ai vu Paris : une ville de rêve ! « Paris est une fête « , titre choisi par Hemingway et comme il avait raison !
Sous la pluie ou sous un soleil implacable , la ville s’offrait à l’admiration de tous!
La Seine comme scène d’une visite admirative des monuments , des places et des avenues , des immeubles Hausmann.
J’ai vu la joie des étrangers et j’ai ressenti la fierté des Français . C’était infaisable , c’était impossible à réaliser et tout a fonctionné . Les métros , les bus , les cars tout a convergé là où il fallait . Les forces de l’ordre ( 35.000) ont assuré et la racaille est restée chez elle .
Le Président de la République aurait été désigné du doigt au moindre incident ou accident : une tribune qui s’effondre ou un incendie qui se propage , un meurtre , une bataille rangée … La chance était présente à Paris pour veiller sur les JO 24 . Le Président Macron a eu de la chance! C’est supérieur au talent .
Bravo Monsieur le Président !

Et pour finir sur un éclat de rire :
L’ adversaire de l’Israélien Baruch Shmailov refuse de lui serrer la main, crie “Allah Akbar” et se blesse grièvement !

Il y a des jours comme ça où tout va bien !

© André Simon Mamou

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