Les Jeux Olympiques, j’en garde le souvenir : un flamboiement puis le regret que la fête soit terminée.
Quand je lis un livre qui m’enchante, vers la fin je lis un peu moins vite pour ne pas le terminer tout de suite .
Les JO à la télé , ils ont défilé à leur rythme qui s’est imposé à tous .
Je suis content d’avoir suivi les retransmissions des sports qui m’ont toujours passionné .
J’ai vu le foot avec la victoire de l’ Espagne, le volleyball avec celle de la France, le basket avec les USA qui devancent les françaises d’un seul petit point . Et j’ai vu Leon Marchand fendant les flots pour rafler 4 médailles d’or . J’ai vu le judo, l’escrime , le saut en hauteur , le saut en longueur , les lancers du poids, du javelot … et j’ai vu les athlètes du sprint ou des longues distances … Je n’ai pas tout vu mais j’en ai vu beaucoup.
Et puis j’ai vu Paris : une ville de rêve ! « Paris est une fête « , titre choisi par Hemingway et comme il avait raison !
Sous la pluie ou sous un soleil implacable , la ville s’offrait à l’admiration de tous!
La Seine comme scène d’une visite admirative des monuments , des places et des avenues , des immeubles Hausmann.
J’ai vu la joie des étrangers et j’ai ressenti la fierté des Français . C’était infaisable , c’était impossible à réaliser et tout a fonctionné . Les métros , les bus , les cars tout a convergé là où il fallait . Les forces de l’ordre ( 35.000) ont assuré et la racaille est restée chez elle .
Le Président de la République aurait été désigné du doigt au moindre incident ou accident : une tribune qui s’effondre ou un incendie qui se propage , un meurtre , une bataille rangée … La chance était présente à Paris pour veiller sur les JO 24 . Le Président Macron a eu de la chance! C’est supérieur au talent .
Bravo Monsieur le Président !
Et pour finir sur un éclat de rire :
L’ adversaire de l’Israélien Baruch Shmailov refuse de lui serrer la main, crie “Allah Akbar” et se blesse grièvement !
Il y a des jours comme ça où tout va bien !
© André Simon Mamou
En réalité, la cérémonie d’ouverture de notre dictature islamo-fasciste a surtout suscité le ridicule et la honte. J’ai honte pour ce pays et la majorité de ses habitants.
Les JO de 1936 ont eu lieu à Paris.
Qu’on puisse se sentir fier d’être français au sujet d’une telle propagande orwellienne et ubuesque me donne encore plus honte de l’être.
“L’ adversaire de l’Israélien Baruch Shmailov refuse de lui serrer la main, crie “Allah Akbar” et se blesse grièvement !”
Et, sous le titre : “Insolite mais savoureux” une vidéo a été mise en ligne le 13 août sur le site Résistance Républicaine.
On y voit un individu mettre le feu à un immense drapeau israélien. Le drapeau s’enflamme mais soudain, suite sans doute à un coup de vent inattendu, c’est le pyromane qui prend feu car les flammes se sont retournées contre lui. Comme si le drapeau avait voulu le punir !
Macronus Imperator, après s’être identifié d’une façon éhontée à ces jeux coliséens, va injecter à la plèbe une nouvelle dose d’anesthésiant. Le copié-collé du lyrisme oratoire sera une nouvelle appropriation séductrice à l’occasion des commémorations de “Paris libérée”. Après le 24 août, de par l’exaspération du peuple entretenue par quelques tribuns sur le retour, “Paris brûlera-t-il?”.
@Josaphat Oui, voir des collaborationnistes à la tête d’un pays sous complete domination islamiste et indigéniste (ainsi qu’europeiste, étasunienne) célébrer la résistance et la libération est particulièrement révoltant. Tout n’est qu’imposture dans ce pays. Imaginez Pétain déguisé en modéré centriste, Laval et Himmler en leaders de gauche, la milice en association “antiraciste” ou Je Suis Partout en presse de référence et vous obtenez la France d’aujourd’hui. Tellement “républicaine” et “démocratique” que les actes de barbarie dignes des pires scènes de films d’horreur, le déni de justice et la censure médiatique sont devenus la norme.
“Bien analysée, la liberté politique est une fable convenue, imaginée par les gouvernements pour endormir les gouvernés”
Napoléon
“Le discours politique est destiné à donner aux mensonges l’accent de la vérité, à rendre le meurtre respectable et à donner l’apparence de la solidarité à un simple courant d’air.”
George Orwell