Blinken aux alliés des États-Unis: l’Iran pourrait attaquer Israël dans les prochaines 24 à 48 heures

Alors que les États-Unis sont prêts à garantir à Israël qu’il pourra reprendre les combats contre le Hamas à Gaza après la première phase d’un potentiel accord de cessez-le-feu et de libération d’otages, comme moyen de faire pression sur le Hamas pour qu’il libère tous les otages et que les sirènes d’alerte retentissent désormais sans plus aucune pause en Israël, Tsahal intercepte des cibles aériennes suspectes en provenance du Liban, déploie des renforts jusque dans les villes du centre d’Israël et fait face à toutes sortes de menaces, y compris celles d’infiltration dans la région de Sharon, suite à des renseignements faisant état d’intentions imminentes d’attaques d’infiltration palestiniennes depuis la Cisjordanie, dirigées par l’Iran et le Hamas, et mène en réponse des frappes aériennes et d’artillerie contre des infrastructures du Hezbollah dans le sud du Liban.

Les ministres des Affaires étrangères des pays du G7 publient pour leur part une déclaration exceptionnelle mettant en garde contre une escalade généralisée au Moyen-Orient, exhortant “toutes les parties impliquées à éviter la poursuite du cycle destructeur actuel de représailles violentes, à réduire les tensions et à engager des contacts de manière constructive pour désamorcer l’escalade”.

À son tour la Turquie recommande à ses ressortissants de quitter le Liban “tant que des vols commerciaux sont disponibles”, tandis que Le Caire, selon le journal Al-Arabi Al-Jadid, informe Israël et l’Iran que l’Égypte compte rester neutre dans le conflit et “fermer son espace aérien face à toute action militaire qui menacerait la situation dans la région”, “cette décision n’étant pas un acte hostile envers l’Iran mais visant à préserver les intérêts et la souveraineté égyptiens”. 

Le secrétaire d’État américain Antony Blinken aurait dit à ses homologues des pays du G7 que Washington pense qu’une attaque iranienne contre Israël pourrait commencer aujourd’hui lundi.

Le président iranien Masoud Pezeshkian pour son compte continue à qualifier l’assassinat d’Haniyeh “d’acte lâche commis par les sionistes”: selon lui, “l’Iran attend de tous les pays islamiques et des personnes libres qu’ils condamnent fermement ce crime”.

TJ

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  1. Problème : bon nombre de pays européens, France en tête, ont depuis longtemps rejoint le camp islamonazi. A titre d’exemple, la propagande néo vichyste de l’hexagone (Le Monde, Sévice Public, Libération, Marianne et Tutti quanti), avec cette manière d’inverser systématiquement les rôles qui la caractérise si bien, essaie de faire passer Israël pour l’agresseur et le régime de Téhéran pour la victime. Soyons sûrs qu’en cas de confrontation militaire entre Israël et l’Iran, le Quai d’Orsay et l’Elysée, vitrines du Qatar et des indigènes de la République, tenteront de culpabiliser Israël. L’Elysee prône la “désescalade” lorsqu’Israel riposte aux attaques criminelles de l’Iran, du Hezbollah et du Hamas. Mais par le plus grand des hasards lorsqu’il s’agit du conflit en Ukraine, l’Elysée s’oppose à des négociations et pousse au carnage.

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