« Pogrom(s) », le dernier film de Pierre Rehov, démonte toute la propagande antisioniste

Si vous ne deviez visionner qu’un seul film sur le massacre du 7 octobre, ce serait sans hésitation “Pogrom(s)” de Pierre Rehov

« Pogrom(s) » Teaser en VF: Nous avons achevé la production de Pogrom(s). Un documentaire de 90 minutes, qui explore les atrocités du 7 octobre, dans le contexte d’un renouveau organisé et financé de l’antisémitisme mondial. Nous sommes en négociation avec plusieurs distributeurs pour sa sortie. Pierre Rehov

D’excellentes initiatives ont été entreprises par d’autres producteurs et réalisateurs qui reviennent sur cette tragédie avec plus ou moins de pertinence. L’objet de cet article n’est pas de les citer ni de ls critiquer, mais d’évoquer le dernier chef d’oeuvre de Rehov, que les lecteurs de Dreuz connaissent bien.

De notre avis, “Pogrom(s)” répond à la plupart des questions que vous pouvez vous poser concernant la tragédie du 7 octobre 2023.

Le film se décompose en trois parties distinctes et complémentaires, qui provoquent chez le spectateur des émotions allant de la tristesse à l’horreur, en passant par la révolte et la colère. Mais ne vous y méprenez pas. Ces émotions sont essentielles car elles accompagnent la découverte et la compréhension du contexte historique et politique dans lequel s’est déroulée cette horreur sans précédent depuis la Shoah. 

La première partie revient sur le déroulé des évènements du 7 octobre, par la voix des premiers secouristes et celle de divers analystes de très haut niveau. C’est le moment de grande émotion car les évènements sont retranscrits de façon crue, mais avec tendresse et lucidité. Je prends soin de ne pas vous donner de détails car le film doit être vu, et non pas raconté.

La seconde partie explore la psychopathologie des terroristes d’obédience néo-nazie qui ont perpétré ce que le réalisateur appelle à juste titre un “pogrom”, pour ne pas utiliser le terme “massacre”, qui est en dessous de la réalité, ou “génocide” bien que cette dernière définition soit celle qui corresponde le mieux à l’atrocité de l’évènement. Cela conduit à un rappel historique de tous les massacres, pogroms et génocides commis au nom de l’Islam depuis des siècles puis à une démonstration de la complicité passive de nombreuses ONG, des Nations Unies et de la Croix Rouge.

La troisième partie, enfin, explore et dévoile le plan mis en place par les Frères Musulmans et financé par le Qatar, dont le but est la colonisation idéologique du Monde Occidental, et qui s’est révélè à travers les milliers de manifestations antisémites terrifiantes qui désormais divisent le monde libre en deux camps. Pour ou contre l’existence d’une nation juive ? Ou, pire, pour ou contre l’extermination du peuple Juif.

« Pogrom(s) » est tellement convainquant que son visionnage devrait être obligatoire dans toutes les écoles et les universités, pour mettre fin ou freiner le retour vers les années trente qui est en train de s’opérer. Comme le dit Richard Rossin, ancien secrétaire général de Médecins Sans Frontières qui intervient plusieurs fois de façon éloquente dans Pogrom(s). ” On avait dit : plus jamais ça. Le résultat de plus jamais ça, c’est du encore pire.”

Mais le problème est là. La majorité des médias audiovisuels sont hostiles aux faits qui ne vont pas dans le sens d’une idéologie gauchisante bien établie. 

L’équipe de Rehov a donc envisagé une sortie du film en deux étapes. 

Dans un premier temps, vous pouvez visionner « Pogrom(s) » en version française ou anglaise pour une toute petite somme. Cet argent servira à la promotion du film, lorsque celui-ci sera officiellement diffusé, gratuitement, par tous les moyens possibles, en octobre prochain. 

Je vous invite donc à vous rendre sur pogroms.info où toutes les informations sur le film sont disponibles, y compris le lien qui vous permettra de le visionner.

© Gally pour Dreuz.info.

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