Pierre Saba. Il ne faut pas laisser la France anti-Juive gagner les Législatives

afp.com/Dimitar DILKOFF

Au soir du premier tour électoral législatif, le guide LFI non-élu Mélenchon s’est exhibé au côté de la représentante médiatique des criminels contre l’Humanité du hamas, attifée de leur panoplie criminelle.

Le même soir à Paris, Place de la République, la manifestation de la Gauche hurlait sa haine des Juifs et d’Israël, arborait des drapeaux algériens et palestiniens, ignorait le drapeau français!

Les contractuels de LFI exigent le vote général en faveur de la Gauche composée de dogmes autoritaires, totalitaires, mensongers et antisémites.

Par sa soumission au djihadisme, cette Gauche nie les valeurs démocratiques, l’injonction fondamentale de l’égalité de tous, le rejet de la haine sociale, raciale et confessionnelle.

Cette Gauche est l’héritière des socialistes qui, sous la houlette socialiste de Déat et communiste de Doriot, ont trahi en 1940 leurs pays, rejoint Pétain, et banni ce qu’ils appelaient alors le “Juif Blum”.

Alors qu’elle est arrivée en seconde position électorale, “LFI-NFP” bénéficie des appels de personnalités cupides et antisémites à voter pour elle au second tour électoral. 

LFI-NFP peut gagner le second tour des élections, installer un pouvoir autoritaire et antisémite plaqué sur les institutions démocratiques jusqu’à le détruire.

La haine avance plus vite et mieux que la sagesse. Il en va des libertés publiques et privées.

Reste à espérer la victoire électorale des idées démocratiques et l’échec électoral de la Gauche antisémite et autoritaire.

Pierre Saba 

1er juillet 2024

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3 Comments

  1. Cette image du 1er tour pourrait bien préfigurer un autre 1er tour, celui de 2027 : Mélenchon président, Bompard 1er ministre, et Hassan aux Affaires Etrangères !!! Pour la Culture, certes, le choix serait plus difficile, entre Guiraud, Delogu et Boyard… Allons, allons… Soyons sérieux… Mais il ne s’agit plus, aujourd’hui, de “s’indigner”, comme le suggérait l’ombrageux Hessel, il faut absolument, RESISTER, RESISTER, RESISTER…

  2. Il me semble que bien des choses commencent à se dessiner ce soir et que l’on peut commencer à mieux entrevoir le sombre avenir qui est le nôtre. Le front républicain cyniquement « tactique » qui s’est construit dans le dos des électeurs va sans doute permettre, dimanche prochain, la défaite relative du RN, à savoir, ne pas lui permettre d’obtenir une majorité absolue. C’est tout l’objectif pour qu’on puisse dire qu’il a perdu ou, du moins, qu’il n’a pas gagné ces élections. En ce cas, ce résultat permettrait à Macron de constituer un gouvernement d’union nationale et de reprendre en partie politiquement la main, de se refaire, comme disent les joueurs au casino.

    Mais allons plus loin. Il me semble que dans un tel scénario, tout le monde – et particulièrement LFI et RN – pourrait y trouver son compte. D’abord, ce serait à un gouvernement d’union nationale avec un Premier ministre sans doute socialiste – c’est l’atavisme de Macron qui agira – de gouverner le pays. Bon courage à lui, vu l’état désastreux des finances publiques. En outre, le poste de Premier Ministre ne permet pas, on le sait, de préparer ou d’espérer gagner une élection présidentielle. On se souvient des trois précédents sous la Ve République. Mais ce point importe peu à Macron. Il ne peut pas se représenter en 2027 et paraît préférer la politique de la terre brûlée plutôt que de se chercher un quelconque successeur.

    En somme, ce gouvernement d’union nationale qu’on entrevoit conviendrait à la fois à LFI et au RN afin de préparer les présidentielles de 2027, avec une centaine de députés pour les uns et plus de deux cents pour les autres. De quoi largement financer leur future campagne et se doter d’un trésor de guerre qui assurera les ralliements ou les soumissions nécessaires à une telle bataille. Il paraît hautement probable qu’au regard de l’objectif présidentiel qu’ils se sont fixé, ni Mélenchon, ni Marine Le Pen n’ont intérêt à gagner ces législatives, au risque de devoir gouverner. Ils ont plutôt intérêt à capitaliser leur influence politique le plus possible, sans chercher à exercer un pouvoir qui signerait leur défaite et compromettrait leur chance de gagner la future présidentielle. On peut dire que ce soir Macron a gagné la partie, puisque ce qui le sauve politiquement, intéresse aussi les deux qui sont moins ses adversaires que d’abord des adversaires l’un de l’autre.

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