“Politisation rampante de l’enseignement : même les questions du bac sont visées !” Tribune collective

Les auteurs de ce sujet du bac ont été d’une singulière légèreté en donnant à certains élèves, par l’énoncé retenu, l’occasion de déverser leur haine d’Israël. JULIEN DE ROSA / AFP

TRIBUNE – Tant les épreuves du bac d’histoire-géographie que celles de certaines universités de médecine invitent les candidats à se positionner sur des questions d’actualité brûlante qui interrogent sur les motivations des examinateurs, estiment les membres du Cercle Droit et débat public.

Comment expliquer que tant d’étudiants, à Sciences Po, à l’École normale supérieure et ailleurs (pour beaucoup issus de milieux bourgeois) aient épousé la cause du Hamas ? Pourquoi se sont-ils déguisés en petits terroristes, arborant des keffiehs et exhibant des mains rouges ? Comment ont-ils pu exprimer, par ce ralliement, bien autre chose que le souci de la paix et des droits des civils palestiniens ? Comment ont-ils pu faire leur le slogan « Free Palestine , from the river to the sea » qui vise à l’annihilation de l’État d’Israël ? Comment, au XXIe siècle, ont-ils pu faire chorus avec ceux pour lesquels « Hitler n’a pas fini le travail » ?

Cet antisémitisme, implicite ou avoué, conscient ou inconscient, vaut bien celui de Drumont et de sa France juive au XIXe siècle. Comment, sous couleurs tiers-mondistes, ce virus mortel peut-il infecter la France des droits de l’homme ? Comment cette jeunesse peut-elle rester insensible à l’explosion des actes antisémites depuis le 7 octobre ? Comment des adolescents de 13 et 14 ans ont-ils pu être assez ivres de haine pour faire subir des sévices sexuels à une fillette de 12 ans, au motif qu’elle est juive et qu’« il faut venger les Palestiniens » ?

La cause principale du retour de la bête immonde est l’islamo-gauchisme. Or celui-ci bénéficie de l’indifférence, parfois de la complaisance, de certains responsables de l’Éducation nationale. Ouvrons les manuels scolaires. Celui d’histoire-géographie et d’Éducation civique, publié par Hachette, consacre le premier chapitre du manuel de cinquième aux « Origines de l’islam ». On y trouve divers extraits de sourates. L’une vaut son pesant de plomb : « Combattez ceux qui ne croient pas en Dieu. Ceux de la religion du Livre, combattez-les jusqu’à ce qu’ils paient l’impôt en signe de soumission. Dieu a attribué un rang plus élevé pour ceux qui combattent pour Dieu qu’à ceux qui restent dans leurs foyers » (sourate IV, verset 29, 97 et 98).

La cause principale du retour de la bête immonde est l’islamo-gauchisme. Or celui-ci bénéficie de l’indifférence, parfois de la complaisance, de certains responsables de l’Éducation nationale

Si l’on n’avait pas compris qu’il s’agit de combattre les chrétiens et les juifs, les deux questions à poser proposées au professeur mettent les points sur les « i » : « Contre qui les musulmans doivent combattre ? Que doivent faire les juifs et les chrétiens vaincus ? » Pourquoi donner ainsi quitus académique au fanatisme ? Pourquoi favoriser, en les banalisant, les identifications communautaires et religieuses auxquelles seront portés, à cette lecture, de nombreux élèves ? Et pourquoi consacrer ce premier chapitre à l’islam ?

Autre exemple. Parmi les deux sujets du baccalauréat HGGSP de cette année, l’un est ainsi libellé : « Juger les crimes de masse et les génocides après 1945. » La syntaxe de la phrase, comme la référence à 1945 semblent placer hors champ la Shoah et le massacre des Arméniens. Ils braquent le projecteur sur le jugement des génocides postérieurs à 1945. Et si l’énoncé visait, à en croire le corrigé écrit, à se placer non seulement « dans le contexte de l’histoire contemporaine récente », mais encore dans celui du procès de Nuremberg, il faut observer que les tribunaux de Nuremberg n’ont jamais eu à statuer sur le crime de génocide, lequel n’a été reconnu que deux après, par la Convention sur le génocide de 1948 (la première condamnation pour crime de génocide est intervenue au Rwanda dans l’affaire Akayesu en septembre 1998)…

Les auteurs de ce sujet du bac ont été d’une singulière légèreté en donnant à certains élèves, par l’énoncé retenu, l’occasion de déverser leur haine d’Israël

En tout état de cause, dans le contexte actuel, appliquer le mot « génocide » à la période contemporaine, c’est inévitablement faire gloser les élèves sur le prétendu « génocide » perpétré à Gaza. C’est, pour reprendre le corrigé oral d’une enseignante, renvoyer à « l’actualité attendue ». Bonne note promise aux candidats mentionnant le recours, introduit devant la Cour internationale de justice de l’ONU, par une Afrique du Sud affirmant que l’armée israélienne commet un génocide à Gaza. Mais comment sera noté un élève qui critique le bien-fondé de ce recours en soutenant que la seule tentative de génocide avérée est celle commise par le Hamas lors du pogrom du 7 octobre ? Comment réagira à cette opinion un correcteur qui apporte ses suffrages à La France insoumise ? Un tel sujet n’était-il pas aussi un piège pour les élèves captifs du discours viscéralement anti-israélien de leurs entourages ?

Mal posé, le sujet est non moins scabreux. Il pousse nécessairement, fût-ce involontairement, les élèves à se positionner idéologiquement, portant ainsi atteinte, dans les dramatiques circonstances présentes, à deux valeurs cardinales de l’enseignement public : le principe de neutralité politique et religieuse et l’exigence de tact et délicatesse, chère à Jules Ferry. On nous rétorquera que la question posée couvre aussi le génocide des Tutsis au Rwanda. C’est peu convaincant, d’autant que le génocide du Rwanda est encore une occasion d’accabler la France, que la doxa décoloniale tient pour coupable de la tuerie.

Au-delà de ces affaires de manuels et de sujets d’examen, force est de constater que la propagation des idées islamo-gauchistes chez les jeunes bénéficie de la passivité ou de la complaisance de nombre de responsables publics au sein de l’Éducation nationale

Les auteurs de ce sujet du bac ont été d’une singulière légèreté en donnant à certains élèves, par l’énoncé retenu, l’occasion de déverser leur haine d’Israël… ou tout simplement des Juifs. Sans doute le corrigé de l’épreuve ne trahit-il pas d’intention tendancieuse. Mais qu’en est-il des effets produits ? Comment ignorer la manière dont un tel sujet peut être perçu aujourd’hui par les candidats ?

À vrai dire, le drame de Gaza semble devenu l’obsession des auteurs de sujets d’examen. Ainsi, à l’épreuve de statistiques médicales de l’université Sorbonne Paris Nord, les candidats au concours de première année de médecine étaient invités, le 6 mai, à plancher sur les questions suivantes : « À Gaza, l’âge médian est de 18 ans… Quelles principales incidences découlent de ce fait ? Quant à l’actualité du conflit Israël-Hamas ? Et dans un avenir prévisible ? » Cette épreuve et son corrigé ont été dénoncés dans une pétition signée par plus de 3 000 médecins et professeurs de médecine. Démarche que le Conseil de l’ordre, saisi, n’a pu qu’appuyer.

Au-delà de ces affaires de manuels et de sujets d’examen, force est de constater que la propagation des idées islamo-gauchistes chez les jeunes bénéficie de la passivité ou de la complaisance de nombre de responsables publics au sein de l’Éducation nationale. Ce n’est pas faute d’avoir été prévenus. Il y a près de dix ans, un rapport de Jean-Pierre Obin (« Comment on a laissé l’islamisme pénétrer l’école ») fournissait tous les éléments nécessaires pour mesurer le péril. Il dénonçait le « surtout pas de vagues » qui a détruit l’esprit public dans l’Éducation nationale en isolant ceux qui lui résistaient. Les résistants ont payé de leur vie, comme Samuel Paty et Dominique Bernard, ou de leur sécurité comme ce proviseur qui, ayant été menacé de mort sur les réseaux sociaux pour avoir refusé une abaya dans son établissement, a été acculé à la démission.

Face à tous ces faits, le ministère de l’Éducation nationale, qui est aussi celui de la Jeunesse, ne peut esquiver deux questions : comment les manuels et sujets d’examen peuvent-ils ainsi donner prise à l’idéologie islamo-gauchiste ? Quelles mesures prendre pour combattre, avec l’efficacité indispensable, l’état d’esprit que révèlent, au sein des milieux éducatifs, ces défaillances ou ces dérapages ?

*Signataires : Noëlle Lenoir, présidente du Cercle Droit et débat public, ancienne ministre et membre honoraire du Conseil constitutionnel ; Pierre-Henri Conac, professeur de droit ; Dominique de La Garanderie, avocate, ancienne bâtonnière de Paris ; Jean-Claude Magendie, premier président honoraire de la cour d’appel de Paris ; Jean-Yves Naouri, chef d’entreprise ; Jean-Éric Schoettl, ancien secrétaire général du Conseil constitutionnel ; Philippe Valletoux, consultant.

Source: Le Figaro

https://www.lefigaro.fr/vox/societe/politisation-rampante-de-l-enseignement-meme-les-questions

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7 Comments

  1. C’est scandaleux et une honte! Et on voudrait nous faire croire que le macronisme lutte contre la haine des juifs et la haine d’Israel alors qu’elle domine certains sujets d’examen, Mme Belloubet est silencieuse.

  2. A quoi reconnait-on un régime politique ayant basculé dans le nazisme ?
    _ Les universités, la presse et parfois même le monde “culturel” deviennent des outils d’embrigadement diffusant des idéologies racistes ou/et xénophobes.
    _ Les discours de haine, racistes et antisémites (ou/et xénophobes) se banalisent totalement à tous les niveaux de l’espace public
    _ Les actes de haine se banalisée. Les pires horreurs (viols et/ou meurtres et n’épargnant pas des enfants) deviennent la norme. Le plus souvent étouffés par l’Etat, qui met en place un système d’omerta.
    _ Embrigadement de masse et réécriture de l’Histoire, censure de l’information, multiplication des atteintes à la liberté d’expression et baillonement des opposants
    _ mépris de caste : dans le cadre d’une idéologie fasciste, les non-possédants “ne sont rien”
    + éventuellement : embrigadement militaire et xénophobe (en Europe, les Russes sont les boucs émissaires trouvés d’avance…)

    La France, la GB et l’UE (parmi d’autres exemples) cochent aujourd’hui toutes les cases !
    Depuis au moins 2017, la France est indiscutablement en train de basculer dans le Nazisme (ou plutôt a basculé dans le nazisme)
    Aux supporters de Macron/Mélenchon : assumez d’être ce que vous êtes.

  3. Vous découvrez la lune ! L’enseignement a toujours été (aussi loin que je me souvienne) une machine à decerveler et à embrigader. L’histoire a été réécrite sur tous les sujets au nom du 1) “vivrensemblisme” 2) de l’UE. Ce n’est évidemment pas un phénomène franco-français : c’est mondial, mais nos dictatures wokistes et islamonazies atteignent des sommets en la matière. Aux USA,’ils ont même officialisé une “Black History” : un révisionnisme imposé par des identitaires revanchards est vite devenu une vérité officielle. Tout comme les régimes staliniens ou post-staliniens qui modifiaient les livres d’histoire en fonction de tel ou tel événement politique…Mais en pire !

  4. Une info que j’espère juste (pas juste une info), et qui jettera une lumière crue sur l’Éducation nationale ou ce qu’il en reste.

    Une professeure de philosophie des Universités, spécialiste de la laïcité, et, à ce titre, responsable de la formation des enseignants exerçant dans les écoles et les lycées, interrogée ce mercredi matin sur Franceinfo, rappelle que la laïcité, ce n’est pas l’anticléricalisme (façon Émile Combes) mais l’esprit de tolérance (façon Aristide Briand). La laïcité permettrait donc à chaque enfant de venir à l’école avec la garantie que ses croyances ou ses convictions seront parfaitement respectées. Et ce respect inconditionnel offrirait l’occasion d’un échange, d’une dialogue harmonieux entre tous favorisant le “vivre ensemble”. Une fois la messe dite, la spécialiste s’en prend, comme il se doit au RN, qui, lui, porterait gravement atteinte à la laïcité en dénonçant certaines religions qui en refuseraient le principe, l’islam, pour ne pas le nommer.

    Rappelons à cette spécialiste que la laïcité ne se réduit pas négativement, au principe de tolérance, mais qu’il signifie positivement, séparation du spirituel et du temporel, de sorte que le législateur de la cité des hommes n’est ni Dieu ni son Prophète, mais l’Assemblée nationale, libre de voter ce qu’elle VEUT, dans le respect du droit constitutionnel et de la hiérarchie des normes. Comment les enfants musulmans peuvent-ils comprendre cela quand des imams salafistes ou fréristes leur disent tous les vendredis qu’il n’est de législateur que Dieu ?

    Notre spécialiste visiblement n’en a cure. La laïcité n’est pas cela du tout pour elle. Affirmer cela ou quoi que ce soit de positif, fixant un interdit ou une limite, disant qu’il existe de l’intolérable, au-delà de l’universelle tolérance répétée ad nauseam, serait porter atteinte à la laïcité comprise exclusivement par elle, comme esprit de tolérance, de bienveillance, de respect sacrosaint des opinions de chacun.

    Dès lors, selon elle, porte atteinte à la laïcité quiconque ne respecte pas ou critique la conviction religieuse d’un enfant, même quand elle refuse d’admettre la laïcité comme séparation ontologique du spirituel et du temporel, du public et du privé. Cette conception anglo-saxonne de la laïcité, lockéenne, va totalement à l’encontre de la tradition républicaine française inspirée de Rousseau, et fondée sur la volonté générale. Avec la laïcité telle que cette spécialiste la comprend, il n’y aurait jamais eu de loi Veil ou de mariage pour tous et toutes, ni de dépénalisation de l’homosexualité, etc.

    La laïcité que l’Éducation nationale veut mettre en avant ce n’est pas la laïcité “à la française” (!). C’est une bienveillance wokiste purement morale qui permet à chacun de croire ce qu’il veut sans qu’il s’agisse le moins du monde de la part des autres de le critiquer mais seulement de l’accepter, de le reconnaître au nom de “l’ouverture à l’autre” voire de “l’amour du prochain”. Avec une telle lecture de la laïcité, on sombre dans le laxisme : Platon serait prié de respecter les Sophistes, plutôt que de les combattre, et les Juifs de respecter Hitler plutôt que d’en avoir peur. Il faut savoir s’ouvrir à l’autre et arrêter de la ramener par la mise en avant de ses propres réticences. Ainsi tout se vaut pourvu que ce soit l’opinion sincère et chérissable de chacun.

    On ne peut donc plus critiquer ce que pense quelqu’un sur le fond au motif que c’est ce qu’il pense et que ce serait porter atteinte à sa personne que de le faire et lui manquer gravement de respect. On voit là l’illustration exemplaire du nihilisme pour lequel il n’y a plus de vérité mais seulement des interprétations ou des personnes qui s’identifient totalement à elles. C’était ce que Nietzsche avait compris comme étant le trait essentiel et nihiliste de la modernité. Une idée n’est plus une idée qu’on peut trouver vraie ou fausse et critiquer. C’est la partie intime de chacun qu’il faut admettre au nom de l’amour de l’autre, quand bien même cette idée serait fausse ou absurde.

    La République, loin de combattre ses ennemis, les conforte en les tolérant dans un pas-de-vaguisme idéologique inconsistants. Il s’agirait que la laïcité redevienne une laïcité rationnelle de combat, argumentative, favorisant la disputatio, moyen terme entre une tolérance laxiste et une intolérance autoritaire. L’avenir n’est donc pas des plus radieux en ce bas monde quand on sait qu’y règne en maître, non la raison, mais l’insulte et le déni.

  5. C’est le sujet brûlant du moment. C’était difficile de ne pas l’aborder.

    Cependant, nous avons sans doute manqué quelque chose d’essentiel en ratant une opportunité suite au 7 octobre.
    Le président français (et d’autres dirigeant occidentaux) affirme que le Hamas est une entité terroriste…. mais rien n’a suivi.
    Nous aurions dû exiger que des lois soient promulguées pour que le traitement de l’information émanant d’une entité terroriste soit traitée … comme telle. Donc, soit ignorée, soit on oblige à entourer le propos de ‘phrases de contextes’ pour en minimiser l’impact.
    Donc tout ce qui vient du Hamas est un mensonge. Et doit être ignoré ou considéré comme tel…
    De même qu’Al Jazeera qui emploie des journalistes terroristes (le kidnappeur de Noa Argamani)
    De même que l’UNRWA qui emploie des terroristes.
    Et tout Media contrevenant à ces principes serait accusé de promouvoir le terrorisme.
    C’est ce qui aurait dû advenir suite à la déclaration du président Macron et des dirigeant occidentaux.
    Malheureusement cette déclaration n’a pas été suivie d’actes et nous sommes encore en train d’en déplorer les effets où le Hamas lance des bombes médiatiques et où Israël peine à ramasser les miettes plusieurs jours après leur explosion….

    Si nous avions fait ce travail, le sujet serait beaucoup moins brûlant !

    • @LAMBEZ “Tout média contrevenant à ces principes serait accusé de promouvoir le terrorisme.” En effet.
      Mais dans les pays anglo-saxons, en France, en Belgique et en Suisse (comme dans de nombreux pays africains ou Moyen-Orientaux) les médias promouvant le Hamas et de l’islamisme représentent également…la norme.
      Dans l’Hexagone, Macron les adore. Et ils le lui rendent bien : c’est à eux qu’il doit d’avoir été “élu” deux fois. Par contre, ceux échappant à cette règle sont souvent très mal vus du pouvoir en place…Et pour cause.

  6. @Alain Bienaimé Exact. La société dite française est totalement anglo-saxonnisée jusqu’à la moelle. Macron (qui dès sa cérémonie d’investiture en 2017 avait imité la gestuelle de Barack Obama) est américain jusqu’au bout des ongles, antirepublicain et anti-laic. Les pseudo défenseurs de la laïcité (Fouresr and co) ayant appelé à Voter pour lui ne sont que des imposteurs/ses. Une partie des fascistes indigénistes de l’Hexagone sont financés par les USA (le CRAN) ou très proches du parti de Biden : Pap Ndiaye (ministre de Macron). Rockaya Diallo diffuse sa propagande raciste et pro-islamiste dans le Washington post et plus généralement medias et universités anglo-saxons ont été les principaux vecteurs de la propagande pro-islamiste assimilant la laïcité à de “l’islamiphobie” D’ailleurs l’UE tout entiere n’est qu’une colonie des USA qui utilisent le vieux continent pour faire la guerre à la Russie par procuration.

    Macron est un symbole du nihilisme. Il ne croit tellement en rien qu’il peut dire tout et son contraire en 24 heures : pour lui, la vérité n’existe pas.
    Macron est un symbole de la haine de soi : toute sa politique intérieure et extérieure a pour but de nuire le plus possible aux Français. Y compris dans les domaines économique et géopolitique.
    Macron est un symbole de l’inculture : le fascisme prospère sur l’ignorance et il suffit de lire les logorrhées des macronistes (y compris sur ce site) pour se rendre compte du NEANT intellectuel qui caractérise la Macronie. Un macroniste ne pense pas : il répète comme un robot ce qu’il a lu dans Le Mobde ou entendu sur LCI. “Il n’y a pas de culture française” disait-il. Ce qui est sûr, c’est que la France macroniste est un désert culturel et intellectuel.

    Pour Nietzsche, les véritables motivations des philosophes et des idéologues avaient toujours une origine psychologique. Il en est de même des dirigeants politiques : se pencher sur leur état psychologique (et celui de leurs électeurs) permet de comprendre la nature de leur politique. Et Macron coche toutes les cases du psychopathe.

    Macron et Mélenchon sont le miroir l’un de l’autre.

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