Même chez les Collabos, les chiens ont rarement fait des chats ! Jean-Marc Lévy

Il existe un privilège rouge de gauche où tout est permis. Depuis trois ans, la Gauche républicaine ou ce qu’il en reste a noué une alliance infâme avec une extrême-gauche fasciste et islamo-gauchiste, à la gauche du PS, au PC, à EELV, à LFI devenue compagnon de route du Hamas.

Ces métastases de la gauche plurielle, biberonnées à la doctrine Boniface et aux idées de Terranova, versent depuis des années de l’huile gauchiste sur le feu islamiste et ensemencent depuis plus de vingt ans le terrain de l’antisémitisme.

Le théâtre antifasciste et le cordon sanitaire créés par la Gauche et qui refont invariablement apparition à chaque élection ne valent visiblement encore que pour une certaine droite qui accepte de s’y soumettre, alors même que la Gauche immorale y a renoncé.

Il y a trois ans déjà, lors des élections régionales de 2021, cette alliance avec des partis aux idées très différentes, mais prête à tout pour aller à la gamelle et conserver ses postes, faisait campagne avec le soutien de l’ancien premier Ministre Lionel Jospin, de l’ancien Président François Hollande ou de Ségolène Royal, promoteurs du front républicain en 2002, et qui avaient pourtant appelé à voter pour les cavaliers de l’Apocalypse (Hidalgo-Pulvar-Autain-Bayou) en région Ile de France.

A l’époque, les électeurs n’avaient pas suivi. 

Cette alliance qui se réactive dans les scrutins intermédiaires à deux tours est de retour pour les élections législatives du 30 juin et 7 juillet prochains.

Toute honte bue, l’ancien Président de la République François Hollande fera campagne en Corrèze sous les couleurs du Front Populaire, en compagnie du Nouveau Parti Anticapitaliste et de candidats fichés S investis par LFI. La social-démocratie s’est finalement bien dissoute dans l’islamo-gauchisme.

L’ancien premier Ministre Lionel Jospin a cru bon de soutenir cette alliance en expliquant que peut-être « pour la première fois dans l’histoire de la République, un parti d’extrême droite pourrait diriger la France« . Et d’ajouter : « Jusque-là, ce n’était arrivé que sous la botte de l’étranger nazi en 1940 avec le gouvernement du maréchal Pétain« . Lionel Jospin a la mémoire courte : non seulement le socialisme a toujours été la courroie de transmission de l’antisémitisme, mais de surcroît son propre père, Robert Jospin, comme George Hollande, père de l’ancien président, furent l’un pétainiste socialiste compagnon de route de Déat, l’autre collaborateur pétainiste d’extrême-droite.

Comme quoi, même chez les Collabos (composés de 80% de pacifistes de gauche), les chiens n’ont pas fait des chats !

© Jean-Marc Lévy

Vice-Président d’Israël Is Forever Alsace

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1 Comment

  1. 100% d accod avec cet edito , qui nous rappelle que le petainisme semblait bien se porter dans la France applatie des années 40/44 et que le macronisme ou le socialo mollassonisme a la François Hollande en sont ses tres direct heritiers .
    La haute bourgeoisie de ce pays est veule lache et ignare , son seul et unique souci a toujours été de preserver ses privileges , en 1944 le petit peuple a sauvé l honneur de la France , qui fera de meme en 2024 ?

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