L’hélicoptère du président Raïssi a été impliqué dans un accident en Azerbaïdjan oriental: de nombreuses forces se rendent sur les lieux.
L’Agence de presse iranienne fait état de recherches approfondies pour retrouver l’hélicoptère
3 hélicoptères étaient présents dans ce convoi, dont deux à bord desquels plusieurs ministres et responsables seraient arrivés à destination en toute sécurité.
L’Ayatollah Al-Ahshim, le sixième imam de Tabriz, et M. Amir Abdulahyan, le ministre des Affaires étrangères, le gouverneur de l’Azerbaïdjan oriental Malek Rahmati et Muhammad Ali al-Hashem – imam de la province de Tabriz, étaient dans ledit hélicoptère.
En Iran, les émissions de télévision sont arrêtées.
Les conditions météorologiques difficiles et le brouillard épais rendent difficile la recherche de l’hélicoptère par les équipes de secours.
Actuellement, le président iranien est défini comme « déconnecté »: Impossible de contacter l’hélicoptère après l’atterrissage.
Les secours présents sur place ne parviennent actuellement pas à localiser l’hélicoptère en raison des conditions de visibilité et de terrain difficiles et de la disparition de l’hélicoptère des radars avant l’atterrissage.
L’atmosphère à la télévision iranienne pourrait indiquer la direction que prendront les événements.
Une source a déclaré à l’agence de presse iranienne IRIB qu’il existe une possibilité « élevée » de victimes en raison de la « gravité » de l’accident impliquant le président Raïssi.
L’agence de presse iranienne (ISNA) affirme que « plusieurs sources dans le pays font état de la mort de certains compagnons du président Raïssi.
Sur les réseaux sociaux, on lit: Israël est-il à l’origine de l’accident ou s’agit-il d’une défaillance technique ?
Le ministère de la Gestion des crises du gouvernement iranien se réunit pour une réunion d’urgence
De nouvelles images montrent une partie de la recherche de l’hélicoptère qui transportait le président iranien et ses compagnons :
Raïssi, ennemi acharné d’Israël, dit « le boucher de Téhéran », était à l’origine de l’exécution de milliers d’opposants au régime, soutenant l’exécution d’homosexuels et l’oppression des femmes.
Il a également été l’un des dirigeants de la répression des dernières manifestations en Iran en 2019, au cours desquelles 1 500 Iraniens ont été assassinés.
Poster un Commentaire