Il est de ces êtres qui sont là, toujours, lorsqu’il le faut: ici le 3 mai 2024, devant la façade de l’hôtel de ville de Perpignan , à laquelle est accrochée une affiche demandant, leurs portraits à l’appui, la libération des otages juifs et israéliens retenus prisonniers par les terroristes du Hamas après le pogrom de type génocidaire en terre d’Israël.
« Je suis à Perpignan, où je participe activement à la première édition du Printemps de la Liberté d’Expression », nous rappelle Daniel Salvatore Schiffer.
TJ
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