Tribune Juive

Nous accusons La France Insoumise et ses affidés d’être responsables du climat de haine qui règne en France

Il ne suffit plus d’aller perturber ce que Mélenchon et ses troupes qualifient de « conférence » qu’ils tiendraient dans les locaux qui veulent bien les recevoir au nom de la liberté d’expression prétextée par des auteurs vils, complices, antisémites: il faut aller physiquement s’interposer, faire barrage à cette dictature minoritaire, résister face à cette meute de peu, répondre coup pour coup, et plus seulement par billets écrits.

Agissant comme le firent les Frères islamistes pour vérifier jusqu’à où nous irions nous coucher, que ce fût par déni, inconscience, couardise, LFI avance ses pions, pourrissant l’air, faisant chaque jour avec des prudences juridiques retorses l’apologie de la violence et du terrorisme: « Rappelez-vous les émeutes, les préfectures qu ‘on préconisait d envahir. Le refus de condamner les incendies, les atteintes aux forces de l’ordre », nous rappelle Antoine Desjardins.

Les saillies de Mélenchon et celles de ses sbires ne se comptent plus et participent indéniablement au climat de haine antijuive en France: « Mélenchon en tant que chef de cette milice n’est pas qu’une fripouille ni un délinquant mais un criminel qui a du sang sur les mains. Pas un de ses propos ignobles, de ses contorsions verbales, qui ne soient une sorte de blanc-seing moral accordé aux faibles d’esprit qui y verront un encouragement. Imaginez que Mélenchon soit classé d’extréme droite : il aurait déjà deux gendarmes non pas pour le protéger mais pour venir le chercher. Les  » ratonnades » de Juifs ne sont pas étrangères à son discours de prêcheur de haine. Cet homme est à la paix au Proche Orient et à la solution des deux États ce que le briquet et même le lance-flammes sont au bidon d’essence que la sagesse commande de ne pas renverser : s il le pouvait il étendrait sans complexe le conflit à l’Orient et même l’Occident pour son profit « révolutionnaire » personnel. L’irresponsabilité criminelle faite homme, lui qui rêve aussi d embraser nos banlieues et sa patrie avec. Un fou de clinique. Après lui le déluge », poursuit Antoine Desjardins.

TJ

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