Eric Lebahr. Touche pas à mon ( des)pote!

Le vrai populiste fasciste, c’est lui! L’héritier de Doriot, c’est lui!

Il a opéré un retour aux sources, à ses origines. Le courant lambertiste, auquel il appartenait dans sa prime jeunesse. Mouvement trotskiste né en 1952.

Lui et ses sbires se sont reconnectés avec le guesdisme, ce mouvement ouvrier anticapitaliste du nom de Jules guesde, empli d’antisémitisme.

Lui et ses aficionados ont renoué avec Proudhon, un des pères de l’antisémitisme de gauche, pour qui « le juif était l’ennemi du genre humain ».

Lui et ses acolytes ne cessent de flatter les fibres anti occidentales et antisémites d’une bonne partie de leur électorat.

Pas seulement dans le monde arabo musulman des cités Françaises. Ils tentent actuellement de décérébrer une jeunesse gaucho bobo , dans les écoles et les universités.

Via un antisionisme viscéral, cheval de Troie d’un antisémitisme débridé… Et porte d’entrée principale de l’islamisme en France.

Le dernier épisode de sa dernière conférence prévue à l’université de Lille , finalement interdite par le président d’université , puis par le préfet, l’illustre parfaitement .

L’ affichage de son logo était très explicite, avec une carte de la Palestine dont les contours signifiaient explicitement une dénégation du droit à l’existence d’israël.

Et leur slogan « from the river to the sea » n’est rien d’autre qu’un appel génocidaire à l’extermination du peuple juif.

Le congré américain, à une très large majorité, vient de voter ce 16 avril une résolution en ce sens, considérant que ce slogan est une incitation à la haine des juifs et une apologie de terrorisme.

Qu’attend-on , en France, pour prendre une telle initiative?

Le choix de leur vipérine égérie franco palestinienne Rima Hassan sert ce dessein. Instiller dans les esprits , par touches successives, à la façon d’un obscur tableau impressionniste, une banalisation de ces idées nauséabondes.

Pour elle, visée par une plainte pour apologie de terrorisme, le slogan se muera en « De la rivière à l’amer ».

Les continuelles outrances verbales du Pol Pot Français et de ses brebis égarées, ânonnant de façon panurgique ses éléments de langage, ont sombré dans de profonds abysses .

Elles ne sont pas mues que par des considérations électoralistes, certes très prégnantes. Elles ne sont pas que le fruit de calculs minables de petits boutiquiers.

Elles sont aussi et surtout la résultante de convictions idéologiques bien ancrées, doublées d’une sottise et inculture crasses pour nombre « d’insoumis ».

Mélenchon a même comparé le président d’université de Lille à Eichmann, le père logistique de la solution finale…

l’on est là bien au delà des saillies excessives et extravagantes dont il nous gratifie avec une régularité métronomique. Cela confine à la perversion mentale.

Cette stratégie de la conflictualité permanente et de la recherche du chaos seront-elles payantes?

L’on peut en douter , à court terme. Le ridicule de ces excès leur colle à la peau comme un sparadrap. Ils semblent donc voués à être relégués dans les marges de l’espace politique.

Mais à moyen long terme? Avec ce flux incessant d’immigration de masse en provenance du Maghreb et d’Afrique subsaharienne? Nul ne peut dire l’avenir…

Une urgence absolue. Stop à cette immigration incontrôlée, mère de nombre de difficultés endémiques qui enserrent la France!

Les liens entre immigration et délinquance, insécurité , séparatisme culturel, accroissement de l’antisémitisme, islamisation, sont patents .

Ce n’est pas , hélas, la politique actuelle de nos gouvernants, ni celle des institutions de l’Union européenne , pro immigrationnistes.

Ni la tendance de nos juges internes ( Tribunal administratif, Conseil d’Etat, Conseil constitutionnel) et des juges européens ( Cour européenne des droits de l’homme…).

Nous entendons continûment parler de “choc de ceci”, de “sursaut de cela”…

C’est pourtant là que les chocs et les sursauts devraient d’abord se situer ! Nous avons déjà un mal fou à gérer le stock. Il faut donc annihiler ces flux qui congestionnent de plus en plus ce stock.

J’ose le dire, sans ambages. C’était beaucoup mieux avant!

© Eric Lebahr

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