Aux Nations-Unies, le récent vote français en faveur de la reconnaissance de la Palestine comme État membre est un vote vain, usurpateur, immoral et manipulateur. Il récompense les ennemis d’Israël en général et encourage les États et organisations génocidaires antijuives et anti-israéliennes.
Ce vote français est une prestidigitation diplomatique.
Le vote français est vain, puisque les États-Unis d’Amérique y ont opposé leur veto et que la France le savait d’avance.
Le vote français est usurpateur, puisqu’il exprime une volonté diplomatique du Quai d’Orsay et de l’Elysée sans représenter l’opinion publique française qui, dans tous les derniers sondages, sont opposés à la disparition d’Israël, puisqu’on en est là!
Le vote français est immoral au sein de la seule organisation internationale qui devrait ne pas l’être et qui l’est justement en raison de comportements diplomatiques comme celui de la France.
En votant quasi-systématiquement à l’ONU contre Israël depuis 1967, la France contribue aux menaces génocidaires contre Israël et fragilise encore un peu plus les citoyens français juifs victimes de la folle diplomatie française au Proche-Orient.
Le vote français est manipulateur, puisque la Palestine arabe est déjà membre observateur au sein de l’ONU!
Pour accéder au statut d’État membre, la Palestine arabe doit obtenir l’aval d’États pour qui deux conditions essentielles ne sont pas respectées par Ramallah, et c’est un euphémisme.
La première condition est le respect des règles démocratiques.
La seconde condition est le respect des accords signés avec Jérusalem, l’arrêt du virus antisémitite, la violation des droits des femmes et des minorités.
La consultation des affaires diplomatiques, civiles et militaires de l’autorité palestinienne montre une gestion totalement contraire à ces conditions.
Le vote français récompense les ennemis d’Israël en général par le mépris des efforts israéliens en faveur de la paix, de sa retenue humanitaire et militaire en faveur des vies humaines de l’Ennemi et des pertes humaines israéliennes qui en résultent.
Le vote français encourage les États et organisations génocidaires antijuives et anti-israéliennes.
Moins de huit mois après les crimes contre l’Humanité perpétrés par le hamas en Israël, ce vote contribue à la fertilité des organisations criminelles (hamas iranien-hezbola libanais-huthi yéménite, kataeb-hezbola irakien, etc) et des États commanditaires et complices (Iran-Liban-Yemen-Iraq, etc)
Enfin, le vote français encourage les dictatures, dont la palestinienne, dans leurs combats hostiles aux droits fondamentaux des personnes.
Le vote français est une prestidigitation nocive à la paix.
Le vote français est présenté comme un acte progressiste et pacifique…
… En réalité il est un vote hostile aux droits humains, aux droits des États à vivre en paix et à la paix dans le monde.
Le vote français consolide et légitimise la dictature palestinienne alors qu’il conviendrait au contraire de la dégager de l’espace institutionnel qu’elle préempte sans droit ni titre.
La France empêche ainsi la libération des prisonniers politiques palestiniens. Elle empêche leurs libérations. Elle obture toute possibilité d’expression libre de palestiniens favorables à la paix et incarcérés à cet effet.
Si les votes français et ce dernier précisément ne représentent pas un danger pour le peuple israélien, ils maintiennent au pouvoir le dictateur de Ramalah au lieu de favoriser l’avènement démocratique d’un pouvoir de libertés et de paix qui manque terriblement aux palestiniens.
Engoncée dans sa doxa, la France ne comprend pas l’intérêt de proposer à l’ONU une Palestine libre et pacifique, débarrassée de sa bande mafieuse, antisémite, corruptrice et corrompue. La France renforce une Palestine arabe qui enseigne inlassablement la haine des Juifs aux enfants et la solidarité avec les organisations et dictatures criminelles de la région qui menacent Israël.
En assénant coup sur coup ses votes à l’ONU contre Israël, la France préfère fragiliser la paix régionale et se classe à nouveau du côté des agresseurs, des dictateurs et des ennemis des libertés.
© Pierre Saba
21 avril 2024