Lors de la 96e cérémonie des Oscars, ce 10 mars 2024 à Los Angeles, Jonathan Glazer, monté sur scène pour recevoir sa statuette de Meilleur film étranger pour ‘La Zone d’intérêt’, a saisi l’occasion d’aborder le conflit entre Israël et le Hamas et l’occupation à Gaza via » un discours engagé ».
Abordant le thème central de son film, Jonathan Glazer établit sans vergogne un parallèle dans la violence et la déshumanisation entre son histoire qui se déroule dans un camp de concentration durant la seconde guerre mondiale et l’occupation à Gaza.
« Honte à lui , ce Jonathan Glazer dont le film met en scène la banalité du mal en esthétisant et surtout en désingularisant et en déshistoricisant la Shoah. Une forme de négationnisme qui l’amène à la négation de lui même ». Michel Gad Wolkowicz
Lettre ouverte de David Schaecter, survivant de l’Holocauste, à Jonathan Glazer
On fera comment quand on n’aura plus aucun survivant pour raconter ? J’ai 94 ans et je suis le seul membre des 105 âmes de ma famille à avoir survécu à l’Holocauste. J’ai miraculeusement survécu près de trois ans dans l’enfer d’Auschwitz et un an dans l’enfer de Buchenwald. J’ai ressenti de l’angoisse dimanche soir lorsque je vous ai entendu utiliser la tribune de la cérémonie des Oscars pour assimiler la brutalité maniaque du Hamas contre des Israéliens innocents à l’autodéfense difficile mais nécessaire d’Israël face à la barbarie continue du Hamas. Vos commentaires étaient factuellement inexacts et moralement indéfendables. L’« occupation » dont vous parlez n’a rien à voir avec l’Holocauste. L’existence du peuple juif et son droit de vivre sur la terre d’Israël sont antérieurs de plusieurs centaines d’années à l’Holocauste. Le paysage politique et géographique actuel est le résultat direct des guerres déclenchées par les anciens dirigeants arabes qui ont refusé d’accepter le peuple juif comme voisin dans notre patrie historique. Maintenant que plusieurs pays arabes font la paix avec Israël parce que la sécurité et la prospérité sont meilleures pour tous, l’Iran et ses mandataires terroristes ont déclenché une autre guerre, encouragés par un trop grand nombre de personnes qui, par naïveté ou par malveillance, accusent « l’occupation ». Pire encore, vous avez choisi d’utiliser l’Holocauste pour valider votre opinion personnelle. Vous avez réalisé un film sur l’Holocauste et vous voudriez un Oscar. Et vous êtes juif. Tant mieux pour vous. Mais il est honteux que vous prétendiez parler au nom des six millions de Juifs, dont un million et demi d’enfants, qui ont été assassinés uniquement en raison de leur identité juive. Et il est honteux de votre part de prétendre parler au nom de ceux d’entre nous qui ont personnellement vu le monde rester silencieux alors que nos mères, nos pères, nos frères, nos sœurs, nos grands-parents, nos tantes, nos oncles et nos cousins étaient assassinés. En fait, nous n’avions nulle part où aller, aucun lieu de refuge possible. Aucun pays ne nous acceptait même si les dirigeants du monde savaient très bien que des milliers de Juifs étaient assassinés chaque jour. Il n’existait aucune nation juive vers laquelle nous pouvions fuir. Vous devriez avoir honte d’utiliser Auschwitz pour critiquer Israël.
Que ce gnome improbable cesse de se presenter comme juif , voila qui me convient parfaitement .
, que ce glazer aille rejoindre les degenerés de son espece adeptes du wokisme et de l extinction de l humanité .
Le peuple juif depuis des siecles a ete abandonné par des faibles , des laches ou des tarés comme ce glazer et nous constatons aujourdhui a quel point sa vitalité reste intacte .
Depuis 2020 et BLM, on sait que le showbiz est majoritairement une fachosphère. Fachowbizz. The dregs of society.
Mais peut-être faudrait-il parfois évoquer les rares actrices ou acteurs qui sortent du lot et se distinguent de
ce milieu nauséabond par leurs qualités morales. Ainsi par exemple la belle Glynis Barber, épouse de Michael Brandon. Ou encore Emmanuelle Seigner en France.