Judith Butler again, now questionning the rapes committed on October 7th: “Whether or not there is documentation for the claims made about the rape of Israeli women (*skeptical grimace*), OK, if there is documentation then we deplore that, but we want to see that documentation” pic.twitter.com/ZCQMVQfn2E
— Joseph Hirsch (@josephhirsch5) March 6, 2024
Judith Butler se joint à la grande famille des tartuffes en jupons, qui sont passés, le 7 octobre, du «MeToo» à «Yes but». C’est-à-dire de l'oreille absolue à la surdité profonde vis-à-vis de la souffrance des femmes.
— Noémie Halioua (@NaomiHalll) March 6, 2024
Mon billet @FigaroVoxhttps://t.co/ihhu4j1ZI5
Depuis plusieurs jours , la montée inquiétante de l’antisémitisme en Europe fait l’objet de nombreux commentaires. Le Monde n’a consacré aucun article ni à la polémique sur l’antisemite Galloway en GB ni a l’hommage de Judith Butler au Hamas lors d’un meeting en Seine St Denis . https://t.co/Sqdy2DY4us
— G-William Goldnadel (@GWGoldnadel) March 5, 2024
Judith Butler est négationniste par essence.
— Florence Bergeaud-Blackler (@FBBlackler) March 7, 2024
Elle a toujours tout nié : l’existence du sexe, du genre et ici des massacres et des viols du 7 octobre. https://t.co/FZkguWWLRM
La Papesse du Wokisme finira dans les poubelles de l’Histoire!
Un négationnisme aussi délirant doit certainement avoir pour origine de très lourds problèmes psychologiques.
Le plus atterrant est que ces énergumènes, loin d’être poursuivis voire internés, sont autorisés à diffuser leurs délirantes productions et à propager leurs lubies dans les chaires de « bioéthique » (!) des plus grandes universités, autrefois appelées « temples du savoir ».
« Que ces interdits universels et fondateurs soient les conditions même de l’existence de sociétés humaines élargies ne traverse pas un instant [leur] esprit. » (Jean-François Braunstein)