« Sans les antisémites, j’aurais oublié que j’étais juif. » Installé dans le fauteuil psychanalytique de Tobie Nathan, l’homme de lettres Jean-Paul Enthoven explore ses racines familiales en Algérie, le mystère qui entoure son patronyme et l’absence électrique du signifiant juif dans son œuvre. Il raconte notamment comment la haine d’Israël réactive en lui – « Juif sartrien » – un sentiment d’appartenance à une « communauté d’honneur et de souffrance ».
00:00 Algérie, terre maudite
12:56 Juif à la façon de Sartre
16:28 Les talismans de ma nounou
25:57 Les femmes m’ont tout appris sur moi
35:12 Le droit à l’ambivalence
41:22 Le frère dont je porte le nom
Source: Akadem
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