
S’il n’y avait pas le veto des USA et de la plupart des pays occidentaux, cette proposition folle du régime le plus toxique pour la planète aurait toutes les chances de faire le plein des voix à l’ONU.
Cette solitude au sein de nos communautés nationales que ressentent tous les juifs de diaspora depuis le 7/10 s’applique comme jamais à Israël, devenu « Juif des Nations ».
Inutile de rappeler le nombre de résolutions hostile à l’état juif. Proportionnel à celui de ses apports scientifiques, culturels, artistiques, académiques … au monde.
L’histoire nous a montré qu’on aime jamais tant les juifs que quand ils sont morts, en cendre de préférence.
« From the river to the sea » en est la dernière expression.
Fatigué de questionner cette obsession pathologique du juif, d’Israël, largement répandue et relayée par des intellectuels, universitaires, artistes, politiques et autres journalistes.
Les raisons ont été alignées à l’infini sans jamais aider à résorber la haine, à l’éradiquer.
Nous savons que l’antisémite, comme le complotiste est cadenassé à la raison.
C’est une donnée avec laquelle nous faisons et devrons toujours faire.
Le never again, pour peu qu’on y ait jamais cru, a explosé le 7/10.
Être aimé n’est pas à l’ordre du jour.
© Georges Benayoun