Sylvain Tesson
C’est Mozart qu’on assassine!
Deux mondes s’opposent.
Celui de la beauté, de la lumière, du jour.
Et celui de la laideur, des ténèbres, de la nuit noire.
D’un côté, Sylvain Tesson ou le firmament de l’écriture ailée.
L’élan vital, l’émerveillement, l’éblouissement.
Il incarne le printemps de la poésie.
Sa plume puise à la source pure du talent le plus majestueux.
De l’autre, les 1200 « poet poet » imprécateurs ou les abysses de la médiocrité aigrie.
Les pathétiques saintes-nitouche moralisatrices.
Ils campent l’automne de la pensée .
Leur plume plonge dans l’encre vitriolée du fiel le plus hideux.
La bave putride des crapauds enragés ne saurait flétrir le ciel lumineux de la blanche colombe.
© Erick lebahr
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