Israël doit à nouveau défendre son existence et son droit de vivre.
Les agresseurs sont le hamas et l’Iran
Cette fois, l’agresseur est le hamas, milice armée, financée et organisée par les mollahs de Téhéran. Le hamas a perpétré une série de crimes de guerre et de crimes contre l’Humanité à l’endroit de personnes sans défense. Les assassins ont également capturé des civils qu’ils tyrannisent depuis Gaza et dont ils feignent de monnayer une nébuleuse libération.
L’agressé est Israël
En l’absence de toute enquête à ce moment, ce sont apparemment des failles de liaisons entre le système de renseignement, le contrôle des frontières, l’organisation militaire et le gouvernement israélien dont aurait profité le hamas pour violer le territoire israélien et y massacrer, torturer et capturer des personnes sans défense.
Objectifs de la défense israélienne
La guerre en défense menée par Israël vise quatre objectifs principaux.
1-La libération des otages.
2-La sécurisation des zones frontalières qui subissent les bombardements et la terreur en provenance de Gaza et du Liban ennemis afin de permettre aux Israéliens contraints au déplacement de réinvestir leurs domiciles.
3-L’élimination des menaces des forces ennemies se réclamant de l’anéantissement d’Israël.
4-L’organisation à Gaza d’un espace cadre démilitarisé, “débellicisé”, neutralisé et dont l’inoffensivité envers Israël sera contrôlée en permanence.
Expérience israélienne
Cette nouvelle guerre imposée à Israël est la cause d’une proportion désastreuse de décès de ses civils et ses militaires.
Depuis 1948, mûs par l’espoir légitime de la fin des hostilités, les gouvernements israéliens ont dû agréger aux sacrifices humains des cessions territoriales en échange d’accords de paix.
Ces accords de paix se sont vidés de leurs dispositions d’échanges pour se voir diminuer en accords, certes fort utiles, de non belligérance.
Ni les cessions territoriales ni les soldats israéliens tombés au champ d’honneur n’ont conduit à la fin des guerres contre Israël.
Israël doit se résoudre à la réalité militaire qui est la sienne.
Pas de partenaires de paix
Les ennemis d’Israël sont aussi les ennemis des résolutions de l’ONU portant création de l’Etat d’Israël.
Pour être honorable et unique au monde, la politique israélienne consistant à offrir des territoires et des aides à l’ennemi en échange d’accord de paix ne fonctionne pas. Elle est considérée par ses ennemis comme une faiblesse et finit par nuire aux intérêts israéliens.
Les exemples de l’Egypte et de la Jordanie qui assoient leurs stabilités par l’absence de guerre contre Israël en se gardant bien d’aller plus loin, de l’autorité palestinienne qui est un “ennemi de la paix”, du Liban qui a reçu une parcelle du territoire maritime israélien et la moitié d’un gisement méthanier sans concéder à Israël quelque contrepartie ni accord de paix (Beyrouth a même refusé de signer sur le même document qu’Israël!) indiquent la nécessité de conditionner la paix à la sécurité et non l’inverse.
La puissance militaire israélienne doit constituer la meilleure des dissuasions par le recouvrement de sa sécurité démographique, territoriale et nationale.
Nécessité pacifique
Pour autant, la paix est la source de l’existence d’Israël. Il faut y parvenir.
Même minorée en non belligérance, la paix avec Le Caire et Aman a permis le renforcement de l’existence d’Israël.
Elle a objectivement introduit les accords de paix et de normalisation avec d’autres Etats arabes (Accords d’Abraham) à l’exception de la dictature antisémite palestinienne qui la refuse.
Cette dictature palestinienne toujours avide des cadeaux offerts à la haine des Juifs et qui se solidarise avec les criminels du hamas.
Autrement dit, “la paix conduira à la sécurité” doit laisser la place à “la sécurité conduira à la paix”.
La géographie, l’actualité et l’Histoire du Moyen-Orient illustrent quotidiennement une zone où règne la loi du plus fort.
La paix pour Israël n’interviendra qu’après la manifestation de sa dissuasion et de sa sécurité.
© Pierre Saba
17 janvier 2024
Merci, c’est la logique même. Si vis pacem para bellum.