« Just moments before she was abducted to Gaza, Inbar was doing what she loved most: dancing with her partner and her friends at the Nova Music Festival.
Inbar, a highly respected graffiti artist known by her art signature ‘Pink,’ was about to embark on her fourth year of Visual Arts studies. She was also a talented writer, and we’ve included a video of her reading one of her poems.
Inbar was known for her endless optimism, always reassuring everybody around her, saying everything will be ok.
Now, we hold onto that optimism and trust that Inbar will return home, so she can dance again. And she will dance again ».
Des chiffres insupportables
Ils étaient XXX « retenus » à Gaza. Je retire XXX. Combien donc êtes-vous ce soir.
À chaque jour sa nouvelle dévastatrice. À chaque heure quasiment ce constat: le Hamas, après le massacre du 7 octobre, tue impunément, que dis-je, massacre, à la barbe du monde entier: Non, Israël n’est pas seul concerné. Et chacun le sait. Et chacun se terre et se tait.
La famille d’Inbar Heyman, cette jeune femme de 27 ans enlevée par le Hamas le 7 octobre, a été informée aujourd’hui de son décès: Inbar laisse derrière elle ses parents Haim et Yifat, son frère Ido et son partenaire Noam. Son corps est toujours détenu par le Hamas dans la bande de Gaza. En forme de butin macabre. À la gloire de bêtes sauvages et de leurs têtes « pensantes » à l’encontre de qui le monde civilisé aurait dû émettre un mandat d’arrêt international.
Originaire de Petah Tikva, Inbar, résidante à Haïfa, a été enlevée lors de la rave-party de Re’im. Une video la montrant sur les groupes Telegram de Hamas en train d’être emmenée par des terroristes en moto à Gaza a permis de l’identifier.
Inbar, étudiante en communication visuelle à Haifa, devait entamer sa quatrième année d’études. Elle vivait avec son compagnon à Haïfa et devait partir avec lui en vacances dans le Sinaï avant le début des cours.
Inbar était une street-artiste active en Israël et dans le monde entier sous le pseudonyme « Pink »: après son enlèvement, des artistes de graffiti en Israël et à l’étranger sont sortis dans les rues et ont peint « Free Pink » dans de nombreuses villes, pour réclamer sa libération:
« Juste quelques instants avant d’être enlevée à Gaza, Inbar faisait ce qu’elle aimait le plus : danser avec son partenaire et ses amis au Nova Music Festival.
Inbar était connue pour son optimisme sans fin, rassurant toujours tout le monde autour d’elle, disant que tout ira bien.
Maintenant, nous gardons cet optimisme et nous croyons qu’Inbar reviendra à la maison, pour qu’elle puisse danser à nouveau Et elle dansera à nouveau », avaient écrit sur Télégramme ses amis.
Nous ne parlerons pas de l’indignité du propriétaire de l’appartement dans lequel elle vivait et qui eut le front d’exiger « le paiement de sa part » pendant sa captivité ou … la libération de ses biens.
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