Les objectifs de guerre assignés par Benyamin Netanyahou à la riposte de Tsahal suite aux crimes du 7 octobre sont peut-être mal définis ou, – pire -, vains, le premier ministre aurait dû certainement démissioner depuis longtemps et, enfin, l’armée de Tsahal est peut-être plus fragile qu’elle ne paraissait (au vu de la catastrophe du 7 octobre et après avoir tué des otages il y a deux jours), il n’en demeure pas moins que l’opinion internationale est en train de céder au chantage machiavélique que le Hamas impose à Israël et au monde libre.
Et ce chantage se cristallise sur la question du cessez-le-feu humanitaire à Gaza.
Or un cessez-le-feu trop rapide et sans condition reviendrait bien à sauver le Hamas.
Déjà l’aide humanitaire, fiduciaire ou concrète, arrive largement dans les poches d’une organisation terroriste. Cela ne gêne personne !
Ensuite, un cessez-le-feu qui ne serait conditionné à au moins la libération de tous les otages est moralement abject et politiquement coupable. Or l’ONU et individuellement la plupart des pays du monde, dont la France et peut-être bientôt les États-Unis qui penchent d’un côté vers le wokisme et de l’autre vers le Ku Kux Klan, exigent un cessez-le-feu « humanitaire » sans conditions.
Certes, la problématique humanitaire est une réalité qu’Israël doit prendre en compte, quand bien même aucun autre belligérant ne donnerait l’exemple, dans ce conflit comme dans les autres. S’agissant des victimes civiles, il est de l’intérêt d’Israël de tenter de les épargner, ce qu’il fait en appelant les Gazaouis à s’éloigner des champs de bataille, et en les prévenant de bombardement par SMS.
Mais un point nous interpelle depuis plusieurs semaines : combien y a-t-il de morts civiles parmi les Palestiniens ? Chaque mort civile palestinienne est un deuil que nous partageons mais nous émettons les plus vifs doutes sur les chiffres exorbitants avancés par le Hamas et que les médias relaient sans s’interroger sur leur véracité. L’émetteur devrait pourtant les faire douter.
Dans un environnement urbain aussi dense que Gaza, avec un ennemi qui n’hésite pas à se cacher dans les écoles, les mosquées, les hôpitaux, les zones d’habitation, et à en faire des bases militaires reliées à des réseaux souterrains, il est presque miraculeux que le bilan ne soit pas bien plus lourd. Nul doute que si les rôles étaient inversés, si le Hamas avait la capacité militaire d’Israël, ses victimes se compteraient déjà par centaines de milliers. L’intention génocidaire, illustrée par les massacres du 7 octobre et les tirs incessants de roquettes et missiles sur les populations israéliennes, est bien du côté du Hamas.
Ensuite, on nous dit que les victimes civiles de Gaza feraient naître autant de vocations terroristes pour les dix ans à venir. Elles n’ont en réalité qu’un effet marginal sur la haine envers Israël. Haine avant, haine après. D’ailleurs, l’explosion de l’antisémitisme s’est produite dès le 7 octobre, avant même toute riposte israélienne survenue quinze jours après.
Le 7 octobre fut une déclaration de guerre. Guerre totale du Hamas contre Israël qui justifie en cela l’entrée en guerre de l’Etat hébreu sur le territoire de Gaza. Combiné à la lâcheté du Hamas qui se cache derrière et parmi les civils palestiniens, qu’on ne vienne pas s’étonner des morts civiles palestiniennes dans le cadre de la riposte israélienne.
Emmanuel Macron avait souhaité un temps furtif une coalition internationale contre le Hamas pour en venir à bout, avant de s’aligner sur la position onusienne de tentative de sauvetage de l’organisation terroriste.
Nous pleurons les milliers de morts civiles dans les deux camps mais il n’y a pas de guerre propre.
Tous ces Israéliens et Palestiniens seraient morts pour rien, pour que le Hamas se reconstitue, remette la main sur Gaza et continue à terroriser sa population, avant de préparer de nouveaux 7 octobre, comme l’organisation islamiste l’a annoncé. C’est cela que réclame l’ONU ?
Que le Hamas et ses affidés islamistes libèrent au moins tous les otages et le cessez-le-feu s’imposera de lui-même.
© Michel Taube
Le monde par la médiocrité et la lâcheté de ses dirigeants est à blâmer pour demander la trêve au lieu d’exiger la libération de tous les otages pour permettre la trêve !
L’avis de nos dirigeants et de l’ONU n’a pas plus de valeur que celle d’assassins multirécidivistes .
Peut-on dire que « l’armée de Tsahal est peut-être plus fragile qu’il ne paraissait » parce que des otages ont été tués par erreur ? Cela n’a pas de sens : dans ce genre de circonstances, aucune autre armée n’aurait pu éviter ce genre de drame. Et les Américains et l’OTAN prennent beaucoup moins de précautions avec les civils que ne le fait Tsahal. Ceux qui donnent des leçons à Israël ont tous du sang sur les mains.
Non quand à la fragilité de Tsahal, n’est-ce pas plutôt de n’avoir pas vu venir l’attaque du 7 octobre, le problème ? L’histoire des 3 otages est une totale tragédie mais vu le comportement des miliciens du Hamas …
Myriam : Exactement et si Israel recevait ce soutien unanime, il pourrait cesser les bombardements. Au lieu de cela, un monde devenu fou accuse Israel en zappant totalement l’agression du Hamas à l’origine de tout et laisse donc le champ libre à celui-ci pour manipuler à son aise la situation. C’est invraisemblable
Oui, Israel est bien seul pour lutter contre un Hamas sans foi ni loi qui peut ainsi tirer les ficelles et jouer sans scrupule avec la vie des otages.
Israel ne doit à aucun prix céder aux pressions exercées par la France et son gouvernement de bons à rien qui donne des leçons et qui devrait plutôt se préoccuper de l’immigration qui pourrit la société française et des Juifs de France en particulier . L’ONU composée en majorité de musulmans qui ne souhaitent que l’éradication des Juifs et d’Israel et L’U.E qui leur emboîte le pas.
Le monde entier adresse des injonctions de retenue voire de cesser le feu sans contrepartie à Israël !! Aucun message pour le Hamas, organisation reconnue terroriste et qui l’a prouvé !! Pourquoi ? Ils ne lisent pas les interventions de l’ONU, ils n’écoutent pas les radios ? Ils n’ont pas de téléphone où les joindre ? Seul Israël est responsable de cette guerre qui lui coûte tant ? Où et quand un pays s’est il battu seul contre un continent entier d’ennemis ?? Allo le monde « libre » vous n’avez plus de moyen de communication ?
Mme Colonna connaît pourtant bien le hamas, son pays la France est mouillé jusqu’àux oreilles a gaza avec le fameux « centre culturel français «
Qui n est autre qu une ambassade occulte des collabos du quai d orsay
Un cessez-le-feu voudrait dire que Tsahal dépose les armes aux pieds du Hamas !
Cela veut dire également que le Hamas pourra sans problème recommencer ses atrocités quand il voudra, rien ni personne ne s’y opposant, à part Israel On admire là la courte vue de nos élus.