Les missiles en provenance du Liban ne cessent de toucher le territoire israélien. Ils sont commandités par les criminels en poste à Téhéran, exécutés par leur milice terroriste Hezbollah calquée sur le hamas, et protégés par le gouvernement libanais, lui-même illégitime, et sous les regards impotents de la « Force intérimaire des Nations-Unies au Liban » (FINUL)
Échecs diplomatiques
C’est en toute impunité internationale que la FINUL, le « gouvernement libanais » et son armée ne garantissent ni ne respectent les résolutions de l’ONU relatives au désarmement du Hezbollah, au respect de la ligne de cessez-le-feu (LCF), à l’interdiction d’y stationner et au repli des forces armées au delà du fleuve Litani.
C’est la même impunité internationale qui encourage le même Hezbollah à camper sur la LCF toujours au côté de la FINUL, toujours inactive.
C’est en rupture avec les signatures libanaises apposées sur les accords internationaux et sous la protection libanaise que le Hezbollah envoie des missiles meurtriers sur la population israélienne.
La victoire des plus menaçants oblige la population israélienne.
Violation du droit de vivre pour les Israéliens
La population israélienne résidant en zone frontalière avec le Liban reçoit sans arrêt des missiles en provenance du Liban.
L’augmentation du nombre de ces missiles oblige l’armée de défense d’Israël à la préparation à une guerre nouvelle avec les régimes Hezbollah-Liban-Iran.
La population israélienne se prépare à de nouvelles souffrances.
Pendant ce temps
La France use de son influence non pour influencer les Libanais, le Hezbollah, les mollahs de Teheran avec lesquels elle est en contact permanent, mais pour demander à Israël l’ouverture d’un deuxième couloir humanitaire à Gaza!
Il ne suffit pas de faire subir à Israël, une nouvelle fois attaquée, des guerres, des fronts, des crimes de guerre, des crimes contre l’Humanité… Il faut encore lui faire subir des prescriptions exceptionnelles et inédites de la part d’Etats qui, comme la France, ne se les appliquent jamais à eux en même situation (Afrique-Océanie-Asie, etc)!
Responsabilités meurtrières des Occidentaux
Après la coopération culturelle à Gaza (centre culturel français) entre la France et l’organisation criminelle hamas, les acointences djihadistes du président Macron (conseil présidentiel des villes), les photos tous sourires du secrétaire général de l’ONU avec le « ministre » djihadiste des affaires étrangères en poste à Téhéran et celle du président Macron avec le chef djihadiste de Téhéran… une dernière photo signifiante de la situation, du danger pour la paix et de l’irresponsabilité des acteurs vient d’être publiée dans l’édition du quotidien libanais de langue française « L’Orient-Le Jour » du 9 décembre 2023 et consultable en ligne.
On y voit l’envoyé spécial du président français, l’ancien ministre Le Drian, serrer chaleureusement les mains d’un criminel du Hezbollah!
Par conséquent
Devant tant d’inconséquences, d’irresponsabilités, de défections, de prévarications, de double et triple langages, et surtout de manquements au Droit international public, aux droits des peuples à vivre libres et en paix, le gouvernement, le parlement, l’armée d’Israël ont l’impérieux devoir de ne retenir aucune des sollicitations contraires à l’intérêt de son peuple, et de ne considérer aucune des propositions qui lui seraient fatales.
Ce n’est pas la première fois qu’Israël est attaquée, menacée, agressée.
La puissance de sa technologie militaire doit être utilisée dans le seul but de protéger son peuple, ses frontières, son Etat.
Jérusalem ne doit plus offrir à ses ennemis des cadeaux territoriaux, de ressources naturelles, de finance. Israël ne tire aucun bénéfice diplomatique de sa mansuétude. L’Etat hébreu doit se concentrer sur ses propres intérêts et besoins à l’exclusion de tout autre.
Pour l’heure, c’est avec la plus extrême rigueur militaire et diplomatique que ce petit pays, puissant mais agressé, doit affronter les nouveaux conflits que lui imposent les criminels libanais, iraniens et palestiniens.
© Pierre Saba
9 décembre 2023
Bonjour Pierre Saba. Juste pour moduler quelque peu le propos, Mohammad Raad ne s’en tire pas avec une poignée de main et une accolade : on a récemment liquidé son fils Abbas, ainsi que 5 de ses acolytes, le 22 novembre, à titre provisionnel, dont : Mohamad Cherri, le neveu du député Amin Cherri, tué avec quatre autres membres du parti satanique, dont Siraj Chihaymi, le commandant de l’unité Radwan du Hezbollah, dans un raid israélien qui a ciblé une maison à Beit Yahoun au Liban-sud.
Le Drian, sans l’exonérer, puisqu’on le délègue pour les parlottes, ne peut guère faire autrement que de se salir les mains (même s’il adore ça, se rouler dans la fange).
Nous avons notre propre « diplomatie », via drones ou lance-missiles Tammouz, de réplique à tout mouvement du Hezb. Comme au Hamas, on lui fait la démonstration que s’il ne cède pas, il se trouvera dans la même situation. Hier soir, le journal pro-Hezb, Nidaa al Watan, décrit que : la frappe (israélienne) sur Aitaroun est la première au cours de laquelle « un quartier entier a été détruit dans une ville du sud », affirmant que cela soulève des inquiétudes quant au fait que « le modèle de guerre de destruction généralisée à Gaza… commence à prendre de l’ampleur ». A priori, quand on est concret, ils finissent par « comprendre ». Mais on peut leur raser tous les villages du sud. Si c’est plus clair.
Aux diplomates, nous leur annonçons un délai au-delà duquel, c’est Tsahal qui résoudra le problème. À cette heure, le Hezb est dans la bravade et exige qu’Israël se retire au « sud de Haïfa ». J’habite à 40 km au nord de Haïfa et les chars commencent à circuler à l’entrée de ma ville (sont au-dessus depuis des mois). Il lui reste peu de temps pour tergiverser.
Bien sûr que la diplomatie échouera, car le Hezbollah ne peut perdre la face autrement que par les moyens que nous lui préparons night and day.
Je comprends qu’en France, on souhaiterait éviter ça, mais comment être dupe du rapport de force, sans lequel le vis-à-vis ne comprend pas ? Il n’y a que l’Iran, par mesure de « sauvegarde » de son arme de « seconde frappe », au cas où Israël tapait son programme nucléaire, qui peut éventuellement préserver le Hezb de l’ampleur de notre courroux. Et, en second lieu, ce ne serait pas non plus une « bonne nouvelle », puisqu’à terme, on le prendrait quand même sur la g. Donc le sursis change quoi, au bout du bout ? … Vivement la date de péremption de ce produit périmé.
Et bon courage à vous, en France.
» A priori, quand on est concret, ils finissent par “comprendre”. Mais on peut leur raser tous les villages du sud. Si c’est plus clair. »
Merci pour ces précision et bon courage à vous, en Israël.
אנחנו ביחד וננצח