« Une structure habilement construite, des omissions grossières, des mots et des témoignages sélectifs, il en faut peu pour égarer le public et donner une image trompeuse d’une société ».
Dans cette analyse, Simon Moos décrypte comment des médias grand-public comme Le Monde s’emploient à mettre Israël au banc des accusés.
Moi quand je lis un article dans un journal, quel qu’il soit (Le Monde ou un autre quotidien, peu importe), je me fais mon opinion sur ce que j’ai lu seulement par moi-même.
C’est çà Le Monde, qui ment, qui désinforme et qui autorise des journalistes qui travaillent pour lui de divulguer des diffamations contre l’état d’Israel.
« Le monde » est devenu au fil des années un journal puant et qui cache sa puanteur en s’aspergeant de parfum, ce qui finit par rendre l’odeur plus insupportable encore. C’est un journal anti-israélien pour ne pas dire plus ; et je partage pleinement l’analyse de Simon Moos. Je me souviens que du temps de Khmers rouges « Le Monde » trouvait les moyens dialectiques de les défendre (les Khmers étant rouges – autrement dit de gauche).
Pas que le monde mais aussi les autres journaux régionaux font de même sans parler des médiats que le citoyen paye de ses impôts comme France Inter France Info et des médiats libres. Ils se sont tous liés contre Israël. Les universités ne sont pas mieux en france. Merci pour cette vidéo et bon travail de d’informations historiques.
Le Monde a des relations étroites avec des journalistes turcs. Le journal publie régulièrement des articles de journalistes turcs, et il a organisé plusieurs événements avec des journalistes turcs. Le Monde est également un membre fondateur de l’Association des Éditeurs de Journaux Européens (AEJE), qui comprend des journaux turcs tels que Hürriyet et Sabah. Le Monde souffre du syndrome de Stockholm qu’on pourrait appeler le syndrome d’Istanbul où beaucoup de journalistes ont leur rond de serviette. Dans une émission de Calvi, Christine Okrent disait aller 7-8 fo
Le Monde a des relations étroites avec des journalistes turcs. Le journal publie régulièrement des articles de journalistes turcs, et il a organisé plusieurs événements avec des journalistes turcs. Le Monde est membre fondateur de l’Association des Éditeurs de Journaux Européens (AEJE), qui comprend des journaux turcs tels que Hürriyet et Sabah. Le Monde souffre du syndrome de Stockholm qu’on pourrait appeler le syndrome d’Istanbul où beaucoup de journalistes ont leur rond de serviette. Dans une émission de Calvi, Christine Okrent disait aller 7-8 fois par an à Itanbul. Ce qui veut dire, quand on décrypte, qu’elle est invitée par les Turcs pour faire des ménages bien rémunérés par eux.
Bonjour à tous
Merci pour cette analyse rigoureuse du contenu du journal « Le Monde »
Je n’achète plus ce journal depuis qq temps
Vous faites une analyse magistrale de la désinformation
Jeannine Frenk