Zut j’ai fait de la peine à des copains. Mille pardons. Je ne suis pas là pour juger quiconque. Mais j’explique ce que j’éprouve, c’est mon petit métier je crois. Pardon d’être moins doué que les autres pour le silence. Si c’est pour rien dire parce que c’est trop difficile, comme écrit dans leur communiqué, je trouve que vous avez déjà très bien dit rien depuis le 7 octobre.
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