Je suis désolé, il y a des individus avec lesquels je ne veux plus vivre, qui sont, par leur haine perpétuelle et leur violence, des criminels en puissance.
La plupart des demeurés de banlieue ont hurlé de joie et pouffé de rire, quand ils ont appris la dernière ignominie remontée ce jour des témoignages de l’attaque du Hamas d’essence génocidaire du 7 octobre: un bébé israélien a été rôti vivant et cuisiné dans le four de la cuisine de ses parents. Il ne s’agit pas seulement d’un des nombreux et immondes crimes contre l’humanité enregistrés ce jour-là sur la terre d’Eretz Israël. On arrive ici au bout absolu du Mal, on se situe dans l’extrême de ténèbres déjà vécues à Auschwitz, Bitkenau, Maïdanek, Chelmno, Belzec, Sobibor ou Treblinka.
Ils sont des centaines de milliers comme ça, mi-islamistes, mi-racailles — ils se filment et se déversent sur les réseaux — à se reconnaître en tant que nazis, qui vomissent sur les Juifs, les Occidentaux, les blancs, les « kouffars » et les « Français », parce que bien qu’étant français eux-mêmes, ils ne se considèrent pas tels et haïssent la France et ses habitants.
Eh bien navré, mais je ne veux plus vivre avec des énergumènes surexcités, écumant de haine à l’encontre de tout ce qui n’est pas eux, des forcenés aussi illuminés que dégénérés, irrécupérables, perdus pour l’espèce humaine, qui nous exècrent et nous écraseraient à coups de talon s’ils le pouvaient, juste pour assouvir leur pulsion de mort et imposer et étendre toujours plus l’ombre d’une charia imbécile parce que digérée par des crétins, sur le territoire de notre pays, alors que nous ne leur avons strictement RIEN fait.
Je ne veux ni ne peux plus partager l’air que je respire avec des démons se ressourçant à la flamme même du Mal. Ce sont des monstres inaccessibles à quelque forme de raisonnement, d’argumentation ou de dialectique que ce soit, des déchets absolus désertés par toute forme d’humanité : voyez-vous, ils applaudissent des crimes contre l’Humanité, et pour certains sont à deux doigts du passage à l’acte — si la lâcheté seule ne les arrêtait pas sur cette pente.
Il apparaît de plus en plus criant que la manière de traiter et de percevoir les Juifs dans le monde devrait être le maître-étalon dans la mesure de la rectitude d’une époque et de sa respirabilité.
C’est bien désespérant, parce qu’à cette aune, notre siècle, à peine commencé, est déjà putride.
© Philippe-Emmanuel Toussaint
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