I had dream – J’ai fait un rêve.
J’ai rêvé que le Pape François prenait la parole et s’adresse aux catholiques,
J’ai rêvé que les évêques et cardinaux de France, chaque dimanche, prononcent une homélie contre l’antisémitisme,
J’ai rêvé que les partis qui ne soutiennent pas l’Islamo gauchisme organisent, ensemble, une manifestation monstre contre l’antisémitisme.
J’ai rêvé que des dizaines de milliers de citoyens français ce jour-là portaient une étoile jaune sur les Champs Élysées noirs de monde, comme pendant la coupe du monde de foot.
J’ai rêvé que sur les plateaux de télévision on voyait derrière les animateurs une étoile jaune avec écrit en son milieu : Non, jamais ça!
J’ai rêvé que tous étaient inspiré par cette lettre pastorale écrite en pleine tourmente de l’année 1942 en France occupée
« Mes très chers Frères,
Il y a une morale chrétienne, il y a une morale humaine qui impose des devoirs et reconnaît des droits. Ces devoirs et ces droits, tiennent à la nature de l’homme. Ils viennent de Dieu. On
peut les violer. Il n’est au pouvoir d’aucun mortel de les supprimer.
Que des enfants, des femmes, des hommes, des pères et des mères soient traités comme un vil troupeau, que les membres d’une même famille soient séparés les uns des autres et
embarqués pour une destination inconnue, il était réservé à notre temps de voir ce triste spectacle.
Pourquoi le droit d’asile dans nos églises n’existe‐t‐il plus ?
Pourquoi sommes-nous des vaincus ?
Seigneur ayez pitié de nous.
Notre‐Dame, priez pour la France.
Dans notre diocèse, des scènes d’épouvante ont eu lieu dans les camps de Noé et de Récébédou. Les Juifs sont des hommes, les Juives sont des femmes, les étrangers sont des hommes, les étrangères sont des femmes. Tout n’est pas permis contre eux, contre ces hommes, contre ces femmes, contre ces pères et mères de famille. Ils font partie du genre humain. Ils sont nos Frères comme tant d’autres. Un chrétien ne peut l’oublier.
France, patrie bien aimée France qui porte dans la conscience de tous tes enfants la tradition du respect de la personne humaine. France chevaleresque et généreuse, je n’en doute pas, tu n’es pas responsable de ces horreurs.
Recevez mes chers Frères, l’assurance de mon respectueux dévouement. »
Elle fut prononcée par Jule-Géraud-SALLIEGE Archevêque de Toulouse le 23 Aout 1942
Nommé Compagnon de la Libération le 7 aout 1945 par le Général de GAULLE.
Malgré le refus de Pie XII de le nommer cardinal, mais sous la pression du général de Gaulle, il est ordonné cardinal le 18 février 1946.
Il reçut le Tire de Juste parmi les Justes en 1969
Il fallait avoir en ce temps-là, un grand sens moral, beaucoup de courage, beaucoup d’humanité, face au nazisme omniprésent en France et dans les institutions, face à la passivité coupable de Pie Xii. L’histoire a jugé.
Je me suis souvenu de ces paroles attribuées au pasteur Est allemand Martin NIEMÖLLER anti communiste, dont voiç une version :
Quand ils sont venus chercher les socialistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas socialiste.
Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas syndicaliste.
Quand ils sont venus chercher les Juifs, je n’ai rien dit, je n’étais pas juif.
Puis, ils sont venus me chercher. Et il ne restait personne pour protester.
Nous n’en sommes pas là. Qui aura le courage de dénoncer la situation actuelle et d’agir, au-delà des mots ?
J’ai rêvé que nos dirigeants ont ce courage, cette volonté, ce sens de l’unité nationale pour tous ses citoyens face à l’Islamo gauchisme qui veut notre perte à tous, quelle que soit notre religion.
Réveillez moi !
© Francis Moritz
Francis Moritz a longtemps écrit sous le pseudonyme « Bazak », en raison d’activités qui nécessitaient une grande discrétion. Ancien cadre supérieur et directeur de sociétés au sein de grands groupes français et étrangers, Francis Moritz a eu plusieurs vies professionnelles depuis l’âge de 17 ans, qui l’ont amené à parcourir et connaître en profondeur de nombreux pays, avec à la clef la pratique de plusieurs langues, au contact des populations d’Europe de l’Est, d’Allemagne, d’Italie, d’Afrique et d’Asie. Il en a tiré des enseignements précieux qui lui donnent une certaine légitimité et une connaissance politique fine.
Fils d’immigrés juifs, il a su très tôt le sens à donner aux expressions exil, adaptation et intégration. © Temps & Contretemps
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