Le Hamas a libéré vendredi soir deux Américaines qu’il avait enlevées le 7 octobre lors de son attaque meurtrière contre Israël, une lueur d’espoir pour les quelque 200 otages encore retenus à Gaza, où des millions de Palestiniens continuent d’attendre l’arrivée de l’aide humanitaire urgente.
Les deux femmes, une mère et sa fille, auraient été relâchées après une médiation du Qatar. Le président Biden s’est dit « au comble de la joie ». Judith et Natalia Raanan ont été prises en charge à la frontière avec Israël par la Croix Rouge internationale, alors que la guerre entre l’Etat hébreu et le Hamas entre samedi dans sa troisième semaine.
Hier, à l’annonce de leur libération, Raphaël Jerusalmy, qui se réjouissait pour elles, restait sceptique devant cette photo qui circulait et évoquait l’odieux marchandage qui allait commencer: « On les croirait revenues du Club Med », déclarait-il.
Sur quels critères s’est opérée cette première libération? À suivre.
TJ
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