Louise Gaggini. Le Hamas islamique, au nom d’Allah et non pas des palestiniens

ISRAËL AUJOURD’HUI 8 OCTOBRE, À 14h 11, HEURE FRANÇAISE: 600 MORTS ET 2000 BLESSÉS (liste non exhaustive hélas)

Et pourtant hier vers 6 heures du matin les villes d’Israël s’éveillaient, heureuse des fêtes passées entre joie et religiosité, familles et amis, comme toujours en Israël.

Elles s’éveillaient et se préparaient pour la liesse de Simha Torah le soir même, quand le vin et les chants, les douceurs célèbrent la Torah, Livre des Livres pour tous les juifs du monde et déjà dans l’attente des lumières d’Hanoucca toutes proches, qui ramènent à l’espoir pour tous.

Mais hier, 7 octobre 2023, à 6h du matin, la joie, l’espoir, la foi de la population d’Israël, résiliente et résistante par obligation historique, a été ravagée par le fer, le feu, la haine d’un monde arabo-musulman qui hurlait le nom d’Allah.

A 6 heures du matin, le Hamas islamique, sauvage, en hordes barbares de temps préhistoriques, révolus pensait-on, a pénétré Israël et violant son territoire et ses habitations, a tué, massacré, lapidé, lynché, assassiné, torturant dans des scènes dantesque des femmes, des enfants et des hommes, qu’au paroxysme de l’hystérie ils attachèrent aux voitures, pour les traîner et les faires mourir dans des souffrances où la chair se déchire et s’éparpille, s’accroche au goudron et aux pierres des rues.

Oui des visions dantesques, faites de corps mutilés dans les villes, d’incendies et d’immeubles écroulés, tandis que les sirènes prévenaient les habitants de rester chez eux, dans les abris ou les cages d’escaliers, enfin de rester à l’intérieur et de ne pas sortir.

Enfant, nous apprenons dans les livres d’histoire, que des Huns, des Attila, des Gengis Khan, saccageaient des villes, des territoires, pillaient, violaient, décapitaient, pour le plaisir et le goût du sang, pour la rapine…

C’est ce qu’a fait le Hamas islamique, samedi 7 octobre 2023, au nom d’Allah et non pas des palestiniens.

Un 11 novembre, ai-je dit à ma famille dans la spontanéité de l’horreur qu’elle me décrivait, parce que ce fut une évidence, mais comme pour tous et chacun d’entre nous devant la tragédie.

Il y aura maintenant un avant et un après ce jour où la population d’Israël a payé de sa chair, la barbarie d’un Hamas, soutenu depuis des décennies par une gauche internationale, soit pour de triviales raisons politiques, soit pour une véritable tentation de l’innocence.

Depuis hier, des propositions d’un gouvernement d’urgence se précisent au-delà des divergences politiques et idéologies qui ces dernières années ont affaibli Israël, l’ont amené à oublier sa vigilance territoriale au profit de vanités et d’intérêts personnels, mais si aujourd’hui Israël enterre et pleure ses morts, demain et dans les jours qui viennent, la guerre sans concession aux dommages collatéraux, ce qu’Israël a toujours évité par respect de la vie, sera hélas totale.

Le Hamas est une pieuvre à mille têtes, et il est plus que temps de toutes les lui couper !

Dans les jours qui viennent la guerre tonnera entre Israël et Gaza, mais personne ne désire la mort des Palestiniens qui sauront un jour construire leur destin, alors que nous venons de le constater, une fois de plus, la survie d’Israël et des juifs, elle, reste entière et toujours posée.

Aussi quand, et ça ne manquera pas, des politiciens se lèveront et dénieront à Israël le droit de se défendre comme tout pays envahi et agressé sur son territoire, je les renverrai aux mots simples et forts de Golda Meir : Je préfère vos condamnations à vos condoléances !

© Louise Gaggini