Guy Konopnicki. Je mise sur ce cheval de caractère qui saura se débarrasser de ceux qui s’obstinent à le mettre à la faute

L’ayatollah Khameyni prévient : « reconnaître Israël revient à miser sur le mauvais cheval ».

Justement ! Lourdement handicapé au départ, partant à 100 contre un, face aux pays membres de la Ligue arabe, Israël a brillamment remporté toutes les courses, particulièrement celles de 1948, 1967 et 1973. Nous pouvons, certes, regretter les entraîneurs d’autrefois, de Ben Gourion à Golda Meir, et le fameux trio vainqueur des grandes courses,  Moshé Dayan, Ezer Weizmann et Itzhak Rabin.

Mais le cheval n’a jamais déçu.

Il ne se laisse pas monter par n’importe qui et le prouve chaque semaine dans les rues. Amateur de paris audacieux, je mise sur ce cheval de caractère, qui saura se débarrasser de ceux qui s’obstinent à le mettre à la faute.

© Guy Konopnicki

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