« Une certaine frange du monde politique français essaye d’exploiter un ressentiment contre la police et de travestir certaines réalités », a déclaré Charles Consigny.
De son côté, le préfet de police de Paris a loué le « professionnalisme » des siens, pris à partie de manière extrêmement violente par des individus cagoulés, grimés, qui voulaient en découdre: « Cet effectif était bloqué dans le flot de la circulation, et avec beaucoup de sang-froid, l’un d’eux a fait une sortie d’arme administrative, avec le doigt sur le pontet, cela n’a duré que quelques secondes », a conclu Laurent Nunez.
Le ministre de l’Intérieur, pour sa part, a pointé la violence commise envers les membres de la police lors de ces marches: « La ‘manifestation’ parisienne a connu des violences inacceptables contre les forces de l’ordre. On voit où mène la haine anti police », a tweeté Gérald Darmanin.
Après la publication des images, et la réaction de Sandrine Rousseau, le soutien des personnalités de droite à la police, a afflué.
De Valérie Pécresse à Marion Maréchal ou Jordan Bardella, pour qui la Nupes a « une responsabilité très lourde dans le climat de violence que vit le pays », le monde politique a soutenu ses policiers.
Sauf … Sandrine Rousseau, qui a osé condamner le geste du policier:
https://x.com/geoffreyzekiel/status/1705921788062974010?s=20
Merci à G.B.
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