Donc brûler un coran, serait un acte de liberté d’expression ?
A ceci je répond non.
En Suède, un athée radicalisé ( ici, je ris), enfin un apostat irakien, a piétiné un coran et y a mis le feu.
Mettant lui même l’Irak et la Turquie en sueur, avec une foule qui a mis le feu à l’ambassade de Suède et autorisant le grand Mamamouchi Heildogan a ne plus soutenir le pays inclusif du nord à ne plus faire partie de l’ONU.
Donc ici, il faut le dire: il s’agit d’un acte de profanation!
Genre brûler ou taguer un cimetière…
Un truc qui sert à rien, et qui rend les gens fous.
Cramer un Coran équivaut à cramer un livre, ou même une bibliothèque !
Cramer un livre, ou faire un autodafé, ça reste un truc con!
Même légal, ce truc reste moralement craignos, quoi qu’on pense de ces lectures pourries.
Quoi qu’il y ait dans ces livres, ou de leur impact sur la tête des bigots, ces bouquins sont imprimés légalement, que ce soit la Bible, les Évangiles, la Thora, ou le Coran.
Donc les détruire n’a pas de sens, même pour un apostat.
Le symbole du livre n’autorise pas sa destruction.
Sinon on pourrait trouver normal l’éradication par les armes de Charlie Hebdo ainsi que de ses journalistes et dessinateurs.
Qui eux utilisaient la liberté d’expression!
En dessinant l’indessinable, le cul du prophète, ou en suggérant la maîtresse du curé.
Liberté d’expression qui, dans leurs cas, est contrôlées par l’état, la loi, et les citoyens.
Mais cramer une iconographie, quoi qu’on pense de ce torche cul, je réponds non.
Il s’agit ici d’un acte de profanation, et associer l’athéisme à cette acte apostatique est nul et non avenu.
A moins de chercher à monter une guerre sainte contre les mécréants, et collecter dans le sillage des shiites tous les merdeux islamisants, contre la non-foi et la décapitation façon Samuel Paty des athées et des agnostiques.
Bref improbable, inepte, et contre productif…
Mais c’est ainsi en 2023!
© Rémi Richelet
Ce texte est juste.
Une remarque cependant :
vous dites » En dessinant l’indessinable, le cul du prophète, « .
A mon sens dessiner le cul du prophète ne pose pas problème. Ce qui en pose un, par contre, c’ est de montrer cette image dans un cours de collège avec pour but l’ illustration de la liberté d’expression. C’ est là du grand n’ importe quoi.
Lutter contre les islamistes fascistes ne necessite pas de manquer de respect a des croyants qui meritent la tranquilité .
A part cela , il etait inutile d employer autant de grossièretés pour exprimer cette idée simple .