Le lien patent entre crise des banlieues et immigration incontrôlée
La mort tragique et regrettable de Nahël, conduisant sans permis une Mercedes volée, a été l’événement « phare » de ces derniers jours.
De là à angéliser un délinquant au casier déjà très fourni pour son jeune âge, et dont le refus d’obtempérer semblait être l’alpha et l’oméga de son comportement …
Une époque où l’on angélise les diables et où l’on démonisme les vrais anges est une époque salement rétrograde.
N’allez pas vous étonner , ensuite, de l’attitude sidérante de sa mère, lors des émeutes ethniques , identitaires qui s’en sont suivies.
Des émeutes communautaristes, et non « l’expression d’un malaise social », comme voudraient le faire accroire une très large partie d’une gauche inaudible, engluée dans son logiciel suranné.
De fait, la mère de Nahël a … piqué un « fard »! Décidément, c’est de famille…
Il ne m’est pas apparu que, suite à la tuerie du petit ange Myriam Monsonego et des autres anges de l’école juive de Toulouse, le pays avait été mis à feu et à sang…
Une tuerie perpétrée par celui là même qu’une bonne partie de ces jeunes casseurs et pilleurs idolâtrent…
Auparavant, l’horizon des jeunes de l’âge de Nahël était de réussir leur bac. A présent, la vocation de nombre de jeunes … est d’échouer à la Bac!
Le bac, la BAC… c’est comme la lessive. On passe, on sèche et on repasse.
C’est effarant!
Pour la France, ces « sauvageons », ces illuminés ne sont pas des lumières. Ils ne sont pas non plus un phare d’eau, mais un fardeau!
De Français, ces jeunes de la deuxième et troisième génération ont la carte, mais pas l’identité. Ils se recroquevillent surtout sur leurs origines ethniques.
Au delà des réthoriques éculées, des sempiternelles stratégies de communication, l’exécutif doit vraiment s’évertuer à reconstruire tout ce qui a été détruit ces dernières décennies. L’école, l’autorité parentale, la justice…
On attend ses mesures « phare »! Notamment en matière de politique migratoire…
L’écrasante majorité des Français rejettent, à présent, les « dénis oui oui », qui refusent de voir le lien patent entre crise des banlieues et immigration incontrôlée.
© Erick Lebahr
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