Enrico Macias, Michel Fugain, Cabra Casay, Ishtar, Laura Mayne, les célèbres percussionnistes venus spécialement d’Israël Mayumana et bien d’autres artistes, vous donnent rendez-vous pour célébrer les 75 ans de l’État d’Israël !
Dimanche 18 juin à 13h
Place du Trocadéro, Paris 16e
Organisée par le FSJU et le Crif, avec le concours de l’Ambassade d’Israël en France, cette fête populaire et familiale vous prépare un programme à ne pas manquer : plateau artistique exceptionnel, hommage à l’amitié France-Israël et aux Accords d’Abraham avec des représentants des Ambassades et personnalités, karaoké sur les tubes israéliens de l’Eurovision, et bien d’autres surprises…
Entrée libre – Dispositif de sécurité renforcé
IL N’Y A AUCUNE RAISON DE CÉLÉBRER LES 75 ANS D’ISRAËL UN 18 JUIN
CET ÉTAT EST NÉ LE 14 MAI 1948 ET NON PAS UN 18 JUIN
LE 18 JUIN EST UNE DATE QUI DOIT ÊTRE RÉSERVÉE SEULEMENT À LA COMMÉMORATION DE L’APPEL DU 18 JUIN 1940 PAR LE GÉNÉRAL DE GAULLE
C’EST UNE INFAMIE D’AVOIR CHOISI CETTE DATE DU 18 JUIN POUR FÊTER LES 75 ANS D’ISRAËL
C’EST UNE INSULTE À LA FRANCE, C’EST UNE INSULTE AU GÉNÉRAL DE GAULLE
vous avez tort ! le 18 juin est bien la date anniversaire de la création de l’Etat d’Israel car elle correspond à la date anniversaire dans le calendrier hébraïque ( année de 11 mois et une année avec un double mois d’Adar !
Désolé mais vous vous êtes trompé !
Les sionistes de droite, d’extrême-droite (cas du gouvernement Netanyahou en Israël et de ses soutiens, y compris dans les autres pays du monde) ont grand intérêt à faire passer tous les antisionistes pour des antisémites.
Ce genre de propagande marche bien surtout avec les ignares ou les naïfs.
Bof ! Ils feront toujours passer les juifs antisionistes (car il y en a) pour des personnes ayant » la haine de soi « (sic). C’est tellement commode même si c’est pitoyable comme » argument « .
Très sensible à votre argument! En effet pourquoi se déteste tant ? Il n’y aurait qu’une seule vérité ? Celle qui affirme que la démocratie n’a qu’un seul camp , le vôtre évidemment ? Les électeurs de droite ne seraient pas des gens raisonnables qu’il faut maintenir au bout de leurs laisses ? Je continue à rêver ?
il y’a des juifs qui résident au Maroc quelques milliers et il y a 1200 juifs en Tunisie et zéro juif ds 20 pays arabes !
Pas d’accord Sidi Cohen ? Tefem ?
L histoire juive est pleine de moments de verité au cours desquels certains decident de lutter et de rester juifs et d autres renoncent .
La revolte de bar kochba , massada , ou la sortie d egypte et l expulsion d espagne ont vu certains d entre nous accepter de se soumettre ou de s assimiler .
Notre epoque voit la renaissance extraordinaire de notre vie nationale , certains y voient une redemption du peuple juif , d autres n y voient rien et preferent rester a londres, paris ou miami , mais sachez , que les reactions actuelles de certains juifs » antisionistes » qui , eux , s opposent carrement a notre vie nationale ne sont ni nouvelles ni etonnantes .
S il reste moins de 15 millions de juifs a ce jour c est bien , aussi, parce que nombre d_entre nous ont quitté notre aventure durant ces deux millenaires si difficiles , et aujourdhui encore certains decident de partir ailleurs
Alors, M. Mamou, comment allez vous ?
combien de posts nauséabonds à t il fallu jeter ds la corbeille ? JE COMPRENDS ‘ Les sites sont pollués par les ignares qui se rêvent éditorialistes !
À méditer ces propos du sociologue Raymond Aron dans ses Mémoires (1983) :
« Que signifie le “peuple juif” ? Existe-t-il ? Peut-on parler du peuple juif comme on parle du peuple français ? Ou comme on parle du peuple basque ? La seule réponse valable me paraît celle-ci : si l’on parle du “peuple juif”, on emploie la notion de peuple en un sens qui ne vaut que dans ce seul cas » (502-503). Et il poursuivait : « L’histoire a-t-elle fait des communautés juives – ainsi a-t-on pris l’habitude de les nommer – un peuple et un seul ? […] Le plus souvent, à travers le temps, les diverses communautés juives entretinrent des relations, par crainte de persécutions toujours menaçantes, pour ne pas oublier leur foi singulière. Mais ces communautés ne possédaient aucun des traits qui font d’ordinaire un peuple : ni une terre, ni une langue, ni une organisation politique » (ibid.). D’où sa conclusion : « Tout ce que je n’hésite pas à soutenir, au risque de soulever des protestations passionnées, c’est que, si peuple juif il y a, il n’existe pas d’autre peuple du même type que lui » (ibid.).