Alors que les media évoquent un règlement de comptes, « la victime étant connue de la justice pour divers faits de violence et de droit commun », le voisinage décrit Ruben Azoulay comme un jeune homme bon vivant et joyeux.
Ruben Azoulay, âgé de 31 ans, a été visé au sein de l’agence immobilière, J.A.C. Immobilier, située au 108 boulevard de Courcelles dans le 8e arrondissement de Paris et tenue par son père, Jacky Azoulay, où il exerçait depuis une dizaine d’années. Réussissant à se réfugier dans le commerce voisin, le jeune homme a néanmoins succombé à ses blessures.
Les premiers témoignages évoquent la fuite de quatre hommes casqués à scooter.
La section de lutte contre la délinquance organisée du parquet de Paris a ouvert une enquête pour meurtre en bande organisée, enquête confiée à la brigade criminelle.
Les motos, aspergées par des extincteurs, ont été retrouvées à Châtenay-Malabry, les suspects ayant poursuivi leur fuite dans une Clio qui les attendait à cet endroit.
Il pourrait s’agir d’un règlement de comptes, selon la source policière et la source proche du dossier.
TJ
Aujourd’hui premier anniversaire de la mort de Ruben Azoulay. Même s’il s’agit d’une erreur, il y a malgré tout meurtre et assassins. L’enquête doit aboutir sur des arrestations, et les arrestations sur des jugements. Témoins, caméras je suppose, quatre hommes, scooters, Clio à Châtenay Malabry, présence d’une cible potentielle sur les lieux du crime, crime organisé, règlement de comptes entre truands, on a vu pire comme absence d’éléments. Au boulot les gars, faites ça pour Ruben.