
Un sondage, réalisé en collaboration avec l’institut de recherche Maagar Mochot et portant sur les célibataires âgés de 25 à 40 ans qui s’identifient comme sionistes religieux apporte des réponses qu’il faudrait comparer à celles de célibataires lambda.
67 % des répondants (78 % des femmes et 53 % des hommes) ont déclaré qu’ils n’étaient pas assez souvent présentés à des partenaires potentiels par leurs amis et leur famille.
77 % des femmes âgées de 35 à 40 ans ont déclaré qu’elles n’étaient pratiquement jamais présentées à des hommes.
15 % ont déclaré n’avoir eu aucun rendez-vous au cours de l’année écoulée.
34 % ont déclaré n’avoir jamais eu de relation sérieuse ayant duré plus de quelques mois.
90% des personnes interrogées ont déclaré que la recherche d’un partenaire était très importante pour elles.
80% sont inscrites sur des applications de rencontres.
55% des célibataires ont déclaré que ce statut avait un effet sur leur relation avec le judaïsme, 53% indiquant que cela les éloignait de la pratique orthodoxe traditionnelle.
Les Israéliennes interrogées ont répondu ne pas recevoir suffisamment de « chidouhim » ou propositions de rencontres: c’est ce que publie via un rapport publié aujourd’hui par l’ONG israélienne Baim Betov, qui soutient les juifs religieux célibataires dans leur recherche d’un partenaire de vie.
TJ