LIBERTÉ D’EXPRESSION, PROPAGANDE MÉDIATIQUE
« Démocratie ! » C’est le nouveau mantra qui enflamme la gauche israélienne. Ron Huldai (Maire de Tel-Aviv) affirme qu’en cherchant à mieux cadrer les pouvoirs de la Cour Supreme, une institution qui a rogné et empiété autant qu’elle a pu sur les pouvoir du Parlement (Knesset), « Israël passe d’une démocratie à une théocratie ». La présidente de la Cour suprême israélienne, Esther Hayut, a averti jeudi 12 janvier que la réforme du système judiciaire israélien « portera un coup fatal » à la démocratie du pays. Le député Michal Shir, du parti Yesh Atid de Yair Lapid, a appelé à « incendier les rues ». L’ancien vice-ministre du Meretz et ancien chef d’état-major adjoint de Tsahal, Yair Golan, a appelé à une insurrection civile. L’ancien chef d’état-major de Tsahal et ministre de la Défense, Moshe Yaalon, a appelé les policiers à désobéir aux ordres. Benny Gantz, a déclaré que la guerre civile serait de la faute de Netanyahu. L’ancien Premier ministre Ehud Barak a écrit jeudi dans le Yediot Ahronot : « Quand un million de citoyens descendront dans la rue, ce gouvernement diabolique tombera ».
Rares sont les voix qui s’élèvent comme celle de Sean Durns, analyste au Committee for Accuracy in Middle East Reporting in America (CAMERA), pour affirmer que les craintes d’une « mort de la démocratie en Israël sont grandement exagérées ». Jonathan Tobin, rédacteur en chef de Jewish News Syndicate, est étonné lui aussi des accusations « hystériques, voire apocalyptiques » proférées par la gauche à propos de la « mort de la démocratie » en Israel. « Qualifier le gouvernement de « moralement corrompu » ajoute-t-il, ou de « criminel », selon les termes de (Yossi Klein) Halevi (créateur d’un blog à son nom) et de David Horovitz, rédacteur en chef du Times of Israel, n’est pas un sujet de conversation sur une question litigieuse, (…). C’est la fin de la conversation. »
C’est une des caractéristiques de la gauche occidentale en général et de la gauche israélienne en particulier, de préférer l’anathème au débat. Dans le conflit qu’elle a engagé avec la droite, la gauche israélienne ne cherche pas à faire valoir ses arguments, mais à faire plier l’adversaire. Et comme elle est minoritaire et ne fait pas le poids au plan électoral, elle fait du bruit. Elle mobilise des dizaines de milliers de manifestants dans la rue en faisant croire qu’ils sont des centaines de milliers et elle hystérise le débat médiatique en abusant de sa surreprésentation dans les médias. Les journalistes de gauche, les magistrats de gauche et les hommes et femmes politiques de gauche font ainsi monter une clameur assourdissante sur le « racisme », la « corruption », le « despotisme »… de la coalition Netanyahu. Ces accusations ne laissent place à aucun débat, sont sans rapport avec la réalité. C’est le principe même de la propagande.
Ce vacarme médiatique a été expérimenté contre Donald Trump. Du premier au dernier jour de son mandat, l’ex-président des Etats Unis a été accusé au quotidien par CNN, le Washington Post, le New York Times et des dizaines d’autres médias, d’ « incompétence », de « folie », « d’irresponsabilité », de « stupidité », etc. Ces grenades assourdissantes qui pleuvaient par dizaines tous les jours avaient pour but d’intimider le président et de l’empêcher de répondre et d’agir.
Cette cacophonie bruyante, assourdissante, à but de désorientation, est devenue une stratégie politique. Tous les jours en Israël, la presse de gauche se déchaîne et balance des grenades à jets continus pour imposer son narratif sur « la mort de la démocratie ».
Benjamin Netanyahu a survécu à bien des épreuves et survivra sans nul doute à celle-ci. D’autant plus facilement qu’en réalité, il n’est directement visé qu’en apparence. En brandissant tous les signes extérieurs de la colère la plus noire, la gauche a surtout entrepris d’attirer l’attention du grand frère démocrate américain. Andreas Tobin, rédacteur en chef de JNS News, ne s’y est pas trompé. « Pourquoi sont-ils (les partis et médias de gauche) si déterminés à attiser la colère de l’administration Biden et de la communauté juive américaine envers le nouveau gouvernement israélien » se demande Tobin avec lucidité ?
Quand on lit l’article de Thomas Friedman chroniqueur politique du New York Times suppliant Joe Biden de « sauver Israël » de lui-même, la manœuvre politique est claire : la gauche médiatique israélienne fait alliance avec la gauche médiatique occidentale pour dénoncer la « dérive » d’Israël. « Israël, une démocratie devenue illusoire », écrit Le Monde le 30 décembre 2022 et qui « fait la part belle aux suprémacistes juifs ». « Le gouvernement d’extrême droite en Israël, « une épreuve pour la démocratie » écrit France 24. Le New York Times du 17 décembre, a affirmé lui que « la démocratie israélienne est en danger » et que « les partis ultrareligieux et ultranationalistes (…) mettent en danger l’idéal d’un État juif et démocratique ».
Chacun sait bien en Israël – y compris à gauche -, qu’une réforme de la Cour suprême est parfaitement nécessaire tant celle-ci est devenue « incontrôlable (et) irresponsable, tant nombre de ses décisions sont arbitraires et ne reposent sur rien d’autre que « sa propre conception de ce qui est « raisonnable », plutôt que sur des principes ancrés dans loi » écrit Andreas Tobin. Le but de la gauche n’est donc pas d’entamer un débat sur « la » bonne réforme de l’appareil judiciaire, mais de protéger une « fraternité juridique » selon l’expression de Caroline Glick, journaliste et essayiste israélienne. Cette « fraternité juridique » est aujourd’hui accusée par la droite d’avoir agi, des décennies durant, de manière partisane et d’avoir statué et jugé entièrement au service des intérêts politiques et électoraux de la gauche, plutôt que d’avoir servi les intérêts de la nation.
Pour la gauche israélienne et internationale, le président des États Unis est le seul à même de faire plier Netanyahu : il peut menacer de priver Israël de missiles pour son dôme de fer (système de missiles anti-missiles) par exemple ou de pièces de rechange pour ses avions F35 ce qui équivaudrait à une forme d’asphyxie militaire. C’est à cela que la gauche aspire : que les États Unis mettent cette insupportable droite israélienne dans l’incapacité de gouverner.
L’appel au « grand frère » étranger n’est pas une stratégie originale. Yasser Arafat avait la même. Faisant semblant de négocier directement avec Israël, préservant les apparences du « dialogue », Yasser Arafat (et Mahmoud Abbas après lui) n’ont eu de cesse d’internationaliser le conflit israélo-palestinien, d’en appeler à l’Union européenne, à l’ONU, aux différentes cours de justice internationales et surtout aux États Unis. Depuis quarante ans, tous ont été sommés d’intervenir contre Israël en Israël. Et l’ONU et les cours de justice internationales ne se sont pas gênés pour obtempérer.
La gauche juive israélienne n’agit pas différemment des Palestiniens. Discuter avec Netanyahu, amender le projet de loi, rentrer dans un débat raisonnable avec la droite provoque à gauche une angoisse morale insupportable. La bonne image que la gauche a d’elle-même l’empêche de négocier avec la droite, tout comme les Palestiniens refusent de négocier avec Israël depuis cinquante ans. La gauche morale est si imbue de sa légitimité qu’elle refuse de se commettre avec des « nazis », des « racistes », des « fascistes » tout comme les Palestiniens répugnent à reconnaître le moindre droit à d’anciens dhimmis.
Il est probable que Joe Biden n’interviendra pas – du moins pas directement -dans les affaires israéliennes. Mais aujourd’hui, ce n’est pas l’échec de cette stratégie qui importe. Ce qui est grave est qu’une telle stratégie d’invalidation et de délégitimation d’un pouvoir politique régulièrement élu ait été mise en œuvre par des juifs contre des juifs, par la gauche contre la droite en Israel.
La démocratie est bel et bien en danger en Israël, mais ce n’est pas la faute de la droite.
© Yves Mamou
Perditions idéologiques
Blog de Georges-Elia Sarfati, Yana Grinshpun, Roland Assaraf et Jean Szlamowicz, « Perditions idéologiques » se définit ainsi: « Nous aimerions présenter ici la déconstruction de ces discours qui nous semblent saper le fondement de la liberté de la pensée et nuire à la vie démocratique de la cité. Nous le faisons en nous appuyant sur les concepts et méthodes de l’analyse du discours, la psychologie sociale, la logique, la linguistique et l’histoire des idées. Ce blog se présentera comme un travail d’analyse de chercheurs engagés, mais pas enragés, pour reprendre la formule d’un linguiste et analyste du discours Alain Rabatel ».
Quelle avalanche d’approximations, omissions et exagérations.
Le système électoral israélien, contrairement à celui d’autres pays comparables (la France, les USA etc…) est la proportionnelle intégrale, semblable (en pire) à celui de feu la quatrième République française, au gouvernement paralysé et notoirement instable.
Le mode de fonctionnement classique, le mécanisme habituel d’un scrutin démocratique génère en général deux blocs politico-idéologiques opposés à importance égale ou presque ; que nous appellerons pour simplifier gauche et droite.
MAIS la proportionnelle intégrale, et c’est le cas en Israël, génère aussi des petits bribes de partis minoritaires, parfois des groupuscules, à intérêts sectoriels.
Admettons, pour simplifier, qu’il n’existe qu’un seul groupuscule de ce type.
Nous avons donc trois blocs ; deux importants et quasi-égaux et un petit.
Appelons les (toujours pour simplifier) gauche, droite et religieux.
AUCUN des deux blocs importants n’a la majorité à lui tout seul. Ils ont chacun besoin du groupuscule pour gouverner.
Ceci donne au groupuscule un pouvoir démesuré ; il peut faire chanter les « grands » blocs ; les mettre en concurrence, en contrepartie de son soutien, pour extorquer d’immenses avantages sectoriels, politiques, idéologiques ou financiers, au détriment de la majorité de la population.
C’est donc, en résumé, la situation en Israël : une minorité qui gouverne deux majorités.
Avec une circonstance aggravante : les problèmes judiciaires de Netanyahou qui l’obligent à s’accrocher, à tout prix, à sa situation de Premier ministre pour éloigner le spectre d’une peine de prison pour corruption.
Il est donc prêt à donner aux « religieux » (appellation certes simplifiée) tout et n’importe quoi pour leur soutien.
Est-ce une démocratie, lorsqu’une minorité exerce du chantage pour gouverner la majorité ?
Dans un tel cas le gouvernement dit « de droite » aurait dû tenir compte des « lignes rouges » du reste de la population ; éviter de secouer le navire en usant de sa « majorité » (de pure forme, en vérité) pour saper brutalement les fondements du système existant.
Quelque soient les imperfections, indubitables, de ce système.
Hélas, la faiblesse du gouvernement Netanyahou (et de l’homme en personne) livre le pays, pieds et poings liés, aux groupuscules.
Je n’arrive pas à comprendre le raisonnement biaisé de Auger qui ne cite jamais le nombre de députés élus
Rappelons que le Likoud avec 38 députés don’t Nethanyaou à écrasé le parti de Lapid avec 24 députés et ancien gouvernement qui avec les 8 députés de Bennett associé à un parti arabe ont gouverné en détruisant Israël par ses faiblesses vis à vis du terrorisme arabe Hamas ou arabes vivant dans des territoires juifs , parses faibles sur sa politique extérieure faisant soumission aux USA surtout à Biden dont son parti ne mérite plus le terme de Démocrate tellement ce parti est devenu raciste et antijuif et antisioniste et aux mains des noirs , musulmans et mexicaines fraîchement arrivés , soumis aussi à l’UE dont sa venue à Paris a scandalisé la communauté juive tellement lapid faisait des courbettes à Macron pro arabe qui le jour même faisait condamner encore israel pour avoir expulsé le terroriste Salah Hamouri, faiblesses en donnant des territoires maritimes israéliens riches en gaz au Liban toujours en guerre avec Israël, faiblesse en abandonnant le Negev aux bédouins en reconnaissant 25 villages illégalement construits …..
Bien entendu derrière toutes ces erreurs et cadeaux on trouve le chef du parti arabe traite et informateur : Mansour Abbas informateur au négationniste Abbas
Quan à la gauche bobos en majorité c’est toujours la politique du mensonge et Grosmann écrivain a beaucoup d’imagination pour les discours apocalyptiques et hystériques mais cette fois ci il a dépassé les lignes rouges en se compotant comme un ennemi de son propre pays
Veut il finir sa vie dans un camp d’extermination arabe ou juif avec une valise comme le voudrai l’UE la France en tête des politiques proarabes
Les mots qu’il emploie sont les mêmes que le négationniste Mahmoud Abbas
Il est en train de devenir un véritable arabe mais personne ne l’empêche de s’exiler et de se rendre chez ses amis arabes lui qui vit comme un nabab en Israël
En acceptant pas le verdict des élections avec les modalités actuelles la Gauche et son mentor Lapid sont des anti démocrates et toute loi passant par la Knesset y compris la réforme du système judiciaire dont la cour suprême avec 8 ou 10 personnes font la loi en fonction de leur idéologie politique
En se comportant comme ils le font en appelant à, la guerre civile les gens de gauche infiltrés par des gauchistes . des arabes anti israélien. des ong subventionnés par l’UE et les USA et le Qatar ,.cette gauche traître à son pays est devenu criminel up y compris Grossmann et le sale duo qui est responsable Lapid et Bennett
Savez-vous, Elias, qu’une phrase, ça commence par une lettre majuscule et ça se termine par un point ?
Et que ça n’a pas la longueur d’un paragraphe ?
Vos phrases sont interminables, tortueuses et écrites n’importe comment. Vous êtes fâché avec la grammaire et la syntaxe. L’orthographe aussi. Abbas, par exemple, n’est pas « traite ». La prochaine fois vous écrirez « traitre » (si telle fut votre intention…).
Bref, en l’état vous êtes difficilement compréhensible et je n’ai aucune intention à gaspiller du temps à chercher à vous comprendre.
MAIS j’ai cru avoir compris que vous voudriez des chiffres. Donc voilà, chiffres arrondis :
Le nombre total des votants « bruts » (suffrages exprimés) le 1er novembre était de 4.6 millions. Deux blocs (pour et contre Netanyahou) avait, chacun, un nombre de voix très proche, la moitié du total : 2.3 millions. MAIS IL EST VRAI QUE le bloc Netanyahou avait 30000 voix de plus. C’est peu ; cela vaut moins d’un siège à la Knesset ; MAIS c’est une majorité sans doute. Etriquée. Très étriquée.
MAIS le bloc anti-Netanyahou était dispersé, éparpillée. Des petites formations ridicules qui allaient au casse-pipe, ne dépassant pas le minimum de voix au-dessous duquel le parti est éliminé et ses voix perdues.
Deux de ces formations « de gauche » ont échoué à réunir le minimum de voix nécessaires et furent de ce fait éliminées, faisant perdre au bloc anti-Netanyahou environ 230000 voix. D’où la différence.
Est-ce légal ? OUI. MAIS ces votants existent toujours et le gouvernement Netanyahou aurait normalement dû modérer ses ardeurs de « réforme » puisqu’il n’a pas une majorité populaire (ne pas confondre avec une majorité parlementaire) assez forte pour lui permettre de casser ce qui fonctionne depuis des décennies.
Netanyahou, vieux renard, le comprend évidemment. MAIS sa situation politique l’oblige à céder à ses associés.
A lire sur le même sujet
https://www.jns.org/opinion/esther-hayuts-war-against-democracy/
Le vieil adage se confirme : les juifs n’ont pas besoin d’ennemis, ils se débrouillent très bien seuls.
Cette situation etait previsible depuis longtemps car, independement d’un clivage, supposé ou reel, ashkenases/sepharadesse s’est posé de plus en plus et jour après jour la question de la nature de la société israelienne.
En effet, Israel est-ce un pays parmis d’autres à population majoritairement juive ou la continuité intemporelle du recit biblique ?
On ne peut pas faire l’economie de ce questionnement qui est, aujourd’hui, au centre de la politique israélienne.
Car si, pour les religieux, la question ne se pose pas, pour les autres en revanche celà peut meme remettre en cause le sens de leur presence sur cette terre.
L’incertitude risque d’ébranler certais citoyens : dans un tel contexte, un survivant de la Shoah aux convictions religieuses durement éprouvées héritera peut-être à exprimer son point de vue à l’avenir. Le danger etant qu’un jour il puisse être accusé de « tiédeur « …
Au delà même du seul aspect democratique il me semble que le respect de toutes les sensibilités doit être le marqueur de l’éthique israélienne.
Ce qui se passe actuellement me semble, à
ce titre, préoccupant.
D’autant plus que, comme je le souligne, c’était previsible et que celà peut aboutir effectivement à une « guerre des Juifs »
…alors faut-il un nouveau Titus, un nouvel exil, de nouveaux pogroms pour, qu’enfin, nous prenions conscience des enjeux ?
Ah oui c’est vrai, Israël, « pays d’apartheid » (sic) aurait besoin de sérieuses leçons de démocratie. Il pourrait les prendre dans le monde arabe, où tout se passe pour le mieux dans le meilleur des mondes.. Regardons l’Algérie, la Libye, la Syrie, l’Irak, le Liban. Dans le monde musulman non arabe, c’est presque aussi bien : l’Iran l’Afghanistan, le Pakistan… Des exemples à suivre…
Remarque à R.Auger: les problèmes judiciaires, qui n’en n’auraient été nulle part sauf les pays nordiques (une boite de cigares, rencontres avec des dirigeants de médias.. ) se dégonflent au fur et à mesure des rétractations des témoins auxquels on a arraché des aveux par des moyens ignobles (chantage familial..). Le seul dossier qui aurait pu être grave est celui des sous-marins et là, il n’y a aucune poursuite.
Quant au cours de sociologie politique…
Chers amis, il ne faut pas avoir peur. Nous qui sommes croyants fils de croyants avons confiance et sommes convaincus que les prophéties se réaliseront de la même façon que nous avons vu se réaliser le retour d’Israel sur sa terre, une autre prophétie se rélisera Isaïe 54-14 « Tout instrument forgé, toute arme contre toi seront impuissants, toute langue, tout média qui se dressera contre toi pour t’accuser sera ridiculisé »
Nous avons assisté déjà à la décadence de ce monde pervers d’Hollywood, de journalistes voyous et de soi-disant penseurs et intellectuels, le tour de ceux qui n’ont de cesse de salir Israel (au sein de notre peuple) viendra et il sera démontré leur côté pervers. A très vite Beezrat Hachem, Inch’Allah
La cours suprême était un état dans l état avec souvent des positions anti israéliennes,anti nationalistes et gauchisante dans son acception la plus abjecte qui n à plus rien à voir avec la gauche qui avait construit ce pays
Honte à vous Meretz et compagnie qui n a plus rien à voir avec les partis historiques Mapai et Mapam
À part votre détestation de la droite vous n avez rien à proposer,rien à faire valoir que votre irresponsabilité
Bravo pour l’article de Yves mamou, toujours bien analysé et ce sans ménagement pour la gauche vertueuse, on en a assez de leur bruit, de leur suffisance , de nos jours Israël doit en tant que jeune pays modifier les lois qui l’ont construit pour s’adapter à son objectif, qui n’est pas forcément calqué sur l’Europe , et cessons de nous défier et soyons ensemble pour œuvrer à ses bouleversements.