En France, ce fut un drapeau marocain accroché sur la mairie d’Amiens, des affrontements avec la police à Lille, des coups de feu tirés à Nice et, évidemment, des magasins vandalisés sur les Champs-Elysées. Mais cette soirée de fête et de violence n’a pas concerné que la France : à Turin, à Barcelone et Madrid et surtout dans l’ensemble de la Belgique et des Pays-Bas, les mêmes scènes se sont répétées.
C’est un fait maintes fois prouvé : dans toute l’Europe, l’immigration est surreprésentée, et en particulier l’immigration africaine, dans la délinquance et la criminalité. Ainsi, un immigré commet en moyenne plus de crimes ou de délits qu’un non-immigré.
En France, c’est ce que confirment par exemple les chiffres du ministère de l’intérieur selon lesquels les étrangers sont surreprésentés pour chaque crime et délit. C’est ce que confirme une étude de l’université de Lund selon laquelle 59% des condamnés pour viol en Suède sont immigrés, c’est ce que dit également l’étude du sociologue Hugues Lagrange, ce que dit une étude suisse, une autre norvégienne, etc.…
Malgré des circonvolutions politiques et des débats sémantiques, l’objectivité appelle à considérer qu’il existe bien, comme le reconnaît lui-même le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, un lien entre immigration et délinquance, et que la question qui se pose désormais est la suivante : pourquoi ce problème existe-t-il et comment le régler ?
Une réponse exhaustive à cette question appellerait de longs – et parfois hasardeux – développements, mais cette question permet de mettre en lumière un phénomène : le problème du rôle de l’État, et en particulier de la justice, dans une société devenue multiculturelle.
Ainsi, lors des évènements du match Espagne-Maroc, ce qui a frappé un grand nombre d’observateurs est la grande différence entre les festivités au Maroc, calmes et auxquelles a même participé le roi Mohammed VI, et le chaos en Europe. Cette différence de comportement collectif tient à la différence du cadre étatique et surtout judiciaire qui encadre ces communautés.
En effet, un code juridique, appliqué par des tribunaux, est un ensemble de rites, d’usages et de coutumes plus ou moins complexes. Ce système juridique est censé réguler et apaiser les rapports entre les hommes. Il est le fruit de longues évolutions sur un terreau culturel millénaire. On comprend ainsi aisément que le droit – et la justice- est un phénomène éminemment culturel : chaque culture a son système juridique spécifique et donc une justice spécifique.
La sociologue Anne Wynekens, directrice de recherche au CNRS est une des rares intellectuelles françaises à avoir abordé ce sujet tabou. Elle estime ainsi logiquement que : «En matière pénale, certains comportements interdits et sanctionnés par le droit national sont légitimes ou tolérés au sein d’autres univers culturels.» Elle analyse ainsi, en France et en Belgique, la façon dont une justice occidentale moderne répond à des violations de sa loi par des personnes issues d’univers culturels (et donc juridiques) différents.
Or, le développement anarchique de l’immigration en Europe de l’Ouest a entrainé une conséquence majeure : la constitution d’un archipel culturel et ethnique français.
Et dans cet archipel français, la justice française n’est plus à l’abri des fractures culturelles.
Un exemple très pratique remonte à 2008 dans lequel un homme musulman avait demandé à la justice l’annulation de son mariage pour cause de non-virginité de son épouse. Le tribunal de Lille avait fait droit à cette demande, s’attirant les foudres de toute la classe politique à l’époque. Mais cette affaire posait la question d’un éclatement de la justice, toujours croissant.
Comme aime à la répéter la FIFA, le football est en effet bien plus qu’un sport. C’est un phénomène politique, le dernier lieu d’expression d’une fierté nationale. Sachons aussi tirer les leçons qu’il nous enseigne.
© Pierre-Marie Sèves
Pierre-Marie Sève est directeur de l’Institut pour la Justice, une association œuvrant à une réforme de la Justice et à la lutte contre la criminalité.
Si la France avait gagne sa guerre en 1940,elle n aurait pas eu besoin de remplir son armee d Afrique de troupes marocaines,qui apres avoir donne l exemple en Belgique en 1940,s illustrerent de facon exceptionnelle en Corse-premier departement libere-en Italie (Belvedere,Garigliano)en Provence (liberation de Marseille)dans les Vosges-ou ils chasserent les waffen SS d Himmler du Honeck-et en Allemagne,ou ils marquerent durablement les populations…Le Maroc etait un protectorat mais on y puisa des Goums et des Tabors jusqu au fond de la gamelle.Aussi,il semble difficile de crier « au terrorisme » a cause de quelques fantasias urbaines et petards rouges et verts,meme si certains preferent le bruit des bottes au silence des babouches.
Décidément certains ne reculent devant aucune forme de désinformation et de révisionnisme. Vos héroïques contingents marocains se sont illustrés en Italie par les « maroquinades » viols de masse commis d’une extrême barbarie : les Marocains se comportaient de la même manière que les SS avec la complicité des généraux français. C’est d’ailleurs ce genre d’horreurs qui ont « marqué durablement les populations » en Allemagne aussi. Les faits historiques vont autant à l’encontre de vos discours que les faits actuels.
@Judith R. Les maroquinades de sinistre mémoire ont marqué durablement la population italienne. On imagine bien que ni les Marocains ni les démagogues révisionnistes au pouvoir ne vont en parler. Ce ne sont pas non plus des films du style Indigènes qui vont rétablir la vérité historique sur les crimes abominables commis par l’armée d’Afrique du maréchal Juin. Toutes les vérités historiques (et elles sont légion) allant à l’encontre de la propagande et du révisionnisme dominants sont systématiquement effacés dans les livres d’Histoire et le discours officiel.
Les démagogues révisionnistes au pouvoir…En France.
La ghettoisation de la France a pris un tournant décisif dans le milieu des années 80 avec la création de SOS racism ayant énormément contribué à attiser les haines et la violence. Le but était et est encore de justifier une politique migratoire de plus en plus criminogene en faisant passer ceux qui la contestent ou qui la subissent pour des racistes. En allant jusqu’à à nier l’existence des crimes racistes contre les Blancs des quartiers populaires https://atlantico.fr/article/decryptage/lutte-des-races-ces-cas-de-rejet-des-blancs-qui-se-multiplient-en-france-celine-pina
La propagande pro palestinienne du gouvernement a le même but : légitimer l’antisémitisme des nouveaux arrivant en faisant passer les Juifs pour les méchants (comme l’avait prédit Vladimir Jankelevitch) Le but était aussi politique : jeter une partie de l’électorat populaire dans les bras du clan Le Pen de manière ensuite à pouvoir inventer le thème du « barrage républicain » (alors que le pouvoir avait lui-même renié la République) pour se faire réélire. Cela fonctionne encore à merveille même après la disparition du FN. Nos gouvernements occidentaux n’ont pas plus de considération pour la vie des citoyens que le gouvernement chinois et le prétendu « antiracisme » constitue la forme la plus cynique et hypocrite de racisme jamais vue. Quand on sait qu’historiquement la gauche était opposée à une immigration de masse on mesure mieux le caractère orwellien de la désinformation que nous subissons.
L enrolement des soldats nord africains ou africains dans l armée française est bien anterieur a la 2 eme guerre mondiale , les regiments de chasseurs d afrique et de goumiers etaient presents dans les tranchées en 14/18
Attention aux melanges:
Les chasseurs d Afrique formes des la conquete sont des cavaliers francais.Ce sont les Spahis,encadres par des francais et des locaux,qui sont algeriens,tunisiens marocains et senegalais.
Les Zouaves sont a l origine des allies locaux,les « zaouaouas »,recrutes en Kabylie.Ils sont progressivement remplaces par des francais,pieds noirs ou non.
Les Bataillons d Afrique,bat d Af ou BILA,sont des unites de repris de justice militaire ou civils.
Les Tirailleurs d Afrique sont des zephyrs-ou joyeux-sortis des BILA pour bonne conduite.Voir mes articles (discussion) sur wikipedia (bataillons d Afrique,disciplinaires).
Les tirailleurs Algeriens,Tunisiens,Senegalais,puis Marocains sont des locaux experimentes pour la premiere fois en exterieur (Crimee) grace au colonel Levy.
Les Marocains etaient appeles au debut « chasseurs indigenes »,comme les BILA,appeles a tort « chasseurs legers ».Les Goums et Tabors sont des compagnies puis bataillons.
Les regiments mixtes Zouaves-Tirailleurs ont ete crees en 1914-1918.
Naturellement,ces formations ont suivi le calendrier de la conquete:
Algerie et confins (1830-1903).
Tunisie (1882-1883).
Maroc (1907-1934).
Senegal,des 1677.
La Legion Etrangere n a ete engagee,pour les premieres operations de conquete,qu en Algerie et au Maroc.Les BILA ont fait les quatre.
Juin etait trop haut place pour tout savoir.Selon des specialistes,c est le general Guillaume qui est en cause.Alors qu il disposait d un bon service de sante,il n a pas pris les mesures necessaires pour faire coller aux troupes les « BMC »,bordels militaires de campagne.
@Thierry Dupuy L’absence de « BMC » ne suffit pas à expliquer ces atrocités dignes de la waffen ss…Pas plus que la propagande d’Etat et les mensonges que la plupart des gens croient être la réalité.
De 1940 a 1945,300 000 enfants sont nes en France de peres allemands.Tous ne pouvaient pas etre issus de peres « SS violeurs »,d autant plus que les plus racistes d entre eux etaient farouchement hostiles a la reproduction avec des non aryennes.Quant aux waffen SS, la moitie etaient non allemands.
@Thierry Dupuy 11:47 Je ne vois pas tellement le rapport…