Tribune Juive

Jean-Luc de Cabrières. Jusqu’où irons-nous?

Dans ceux, celles, que j’indexe pour faire partie de ce caniveau dans lequel le Locataire de l’Élysée nous installe, je n’énumère pas leurs qualités journalistiques, s’ils en ont, ce qui est peu probable.
Ni leurs qualités humaines, que je ne vois nulle part.
Simplement le fait qu’ils sont choisis pour leur mœurs désobligeantes, pour leurs goûts sexuels dépravés, et pour leur haine franche de tout ce qui les exclut de l’équilibre.
Ils sont cependant ceux qu’on voit, ceux qui sont montrés, les ARBITRES de l’Info, dans l’émission la plus regardée de France, par le public le plus malléable.

Ce qui m’afflige le plus est qu’ils sont, et tout le prouve, dans un état d’instabilité mentale complètement affolant.
Lorsqu’on voit Mathieu Delormeau gesticuler, l’oeil enflammé, la bouche baveuse, hors de lui, dès qu’il est face à quelqu’un qui ne supporte pas la diversité de la crevure poubellesque, il ne se tait pas, il fait une crise de nerf himmlérienne. Vous l’avez remarqué ?
Ce n’est pas j’aime ou je n’aime pas : on a devant soi, devant nous, un chroniqueur non seulement débile, mais mentalement dangereux et hypnotisé par une thèse de vie qui est sienne .

Même chose pour Gilles Verdez: Il crache . mais il n’est pas payé que pour allumer devant lui. Le reste, c’est ce qu’il est : l’incapacité d’admettre l’autre, la différence.
C’est un nouveau Cohn-Bendit qui s’oblige lui-même à nous jeter sa pédophilie en pleine gueule parce qu’il ne peut pas faire autrement et qu’elle lui est presque un principe de vie.
Il ne s’agit plus de préférences. Depuis quand les malades mentaux sont des arbitres ?

Quant à l’Icône de la Francophonie, vous avez, en-dessous, son message : elle-même se qualifie de torturée, dans l’incapacité d’équilibre mental.
On s’en doute : passer d’inconnue à effigie de la grosseur maladive nue et sexuelle dans le monde entier, il faut avoir un Soi en très mauvais état, et un ego saccagé, depuis longtemps.
Nous ne le disons pas : elle le dit elle-même.

Comme Delormeau qui confiant à une journaliste de Gala qu’il a une peur incoercible d’avouer son homosexualité et d’être moqué, humilié. Il saccage donc les autres.

La DIFFÉRENCE est que cette pauvre femme qui devrait être soignée dans un service psychiatrique spécialisé EST CHOISIE par le CHEF de L’ÉTAT, le CHEF des ARMÉES comme représentante de la LANGUE FRANÇAISE dans le MONDE.
C’est cela qui doit être dit, répété afin que TOUS s’en rendent compte.

Ce n’est pas une nouvelle Loana, c’est un morceau de notre drapeau

Ce n’est pas une nouvelle Loana, c’est un morceau de notre drapeau.
Jusqu’où va-t-il nous emmener ? Jusqu’à quel stade ?
Nous voyons, en piaillant simplement, les ministères, les hauts fonctionnaires, les postes les plus clivants de la société républicaine passer aux mains d’un Pape ou de ses succubes ?
Les ordres, par circulaires émanant du secrétariat d’Etat, et sous l’égide de Marlène Schiappa, obligent à ce que dans toutes publicités commerciales figurent ce qu’ils nomment la diversité : une blanche doit coucher avec un noir, un blanc doit avoir un enfant métis, et dans tout ensemble doit figurer deux femmes ou deux hommes s’embrassant sur la bouche.

Sommes-nous 60 millions de « joyeux » colorés ?
Je vous pose la question : jusqu’à changer le nom de notre sol ?
Jusqu’à répudier, après notre peau, nos noms, notre histoire, notre langue, le nom-même de la Nation ?
Allons-nous faire comme ces allemands qui, pour se défaire d’un vieil Hindenburg, ont suivi un nouvel Hitler prometteur et en ont supporté les avanies jusqu’à ne pas s’apercevoir qu’ils devenaient les assassins pervers de l’irréversible ?
Vous devriez tous comprendre que nous n’avons plus besoin de Nostradamus pour savoir où nous allons.

© Jean-Luc de Cabrières

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