L’Iran a commencé à produire de l’uranium enrichi à 60%.
La République Islamiste s’en vante.
L’AIEA confirme.
Washington se dit « très préoccupé »
Paris, Londres, Berlin se lamentent!
Ça vide complètement l’accord de 2015 de son contenu.
Cet accord prévoyait l’arrêt du programme iranien en échange de la levée des sanctions.
TRUMP l’a mis à mort.
BIDEN n’a pas pu le ressusciter.
A Vienne, les négociateurs ont tenté des séances de réanimation.
Les iraniens avaient toujours, sous leur turban, de nouvelles exigences, impossibles à satisfaire.
En Août, fin de la partie.
Bas les masques.
L’enrichissement à 60%!
C’est la dernière étape avant l’enrichissement à 90%, qui ne peut servir qu’à … constituer le cœur d’une bombe nucléaire.
L’Iran en possède désormais plus de 60 kgs et 400 kgs à 20%.
Ses centrifugeuses tournent à plein régime.
On est loin des quelques kilos enrichis à 3,5% autorisés pour la recherche scientifique.
L’Iran se tient sur le seuil de la ligne rouge, prêt à s’imposer dans le club des pays intouchables
L’Iran poursuit ce but avec obstination, en secret, en trafiquant, en mentant et en se serrant la ceinture.
Les sanctions lui coûtent 110 Milliards de dollars par mois en recette pétrolière.
Seul le peuple est puni, se retrouvant au pain sec et à l’eau.
Depuis quelques semaines, les Mollahs sont défiés dans la rue.
Les femmes retirent leur voile.
Les sportifs sont solidaires!
Au Qatar l’équipe de football ne chante pas l’hymne national.
La révolte s’enfonce dans les provinces.
Elle n’a pas de parti, pas de chef, pas de programme précis, mais elle a mis le feu à la classe moyenne.
Alors, le réagome réagit en défiant le peuple.
Ils tirent dans le tas.
A balles réelles.
70 morts en 8 jours et 5 pendus.
L’Iran tire sur son peuple et se cherche un ennemi extérieur.
Il bombarde les Kurdes,
Il prend des otages.
40 étrangers ont été arrêtés, accusés d’être des espions à la solde du Mossad et du grand Satan américain.
Rien ne prouve qu’un jour prochain, il ne s’aventurera pas a tirer sur l’Arabie Saoudite et sur Israël.
Ce régime ne change pas !
Il est impossible à réformer.
Depuis 40 ans, personne n’a pu l’arrêter.
Finalement, si la révolte populaire n’en vient pas à bout, c’est Israël qui devra s’en charger.
Et ces américains qui s’offusquent, et ces européens qui se lamentent: tous ces braves qui n’ont pas le courage de réagir,
Eh bien: Soyez sûrs qu’ils trouveront les mots pour accuser Israël.
© René Seror
Ho comme vous avez raison sur l’ensemble de votre article.
Et plus encore sur les dernières phrases. Oui, il faudra que quelqu’un s’en charge. Et qui d’autre qu’Israël qui joue sa survie. Mais là, ils trouveront tous les mots pour condamner.
Reprenons la phrase tellement célèbre et tellement vraie de Gola Meïr: « Nous préférons vos condamnations à vos condoléances ».