Ça y est: il. ana photo avec Bibi. Lui, c’est le dit “infréquentable”, Ben Gvir.
Il s’est même fendu d’un texte Israel Hayom, dédié à “ses frères de gauche”, il leur promet que ce n’est pas la fin de leur pays, que “malgré les désaccords, la diabolisation et la haine, malgré tout cela, ils sont ses frères”.
Il a rejeté les rumeurs laissant entendre que s’il était nommé ministre de la Sécurité intérieure, poste qu’il convoite et que Netanyahu n’a guère envie de lui offrir, il n’affecterait pas de protection policière à la Gay Pride, laquelle semble-t-il il n’envisage plus d’interdire…
“Même si je ne suis pas enthousiaste à l’idée d’une telle marche, je veillerai à ce que la vie des personnes qui défilent soit protégée à tout prix”.
Non, il n’y aura pas de milice de la pensée, promet-il. Ni de coercition religieuse.
Faisant référence à son passé d’activiste extrémiste, et précisément aux menaces proférées à l’encontre de l’ancien Premier ministre Yitzhak Rabin, Ben Gvir, qui avait applaudi à l’assassinat de Rabin, écrit: “J’ai mûri, je me suis modéré et j’ai compris que la vie est plus compliquée”.
Avant la rencontre avec Netanyahu, le chef du Parti Otzma Yehudit a déclaré: “Nous ferons tout pour former un vrai gouvernement de droite qui protègera nos soldats, nos policiers, et les citoyens d’Israël”.
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