Après celle de Lapid, la prestation de Abbas était attendue. A la tribune de l’Assemblée générale des Nations unies, vendredi 23 septembre, le président de l’Autorité palestinienne a accusé Israël de « ne pas croire à la paix », de « mettre à mal de façon préméditée et délibérée la solution à deux Etats », et « d’agir en toute impunité dans les territoires occupés ».
Revenant sur sa marmite, ledit régime d’apartheid, le dirigeant palestinien a … exigé… que l’Etat hébreu rende des comptes pour « ses massacres ». Il a par ailleurs accusé la communauté internationale de le « protéger ».
« Cela prouve sans équivoque qu’Israël ne croit pas à la paix. Il veut imposer le statu quo par la force et l’agression. Nous n’avons donc plus de partenaire israélien à qui parler », a tempêté Abbas, accusant Israël de mener une campagne de colonisation dans les territoires palestiniens et, cerise sur le gâteau, de laisser une « totale liberté » à son armée de tuer ou d’user excessivement de la force contre les Palestiniens.
En vertu de quoi, Israël devait être traduit devant la Cour pénale internationale.
Tribune juive
ABJECT!!!
ROSA