Akadem. Yoan Gwilman reçoit Elsa Pinar Kilavuz. « La séfaradité turque: une identité nostalgique »

Dans la série « Et sinon, ta thèse? »

Yoan Gwilman,  journaliste, étudiant à l’EHESS, reçoit Elsa Ekerbicer-Kilavuz, Journaliste, doctorante à l’EPHE.

  • Les attentats de 2003 à Istanbul. Dans les yeux de mes amies juives (3min)
  • La séfaradité en Israël. Une identité plurielle (3min)
  • La séfaradité turque. Une identité nostalgique (4min)

Diplômée du lycée français Sainte Pulchérie, elle obtient une licence de sociologie à l’université de Nice Sophia Antipolis. Elle a rédigé sa thèse de premier cycle sur « La consommation et la socialisation des aliments casher ». Elle a complété sa maîtrise à l’Université Paris VII Denis Diderot sur les migrations et les relations ethniques. Elsa Pinar Kilavuz a rédigé son mémoire de maîtrise sur l’identité de l’association « Œuvre de Secours aux Enfants », qui a protégé les enfants juifs pendant et après la Seconde Guerre mondiale. Elle enseigne la sociologie et l’ethnologie à Sorbonne Université depuis 2017, tout en réalisant son doctorat sur l’identité sépharade en Israël et en Turquie à l’Ecole Pratique des Hautes Etudes. Sa relation avec les médias a commencé en 2015 en tant que correspondant français pour le journal Şalom. Elle vit en France depuis 2008.

https://www.google.com/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=&cad=rja&uact=8&ved=2ahUKEwi6_qmslv35AhUM-hoKHa2cCcgQFnoECAMQAQ&url=https%3A%2F%2Fakadem.org%2Fconferences%2Fcours%2Fvie-juive%2Fet-sinon-ta-these%2Fla-sefaradite-turque–une-identite-nostalgique%2F46241.php&usg=AOvVaw0M6YsTrhyTXmuSXbJC7yrb

Suivez-nous et partagez

RSS
Twitter
Visit Us
Follow Me

4 Comments

  1. Faut bien que jeunesse se passe et que doctorants des thèses pondassent. (La grammaire est approximative mais ça rime).

    Une thèse sur la « sépharadité » ? Pourquoi pas. Même, et surtout, si les générations nées après 1960, à savoir la quasi-totalité de la population « intéressée », ne puissent plus être assignées à cette résidence identitaire, en ayant désormais d’autres.

    SAUF que parmi les instigateurs de la démarche on nous cite Esther Benbassa.
    Là, STOP. L’idéologie, voire la politique, pointe son nez et la science s’en va.

    Cela dit, la sociologie a-t-elle jamais été une science ?

Poster un Commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*